Revue historique, Volume 70Librairie G. BailleĂšre, 1899 - History |
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REVUE HISTORIQUE Paraissant tous les deux mois . Ne quid falsi audeat , ne quid veri non audeat historia . CICERON , de Orat . , II , 15 . VINGT - QUATRIĂME ANNĂE . TOME SOIXANTE - DIXIĂME Mai - AoĂ»t 1899 . PARIS ANCIENNE LIBRAIRIE ...
REVUE HISTORIQUE Paraissant tous les deux mois . Ne quid falsi audeat , ne quid veri non audeat historia . CICERON , de Orat . , II , 15 . VINGT - QUATRIĂME ANNĂE . TOME SOIXANTE - DIXIĂME Mai - AoĂ»t 1899 . PARIS ANCIENNE LIBRAIRIE ...
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Popular passages
Page 288 - NapolĂ©on, empereur des Français, roi d'Italie et protecteur de la confĂ©dĂ©ration du Rhin ; Sur le rapport de notre Ministre des relations extĂ©rieures , Notre Conseil d'Etat entendu , Nous avons dĂ©crĂ©tĂ© et dĂ©crĂ©tons ce qui suit: Art.â
Page 319 - GuĂšbre honore au pied de ses montagnes, En invoquant l'astre du ciel, Ici sont rassemblĂ©s, sous ton regard immense, De l'empire français les fils et les soutiens, CĂ©lĂ©brant devant toi leur bonheur qui commence...â
Page 18 - Maintenant, Sire, la coalition est dissoute, et elle l'est pour toujours. Non seulement la France n'est plus isolĂ©e en Europe, mais Votre MajestĂ© a dĂ©jĂ un systĂšme fĂ©dĂ©ratif tel que cinquante ans de nĂ©gociations ne sembleraient pas pouvoir parvenir Ă le lui donner.â
Page 316 - L'AssemblĂ©e Nationale constituante en remet le dĂ©pĂŽt Ă la fidĂ©litĂ© du Corps lĂ©gislatif, du Roi et des juges, Ă la vigilance des pĂšres de famille, aux Ă©pouses et aux mĂšres, Ă l'affection des jeunes citoyens, au courage de tous les Français.â
Page 319 - Puisses-tu ne rien voir, dans ta course fĂ©conde, Qui soit Ă©gal Ă leur grandeur! Malheur au despotisme; et que l'Europe entiĂšre, Du sang des oppresseurs engraissant ses sillons, Soit pour notre dĂ©esse un vaste sanctuaire , SCĂNE I.â
Page 297 - Chamlay Ă©toit un fort gros homme, blond et court, l'air grossier et paysan, mĂȘme rustre, et l'Ă©toit de naissance, avec de l'esprit, de la politesse, un grand et respectueux savoir-vivre avec tout le monde, bon, doux, affable, obligeant, dĂ©sintĂ©ressĂ©, avec un grand sens et un talent unique Ă connoĂźtre les pays, et n'oublier jamais la position des moindres lieux, ni le cours et la nature du plus petit ruisseau.â
Page 296 - Chamlay avoit toujours passĂ© pour le meilleur marĂ©chal des logis d'une armĂ©e. RecherchĂ© par tous les gĂ©nĂ©raux, estimĂ© du Roi, et, qui plus est, de Turenne, il n'en Ă©toit pas moins cher Ă Louvois; ce qui prouve qu'il Ă©toit nĂ©cessaire Ă tous.â
Page 104 - J'ai fait du mal... C'est moi qui suis la cause de trois grandes guerres ; c'est moi qui ai, sur des champs de bataille, fait tuer 80000 hommes qui, aujourd'hui encore, sont pleures par leurs mĂšres, leurs frĂšres, leurs sĆurs, leurs veuves!... Mais tout cela c'est affaire entre moi seul et Dieu ! Je n'en ai jamais retirĂ© aucune joie et je m'en sens aujourd'hui l'Ăąme anxieuse et troublĂ©e.â
Page 180 - Annales de la SociĂ©tĂ© d'Ă©mulation pour l'Ă©tude de l'histoire et des antiquitĂ©s de la Flandre.â
Page 45 - L'unitĂ© de la patrie allemande est leur cri, leur dogme, leur religion exaltĂ©e jusqu'au fanatisme, et ce fanatisme a gagnĂ© mĂȘme des princes actuellement rĂ©gnants. Or, cette unitĂ©, dont la France pouvait n'avoir rien Ă craindre quand elle possĂ©dait la rive gauche du Rhin et la Belgique, serait maintenant pour elle d'une trĂšs grande consĂ©quence. Qui peut d'ailleurs prĂ©voir les suites de l'Ă©branlement d'une masse telle que l'Allemagne, lorsque ses Ă©lĂ©ments...â