Histoire parlementaire de la révolution française: ou, Journal des assemblées nationales, depuis 1789 jusqu'en 1815, Volumes 39-40Paulin, 1838 - France |
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Page 225
... maréchal Da- voust avait , dès la veille , marché pour déborder Eylau , et tom- ber sur le flanc gauche de l'ennemi s'il ne changeait pas de posi- tion . Le maréchal Ney était en marche pour le déborder sur son flanc droit . C'est dans ...
... maréchal Da- voust avait , dès la veille , marché pour déborder Eylau , et tom- ber sur le flanc gauche de l'ennemi s'il ne changeait pas de posi- tion . Le maréchal Ney était en marche pour le déborder sur son flanc droit . C'est dans ...
Page 226
... maréchal Davòust . A peine le corps du maré- chal Augereau et la division Saint - Hilaire eurent - ils débouché , qu'une neige épaisse , et telle qu'on ne distinguait pas à deux pas , couvrit les deux armées . Dans cette obscurité , le ...
... maréchal Davòust . A peine le corps du maré- chal Augereau et la division Saint - Hilaire eurent - ils débouché , qu'une neige épaisse , et telle qu'on ne distinguait pas à deux pas , couvrit les deux armées . Dans cette obscurité , le ...
Page 227
... maréchal Ney débouchait par Al- torff sur la gauche , et poussait devant lui le reste de la colonne prussienne échappée au combat de Deppen . Il vint se placer le soir au village de Schenaditten , et par là l'ennemi se trouva telle ...
... maréchal Ney débouchait par Al- torff sur la gauche , et poussait devant lui le reste de la colonne prussienne échappée au combat de Deppen . Il vint se placer le soir au village de Schenaditten , et par là l'ennemi se trouva telle ...
Page 294
... maréchal Jourdan , son major - général . Ils formaient en- semble une masse évaluée à plus de deux cent mille hommes de troupes en général très - aguerries . Mais la puissance de cette masse redoutable était amoindrie par la nature même ...
... maréchal Jourdan , son major - général . Ils formaient en- semble une masse évaluée à plus de deux cent mille hommes de troupes en général très - aguerries . Mais la puissance de cette masse redoutable était amoindrie par la nature même ...
Page 296
... maréchal Ney était chargé de surveiller la Galice en sa place , de maintenir ses communications libres , et de l'appuyer au besoin . Soult commandait le deuxième corps fort de quarante - sept mille hommes . Mais il avait été obligé de ...
... maréchal Ney était chargé de surveiller la Galice en sa place , de maintenir ses communications libres , et de l'appuyer au besoin . Soult commandait le deuxième corps fort de quarante - sept mille hommes . Mais il avait été obligé de ...
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Common terms and phrases
alliés Anglais armée armes armistice attaque Autrichiens avaient bataillons Bautzen Bernadotte blessés Blücher Bonaparte c'était capitale cavalerie cent mille hommes chargé citoyens coalisés colléges électoraux combat commandée commission comte confédération du Rhin conscrits conseil d'état corps législatif Davoust déclaration décret départemens députés devait division Dresde Enfin ennemis Espagnols eût évacué forces garde nationale garnison gauche général gouvernement guerre heures impériale jours l'Angleterre l'armée française l'Autriche l'em l'empereur l'empire l'ennemi l'Europe ligne long-temps majesté marche maréchal Marmont Masséna mée membres ment militaire ministre Moreau Moskou Moskwa n'avait n'était Napoléon Napoléon Bonaparte nation négociations nommé officiers paix passer peuple Pichegru pièces de canon police porter position premier consul présenter président prince prisonniers prit proclamation projet Prusse Prussiens puissances reste retraite réunir Rhin rive route Russie s'était Schwartzenberg sénat sénatus-consulte sentimens sera session seul Silésie Smolensk soldats Soult tion titre trente mille tribunat trône troupes trouva village Vistule
Popular passages
Page 529 - Les Français ont le droit de publier et de faire imprimer leurs opinions, en se conformant aux lois qui doivent réprimer les abus de cette liberté.
Page 322 - Mais le sang de mes enfans a coulé par une trahison dont les annales du monde n'offrent pas d'exemple : cette trahison a appelé l'étranger dans le cœur de la France; chaque jour me révèle un désastre nouveau. Je dois donc, pour la dignité de mon trône, pour l'intérêt de mes peuples, pour le repos de l'Europe, excepter du pardon les instigateurs et les auteurs de cette trame horrible. Ils seront désignés à la vengeance des lois par les deux Chambres, que je me propose d'assembler incessamment.
Page 280 - La qualité de citoyen français se perd : — Par la naturalisation en pays étranger ; — Par l'acceptation de fonctions ou de pensions offertes par un Gouvernement étranger ; — Par l'affiliation à toute corporation étrangère qui supposerait des distinctions de naissance ; — Par la condamnation à des peines afflictives ou infamantes.
Page 529 - Le roi est le chef suprême de l'Etat ; il commande les forces de terre et de mer , déclare la guerre , fait les traités de paix , d'alliance et de commerce...
Page 531 - Aucun impôt ne peut être établi ni perçu s'il n'a été consenti par les deux Chambres et sanctionné par le roi.
Page 188 - L'intérêt que je porte à mon fils m'engage à inviter les chambres à organiser sans délai la régence par une loi. Unissez-vous tous pour le salut public et pour rester une nation indépendante.
Page 7 - France, prétendraient-ils commander et enchaîner nos aigles, eux qui n'ont jamais pu en soutenir les regards? Souffrironsnous qu'ils héritent du fruit de nos glorieux travaux; qu'ils s'emparent de nos honneurs, de nos biens; qu'ils calomnient notre gloire? Si leur règne durait, tout serait perdu, même le souvenir de ces immortelles journées. Avec quel acharnement ils les dénaturent!
Page 149 - J'accepte le titre que vous croyez utile à la gloire de la nation. Je soumets à la sanction du peuple la loi de l'hérédité. J'espère que la France ne se repentira jamais des honneurs dont elle environnera ma famille. Dans tous les cas, mon esprit ne sera plus avec ma postérité, le jour où elle cesserait de mériter l'amour et la confiance de la grande nation.
Page 391 - Qui a adulé le peuple en proclamant à une souveraineté qu'il était incapable d'exercer? Qui a détruit la sainteté et le respect des lois en les faisant dépendre, non des principes sacrés de la justice, de la nature des choses et de la justice civile, mais seulement de la volonté d'une assemblée composée d'hommes étrangers à la connaissance des lois civiles, criminelles, administratives, politiques et militaires ? Lorsqu'on est appelé à régénérer un état , ce sont des principes...
Page 464 - Le Sénat conservateur, considérant que dans une monarchie constitutionnelle le monarque n'existe qu'en vertu de la constitution, ou du pacte social ; « Que Napoléon Bonaparte, pendant quelque temps d'un gouvernement ferme et prudent, avait donné à la nation des sujets de compter, pour l'avenir, sur des actes de sagesse et de justice ; mais qu'ensuite il a déchiré le pacte qui l'unissait...