Étude théorique & pratique sur le délit d'escroquerieArthur Rousseau, 1883 - 195 pages |
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Common terms and phrases
10 février 20 août 24 mars acte août avril billets Caen Cartomancie Cass celà Chauveau et Hélie chemin de fer chose jugée civile Code pénal commerce complice constaté constituer le délit contravention coupable d'escroquerie Cour de Cassation crainte d'un succès créancier crédit imaginaire crédulité croire croquerie Dall débiteur décembre décidé déclaré délit d'es délit d'escroquerie duleuses élément du délit employé des manœuvres escroqué escroquerie évènement chimérique fausse qualité fausses entreprises Faustin Hélie faux nom février filouterie fortune d'autrui fraude juillet juin jurisprudence l'aide l'art l'article L'emploi d'un faux l'individu l'intention frauduleuse leuses livraison magnétisme manoeuvres manœuvres frau manœuvres frauduleuses marchandises mars ment naître l'espérance nécessaire nœuvres obtenu pable payer personne persuader l'existence préjudice présente prévenu promesse punir punissable querie question préjudicielle Quid quittance remettre ou délivrer remise des valeurs s'est fait remettre simulé Sirey société sommes d'argent souscriptions tentative d'escroquerie tiers tion tribunal correctionnel
Popular passages
Page 11 - Quiconque, soit en faisant usage de faux noms ou de fausses qualités, soit en employant des manœuvres frauduleuses pour persuader l'existence de fausses entreprises, d'un pouvoir ou d'un crédit imaginaire, ou pour faire naître l'espérance ou la crainte d'un succès, d'un accident ou de tout autre événement chimérique...
Page 6 - ... dispositions, billets, promesses, quittances, ou décharges, et, aura par un de ces moyens escroqué ou tenté d'escroquer la totalité ou partie de la fortune d'autrui, sera...
Page 176 - Les soustractions commises par des maris au préjudice de leurs femmes, par des femmes au préjudice de leurs maris, par un veuf ou une veuve quant aux choses qui avaient appartenu à l'époux décédé, par des enfants ou autres descendants...
Page 72 - Toute réticence, toute fausse déclaration de la part de l'assuré , toute différence entre le contrat d'assurance et le connaissement, qui diminueraient l'opinion du risque ou en changeraient le sujet , annullent l'assurance. L'assurance est nulle, même dans le cas où la réticence, la fausse déclaration , ou la différence, n'auraient pas influé sur le dommage ou la perte de l'objet assuré.
Page 84 - Ceux qui, pour provoquer des souscriptions • ou des versements, ont, de mauvaise foi. publié les noms de personnes désignées, contrairement à la vérité, comme étant ou devant être attachées à la société à un titre quelconque ; 3°...
Page 7 - ... au plus. Le coupable pourra être, en outre, à compter du jour où il aura subi sa peine, interdit, pendant cinq ans au moins et dix Ans au plus, des droits mentionnés en l'article 4 2 du présent Code ; le tout sauf les peines plus graves , s'il ya crime de faux.
Page 143 - ... manœuvres frauduleuses pour persuader l'existence de fausses entreprises, d'un pouvoir ou d'un crédit imaginaire, ou pour faire naître l'espérance ou la crainte d'un succès, d'un accident ou de tout autre événement chimérique, se sera fait remettre ou délivrer, ou aura tenté de se faire remettre...
Page 159 - Elles reçoivent encore exception toutes les fois qu'il n'a pas été possible au créancier de se procurer une preuve littérale de l'obligation qui a été contractée envers lui. Cette seconde exception s'applique : 1. Aux obligations qui naissent des quasi-contrats et des délits ou quasi-délits; 2.
Page 94 - L'infraction que les lois punissent d'une peine afflictive ou infamante est un crime. ARTICLE 2 (L. 28 avril 1832). — Toute tentative de crime qui aura été manifestée par un commencement d'exécution, si elle n'a été suspendue ou si elle n'a manqué son effet que par des circonstances indépendantes de la volonté de son auteur, est considérée comme le crime même.
Page 91 - Quiconque, à l'aide de la menace écrite ou verbale, de révélations ou d'imputations diffamatoires, aura extorqué ou tenté d'extorquer, soit la remise de fonds ou valeurs', soit la signature ou remise des écrits énumérés ci-dessus, sera puni d'un emprisonnement d'un an à cinq ans et d'une amende de cinquante francs à trois mille francs.