La France touche à un grand évènement préparé, prévu, craint ou desiré depuis trois ans, la fin de la République, la création de l'Empire, un nouveau dénoûment de la révolution. Napoléon n'avait point d'opposition sérieuse à redouter. Les républicains restés fidèles n'exhalaient que des regrets stériles. Le plus grand nombre des royalistes, que ne touchait guère la cause des Bourbons, n'aspiraient qu'au EMPIRE. I. |