DES MATIÈRES TRAITÉES DANS LES NOTES.
ABDICATION DE LA PATRIE.-Ques- tions diverses relatives à cette matière, t. I, p. 512 et suiv. ABUS. Voir Recours pour abus. ACADÉMIE des sciences morales et politiques. But de cette insti- tution. Ses services et ses tra- vaux, t. I, p. 45 et suiv. ADMINISTRATION MILITAIRE. Son objet. Services dont elle se compose, t. II, p. 351 et suiv. AGGLOMÉRATIONS dans les villes. - Dangers qu'elles présentent, t. I. p. 253. AGRANDISSEMENT (des Nations). A-t-on le droit de s'y opposer, t. II, p. 388 et suiv. AGRICULTURE.
Question de l'utilité des alliances dans les temps mo- dernes, t. II, p. 426. Exem- ples récents d'alliances, ibid. ALLIANCE DÉfensive. - Définition. Appréciation. Caractère de cette alliance, t. II, p. 432 et suiv.
proques, t. II, p. 435 et suiv. — Alliés de l'ennemi, considérés comme parties belligérantes prin- cipales, ou comme neutres, p. 443. ALTERNAT. Moyens d'éviter le retour des discussions de pré- séance, t. II, p. 16. AMBASSADEUR. publics. AMÉRIQUE (États-Unis d'). nion de l'Éditeur de 1775 sur les colons de l'Amérique du Nord, t. I, p. xxiv et suiv. Guerre de l'indépendance, p. xxv. AMÉRIQUE (Centrale et Méridio- nale). Forme du gouverne- ment des États qui la composent, t. I, p. 121. AMNISTIE. Définition de l'am- nistie, et questions diverses sur cette matière, t. III, p. 157 et suiv.
Leurs obligations réci- ANDROlepsie.
derne. — Législation nouvelle de la France, t. II, p. 94 et suiv. AUTORITÉ DE LA CHOSE JUGÉE, t. II, p. 62 et suiv.; p. 65, 67 et suiv. - Elle ne dérive pas du droit des gens, mais du droit civil, p 68.
Considérations et opinions di- verses, p. 68 et suiv. -- Règle du droit moderne, p. 68 et 69. AUTRICHE. Forme de son gou- vernement, t. I, p. 120.
ibid., et p. 472. spéciale, p. 472.
BLOCUS PACIFIQUE. - Exemples ti- rés de l'histoire contemporaine, t. II, p. 334 et suiv. BONNE FOI. Doit être observée envers l'ennemi, t. III, p. 51. Doit-on toujours supposer l'en- nemi de bonne foi? p. 71. BONS OFFICES. En quoi ressem- blent-ils à la médiation? t. II, p. 307. BRÉSIL. - Forme de son gouver- nement, t. I, p. 121. BULLES DU SAINT-SIÉGE.-Leur en- registrement. - Droit public fran- çais, t. I, p. 381 et suiv. BUREAU DES PAUVRES (le), P. 441.
BUTIN (le). - Droit moderne, t. III, p. 39 et suiv. Modes d'attri- tion du butin, ibid.
priété d'un territoire, t. I, p. 491. CESSIONS DE TERRITOIRES. Des cessions de territoires par traités de paix, t. III, p. 179 et suiv. CHANGEMENT DE NATIONALITÉ. Résulte de la seule force de la loi, ou du fait de l'individu, t. I, p. 503 et suiv. - Du changement résultant de la seule force de la loi, p. 503. Du changement résultant du fait de l'individu, voir Naturalisation CHARITÉ SOCIALE. Le droit natu rel ordonne-t-il d'augmenter le bien-être des autres, lorsqu'on le peut sans sacrifice? Discussion, opinions diverses, t. I, p. 91. Fondement du devoir des nations" de s'entr'aider mutuellement, p. 93.
CLERGÉ. Voir Propriétés. COLONIES. Les colonies antiques et les colonies modernes, t. I, p. 496 et suiv. - L'Empire colonial de la France, p. 497 et suiv. Indication de questions sur les colonies, p. 498 et suiv. - Attri- butions du Sénat français, quant à l'Algérie et aux colonies, p 499.
COMMERCE. Effets politiques et
sociaux de cet instrument de ci-
vilisation, t. I, p. 262 et 263.
Le commerce a modifié la nature
même de la guerre, p. 263.
Faut-il préférer le commerce in-
térieur au commerce extérieur?
p. 264.-Avantages du commerce
extérieur, p. 265. Principes
reconnus de nos jours par la
science économique, à propos du
commerce extérieur, p. 266 et
suiv. Question de la liberté du
- Le
commerce, p. 269 et suiv.
refus de commerce de la part
d'un peuple, est-il une cause lé-
gitime de guerre? t. I, p. 612
et suiv.
Mode d'acquérir la propriété d'un territoire, t. I, p. 491.-Les guerres de conquê- tes sont-elles possibles de nos jours? t. II, p. 370 et suiv. CONSCIENCE.-Question de la liberté de conscience, t. I, p. 343 et suiv. Principes modernes.
Devoirs du gouvernement, ibid. Distinction entre la liberté de conscience et la liberté de l'exercice du culte, p. 355 et suiv. CONSENTEMENT TACITE.-Le silence des peuples est-il l'équivalent d'un consentement tacite? t. I, p. 164 et suiv.
CONSENTEMENT TACITE (à propos 'de la foi des traités), t. II, p. 232. CONSERVATION (droit de), des États souverains, II, p. 20 et suiv. CONSTITUTION. Définition, t. I, p. 153 et suiv. Décide-t-elle seule du bonheur d'un pays? p. 156.
Inconvénients des dispositions trop générales contenues dans les constitutions, p. 157. La loi fondamentale est-elle obligatoire pour le corps du peuple? p. 166 et suiv. Peut-elle être modifiée par le pouvoir législatif? p. 169 et suiv. Est-elle un contrat en- tre la nation et le chef du gou- vernement? p. 190 et suiv. CONSULS.-De l'institution des con-
CONTRAT SOCIAL. -Les philosophes le décomposent en pacte de réu- nion et de soumission ou sujé- tion. Étendue de ces pactes, t. I, p. 114. Théorie de J.-J. Rous- seau, ibid. Observations de Benjamin Constant, ibid. CONTREBANDE DE GUERRE. - Défi- nition.-Exposition des questions soulevées à ce sujet. Opinions diverses, t. II, p 458 et suiv. CONTRIBUTIONS DE GUERRE, t. III, p. 42. CONTRIBUTIONS PUBLIQUES. - Prin- cipes du droit public moderne, t. II, p. 219 et suiv. CONVENTIONS.-La nature des con- ventions entre les gouvernements se règle-t-elle d'après les mêmes principes que les contrats entre les particuliers? t. I, p. 483 et suiv.
CONVENTIONS INTERNATIONALES
En quoi elles diffèrent des con- ventions des particuliers? t. II, p. 137 et suiv. Conventions transitoires, et traités propre- ment dits, p. 140 et suiv. CORPORATIONS INDustrielles, t. I, p. 282 et 283. CORRUPTION. Est-il permis de corrompre la fidélité de son en- nemi ? t. III, p. 63 et suiv.
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