LIV. IV, CHAP. VIII. de douze jours pour venir se juset qu'on ne lui accordait qu'un court Là il apprit quel était le dessein du ale, et s'était rendu de Vérone (1) à à Frédéric. Celui-ci était parti de l'Italie . celui-ci ne ferait qu'exposer sa *ant que cela était en lui; que par rii; qu'il était décidé à perdre l'emtait trop évident qu'Innocent avait pris naître dans la chrétienté comme sister dans cette sentence et à d'avar roi. Le pape trouva peu autorisés à procéder à l'élection chargés à perpétuité, et les Alle étaient attachés par serment e ses droits et dignités (1): tous contre Frédéric, et le déclar laquelle il réitérait toutes ses posa aux pères assemblés un DEPUIS 1229 JUSQU'A LA MORT DE FRÉDÉRIC. avait poursuivi la guerre conennemis et les sujets révoltés. › cent pour cent sur le butin les armateurs génois donna à 12,000 livres. La guerre qui r terre et par mer, et la puis(la présence de l'empereur Ferrat l'avait rendue très inlant quelque temps) avaient it davantage, bien qu'on n'eût reprise considérable. mone et Reggio, s'était avancé devant ( gonzola; pendant qu'il l'assiégeait, or vint à un combat dans lequel il fut jeté à de son cheval et fait prisonnier, et cep dant les Milanais essuyèrent une défait paraît que les troupes de Reggio et de Pa délivrèrent le roi (1). L'empereur termin campagne en novembre sans avoir rien d'important et se rendit en Toscane. ltation d'Innocent IV, ses nts avaient également formé à Parme, qui était auparat dévouée au parti gibelin. ossi, beau-frère du pape, en déjà on avait l'espoir que le endrait un triomphe complet lorsqu'un neveu d'Innocent, A Reggio comme à Parme, il s'était fo une faction guelfe, à la tête de laquelle un neveu du pape de la famille de Foglia et à laquelle se joignirent les guelfes ex de Parme. Enzius, aussi remarquable pa valeur que par sa beauté, et qui était l'Ac! de son temps, se fit chasser de la ville. Toscane Frédéric se fit donner des ota par toutes les villes, par les gibelins a bien que par les guelfes; mais iliẹp |