Sämmtliche Werke, Volumes 45-46Duncker & Humblot, 1879 - History |
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... eben darin liegt , daß sie einzig die nationalen 3nteressen ihres Reiches im Auge hatte und zugleich das alte Rußland , wie es einmal war , soviel möglich erhielt . Ihre Reformbestrebungen verliefen in Demonstrationen ohne allen ...
... eben darin liegt , daß sie einzig die nationalen 3nteressen ihres Reiches im Auge hatte und zugleich das alte Rußland , wie es einmal war , soviel möglich erhielt . Ihre Reformbestrebungen verliefen in Demonstrationen ohne allen ...
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... eben das osmanische Reich in seinem vollen , durch keine Abtretung geschmälerten Bestande verblieb ? Gewiß kann es nicht als das vornehmste Erforderniß des historischen Lebens betrachtet werden , nur das eben Bestehende zu behaupten ...
... eben das osmanische Reich in seinem vollen , durch keine Abtretung geschmälerten Bestande verblieb ? Gewiß kann es nicht als das vornehmste Erforderniß des historischen Lebens betrachtet werden , nur das eben Bestehende zu behaupten ...
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... eben Bischofswerder ausersehen wurde . Bei der ersten Anfrage , ob eine solche Sendung willkommen . sein werde , suchte der Staatskanzler , der davon eine Störung des guten Verhältnisses zu Rußland fürchtete , auszuweichen . Kaiser ...
... eben Bischofswerder ausersehen wurde . Bei der ersten Anfrage , ob eine solche Sendung willkommen . sein werde , suchte der Staatskanzler , der davon eine Störung des guten Verhältnisses zu Rußland fürchtete , auszuweichen . Kaiser ...
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... eben nur die Grundlage : denn in dem eigentlichen Geschäfte waren die Desterreicher unerschütterlich . Sie verhehlten nicht , daß sie Rußland unterstüßen würden , wenn es von der Tripelallianz angegriffen werde . Und wer stehe ihnen ...
... eben nur die Grundlage : denn in dem eigentlichen Geschäfte waren die Desterreicher unerschütterlich . Sie verhehlten nicht , daß sie Rußland unterstüßen würden , wenn es von der Tripelallianz angegriffen werde . Und wer stehe ihnen ...
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... eben zu größtem Gewicht . Noch in diesem Moment standen sich dort das österreichische und das preußische Interesse schroff gegenüber . Eine neue preußische Erwerbung in Polen erschien dem Fürsten Kaunitz beinahe ebenso gut wie ein ...
... eben zu größtem Gewicht . Noch in diesem Moment standen sich dort das österreichische und das preußische Interesse schroff gegenüber . Eine neue preußische Erwerbung in Polen erschien dem Fürsten Kaunitz beinahe ebenso gut wie ein ...
Common terms and phrases
Absicht allgemeinen alten Angelegenheiten Armee Augenblick Autorität Bedeutung behaupten beiden bemerken bereits Berlin besonders Bewegung bringen Constitution dahin damals Desterreich deutschen Deutschland Dienste eben eigenen eigentlich Einfluß einige einmal England Erklärung erschien ersten Europa Fall fand finden Folge Frage Frankreich Franzosen Frieden Friedrich früheren führen Fürsten ganze Gedanken Gefahr gekommen gemacht Gesandten Gewalt ging Graf großen Hand Hardenberg Herzog hielt Idee Indem inneren Jahre Januar jezt Kaiser kommen König konnte Krieg Lande lassen lich ließ machen Macht Mann meinte Meinung Minister müsse mußte nahm Nation nehmen neue Niederlande nothwendig Paris Partei persönlich Plan Politik Preußen preußischen Rechte Regierung Reiche revolutionären Rußland Sache sagte seien Seite Sinne solle sollte sprach Staaten Stande Stelle Stellung Tage Theil trat Truppen überhaupt Verbindung Versammlung Vertrag viel vollen vornehmste Vorschlag weiter wenig Werke wieder Wien Wilhelm wohl wolle wollte Wort Wunsch zugleich Zustand
Popular passages
Page 275 - Le présent article, séparé et secret, aura la même force et valeur que s'il était inséré mot à mot dans le traité d'alliance défensive de ce jour.
Page 297 - ... que la dignité royale, en France, soit. rétablie, sans délai, dans la personne de Louis XVI et de ses successeurs ; et qu'il soit pourvu à ce que cette dignité se trouve désormais à l'abri des avanies auxquelles elle a été maintenant exposée.
Page 274 - ... que lui. En foi de quoi, Nous avons signé le présent Article séparé et secret, et y avons apposé le cachet de Nos armes. Fait à Berlin le Sept Février l'an de grâce mille sept cent nonante et deux.
Page 297 - France devroient se réjouir, s'ils pouvoient supposer qu'elle eût un effet durable, est directement opposée à la ferme résolution que Leurs Majestés l'Empereur et le Roi de Prusse ont prise, et dont ces deux souverains alliés ne se départiront jamais, de rendre à Sa Majesté très-Chrétienne sa liberté, sa sûreté et sa dignité royale, ou de tirer une juste et éclatante vengeance de ceux qui oseroient y attenter plus longtemps.
Page 212 - On a décidé que, pour sauver la patrie, et sur la proposition d'un membre d'une section de Paris, que l'on nommerait trois commissaires par section pour se réunir à la commune et aviser aux moyens prompts de sauver la chose publique, et à cet effet on a décide qu'on ne recevrait d'ordre que de tous les commissaires, de la majorité des sections reunis.
Page 300 - Conditions de l'Esclavage lorsqu'elle s'est déclarée Républicaine. Je prévois des malheurs pour tout le monde et j'en gémis. Mon opinion sur Votre honnête homme de Roi, sur Votre estimable nation et sur Vous-même me font voir avec le plus grand regret que la négociation ne peut pas se faire ¡avec des Manifestes. Je n'en estimerai pas moins toute ma vie le plaisir de Vous avoir connu et de Vous aimer et estimer. Le Général en Chef de l'Armée.
Page 296 - La suppression du roi, de toutes les fonctions qui lui avaient été réservées par cette même constitution, qu'on a si longtemps prônée comme le vœu de la nation entière, a été le dernier crime de l'assemblée nationale, qui a attiré sur la France les deux terribles fléaux de la guerre et de l'anarchie.
Page 296 - ... plus solides. Le premier décret que leur assemblée a porté, a été l'abolition de la Royauté en France, et l'acclamation non motivée d'un petit nombre d'individus, dont plusieurs même sont des étrangers, s'est...
Page 261 - On lut et on discuta le projet de déclaration : les points contestés furent débattus en présence des deux souverains qui , sur les instances du comte d'Artois , consentirent à l'admission de la dernière phrase proposée par M.
Page 261 - Galonne , agissant au nom des princes français, se réuniraient pour concerter un projet de déclaration qui serait porté à la signature des deux monarques réunis. Le lendemain 27, après le dîner, les hauts personnages , y compris l'électeur et le comte d'Artois étant allés à Dresde, la conférence eut lieu entre les trois ministres qui discutèrent pendant près de quatre heures le projet de déclaration que le baron de Spielmann avait rédigé d'avance, d'après la pensée ou sous la...