cas de siége et de blocus, t. II, p. 469. Le droit des gens mo- derne tend à les isoler des neu- tres, p. 481. BELLIGERANTS. - Principes qui doi- vent présider aux relations des belligérants dans la guerre, t. III, p. 37 et suiv. Droit moderne, ibid. Quelle est la limite des droits rigoureux que comporte la guerre? p. 44 et suiv. BLOCUS (droit de).
C'est une question de souveraineté, et non de neutralité, t. II, p. 469.-Con- dition d'efficacité des blocus, p. 469 et suiv. Historique, p. 470. Principes admis par le droit moderne, p. 471. Quand com- mence le blocus, ibid.
il être notifié diplomatiquement? ibid.- Quand est-il obligatoire?
BLOCUS PACIFIQUE. — Exemples ti- rés de l'histoire contemporaine, t. II, p. 334 et suiv. BONNE FOI.
envers l'ennemi, t. III, p. 51. Doit-on toujours supposer l'en- nemi de bonne foi? p. 71. BONS offices. En quoi ressem- blent-ils à la médiation? t. II, p. 307. BRÉSIL. Forme de son gouver- nement, t. I, p. 121. BULLES DU SAINT-SIÉGE.-Leur en- registrement. - Droit public fran- çais, t. I, p. 381 et suiv. BUREAU DES PAUVRES (le), t. I, P. 441.
BUTIN (le). - Droit moderne, t. III, p. 39 et suiv. Modes d'attri- tion du butin, ibid.
de clémence dans le droit public
contemporain, t. III, p. 155.
CLERGÉ.Voir Propriétés. COLONIES. Les colonies antiques et les colonies modernes, t. I, p. 496 et suiv. - L'Empire colonial de la France, p. 497 et suiv. Indication de questions sur les colonies, p. 498 et suiv. - Attri- butions du Sénat français, quant à l'Algérie et aux colonies, p 499.
COMMERCE. Effets politiques et
sociaux de cet instrument de ci-
vilisation, t. I, p. 262 et 263.
Le commerce a modifié la nature
même de la guerre, p. 263.
Faut-il préférer le commerce in-
térieur au commerce extérieur?
p. 264.-Avantages du commerce
extérieur, p. 265. Principes
reconnus de nos jours par la
science économique, à propos du
commerce extérieur, p. 266 et
suiv. Question de la liberté du
commerce, p. 269 et suiv. Le
refus de commerce de la part
d'un peuple, est-il une cause lé-
gitime de guerre? t. I, p. 612
et suiv.
COMMERCE des neutres, t. II, p. 456.
COMMERCIUM Belli. -Ce qu'il faut
Distinction entre la liberté de conscience et la liberté de l'exercice du culte, p. 355 et suiv. CONSENTEMENT TACITE.-Le silence des peuples est-il l'équivalent d'un consentement tacite? t. I, p. 164 et suiv.
CONSENTEMENT TACITE (à propos 'de la foi des traités), t. II, p. 232. CONSERVATION (droit de), des États souverains, t. II, p. 20 et suiv. CONSTITUTION. Définition, t. I, p. 153 et suiv. Décide-t-elle seule du bonheur d'un pays? p. 156.
Inconvénients des dispositions trop générales contenues dans les constitutions, p. 157. La loi fondamentale est-elle obligatoire pour le corps du peuple? p. 166 et suiv. Peut-elle être modifiée par le pouvoir législatif? p. 169 et suiv. Est-elle un contrat en- tre la nation et le chef du gou- vernement? p. 190 et suiv. CONSULS.-De l'institution des con-
CONTRAT SOCIAL. -Les philosophes le décomposent en pacte de réu- nion et de soumission ou sujé- tion. Étendue de ces pactes, t. I, p. 114. Théorie de J.-J. Rous- seau, ibid. Observations de Benjamin Constant, ibid. CONTREBANDE DE GUERRE. - Défi- nition.-Exposition des questions soulevées à ce sujet. - Opinions diverses, t. II, p 458 et suiv. CONTRIBUTIONS DE GUERRE, t. III, p. 42. CONTRIBUTIONS PUBLIQUES. — Prin- cipes du droit public moderne, t. II, p. 219 et suiv. CONVENTIONS.-La nature des con- ventions entre les gouvernements se règle-t-elle d'après les mêmes principes que les contrats entre les particuliers? t. I, p. 483 et
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