Manuel de médecine légale et de jurisprudence médicaleLauwereyns, 1877 - 736 pages |
From inside the book
Results 1-5 of 75
Page 12
... maladie ou d'une infir- mité locale , telles que dartres au pourtour des parties sexuelles , affection des voies urinaires , etc. Il appartiendra donc au médecin d'expliquer les causes qui , chez les per- sonnes inculpées , auront pu ...
... maladie ou d'une infir- mité locale , telles que dartres au pourtour des parties sexuelles , affection des voies urinaires , etc. Il appartiendra donc au médecin d'expliquer les causes qui , chez les per- sonnes inculpées , auront pu ...
Page 35
... maladies telles que fissures ou fistules à l'anus , hémorrhoïdes , etc .; ils feront valoir leur grand âge , leur liaison avec des femmes , l'existence de maladies véné- riennes ( 1 ) . Un de leurs grands moyens consiste à contracter ...
... maladies telles que fissures ou fistules à l'anus , hémorrhoïdes , etc .; ils feront valoir leur grand âge , leur liaison avec des femmes , l'existence de maladies véné- riennes ( 1 ) . Un de leurs grands moyens consiste à contracter ...
Page 39
... maladies véné- riennes ? Nous avons déjà fait ressortir les difficultés qui entourent le diagnostic des affections ... maladie et la solution de cette question ac- quiert une grande importance , puisqu'elle peut , en préci- sant l ...
... maladies véné- riennes ? Nous avons déjà fait ressortir les difficultés qui entourent le diagnostic des affections ... maladie et la solution de cette question ac- quiert une grande importance , puisqu'elle peut , en préci- sant l ...
Page 58
... maladies . C'est ainsi qu'on a considéré comme sévices et injures la communication d'une maladie vénérienne , l'abus du droit marital , la sodomie conjugale , la grossesse antérieure au 58 MÉDECINE LÉGALE .
... maladies . C'est ainsi qu'on a considéré comme sévices et injures la communication d'une maladie vénérienne , l'abus du droit marital , la sodomie conjugale , la grossesse antérieure au 58 MÉDECINE LÉGALE .
Page 59
... maladie . Il pourra être prié de donner son opinion sur l'origine première de l'affec- tion et on comprend combien son diagnostic doit alors être réservé . En effet , après avoir constaté l'identité de la ma- ladie chez l'homme et chez ...
... maladie . Il pourra être prié de donner son opinion sur l'origine première de l'affec- tion et on comprend combien son diagnostic doit alors être réservé . En effet , après avoir constaté l'identité de la ma- ladie chez l'homme et chez ...
Common terms and phrases
accidents acide alcaloïdes aliénés asphyxie attentats azotique blessures Briand et Chaudé cadavre caractères cause cavité centimètres certificat chloroforme cicatrices circonstances civil Code civil Code pénal coloration considérable constater contusion corps crime criminel d'aliénés déterminer Devergie doit ecchymoses également emphysème enfant examen femme fœtus fractures général génitaux grossesse incision individu infanticide jours l'abdomen l'accouchement l'alcool l'article l'autopsie l'avortement l'eau l'empoisonnement l'enfant l'estomac l'état l'examen l'expert l'individu l'infanticide l'utérus larynx législation Legrand du Saulle lésions lieu liqueur liquide LUTAUD maladie matières méconium Méd médecin légiste médecine légale médicale médico-légales membrane ment mois mort nouveau-né observe organes peau pédérastie pendant personne petites lèvres peuvent pharmacien plaies poison police poumons pratique précipité présente procédé produit pudeur puni putréfaction quelquefois question respiration s'il sage-femme sang Saulle sera seront service signes simulation souvent strangulation strychnine submersion substances suffocation suicide suivant symptômes syphilis taches Tardieu tion tissu Tourdes tribunal trouve vagin viable viol vulve ᎪᎡᎢ
Popular passages
Page 175 - Tout fait quelconque de l'homme qui cause à autrui un dommage oblige celui par la faute duquel il est arrivé à le réparer.
Page 173 - Les coupables pourront encore être interdits des droits mentionnés en l'article 42 du présent code, pendant cinq ans au moins et dix ans au plus, à compter du jour où ils auront subi leur peine.
Page 175 - On est responsable non seulement du dommage que l'on cause par son propre fait, mais encore de celui qui est causé par le fait des personnes dont on doit répondre, ou des choses que l'on a sous sa garde.
Page 51 - Le mariage qui a été contracté sans le consentement libre des deux époux, ou de l'un d'eux, ne peut être attaqué que par les époux , ou par celui des. deux dont le consentement n'a pas été libre. Lorsqu'il ya eu erreur dans la personne, le mariage ne peut être attaqué que par celui des deux époux qui a été induit en erreur.
Page 155 - Lorsqu'il y aura des signes ou indices de mort violente, ou d'autres circonstances qui donneront lieu de le soupçonner, on ne pourra faire l'inhumation qu'après qu'un officier de police, assisté d'un docteur en médecine ou en chirurgie, aura...
Page 246 - Les principaux de ces faits sont : Que l'individu a toujours porté le nom du père auquel il prétend appartenir; Que le père l'a traité comme son enfant, et a pourvu, en cette qualité, à son éducation, à son entretien et à son établissement; Qu'il a été reconnu constamment pour tel dans la société ; Qu'il a été reconnu pour tel par la famille.
Page 92 - Les médecins, chirurgiens, et autres officiers de santé, ainsi que les pharmaciens, les sages-femmes, et toutes autres personnes dépositaires, par état ou profession, des secrets qu'on leur confie...
Page 156 - Quiconque aura recelé ou caché le cadavre d'une personne homicidée ou morte des suites de coups ou blessures, sera puni d'un emprisonnement de six mois à deux ans, et d'une amende de cinquante francs à quatre cents francs, sans préjudice de peines plus graves, s'il a participé au crime.
Page 173 - Seront punis comme coupables d'assassinat tous malfaiteurs, quelle que soit leur dénomination, qui, pour l'exécution de leurs crimes, emploient des tortures ou commettent des actes de barbarie.
Page 155 - En cas de décès dans les hôpitaux militaires, civils ou autres maisons publiques, les supérieurs, directeurs, administrateurs et maîtres de ces maisons, seront tenus d'en donner avis, dans les vingt-quatre heures, à l'officier de l'état civil, qui s'y transportera pour s'assurer du décès, et en dressera l'acte conformément à l'article précédent, sur les déclarations qui lui auront été faites, et sur les renseignements qu'il aura pris.