 II faut qu'avril jaloux brûle de ses gelées Le beau pommier, trop fier de ses fleurs étoilées, Neige odorante du printemps. Oui, c'est la vie. Après le jour, la nuit livide', Après tout, le réveil, infernal ou divin. Autour du grand banquet siège...  Mémoires - Page 87by Société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts - 1884Full view - About this book
 | Victor Hugo - 1829 - 456 pages
...printemps. Oui, c'est la vie. Après le jour,la nuit livide. Après tout, le réveil , infernal ou divin. Autour du grand banquet siège une foule avide ; Mais bien des conviés laissent leur place vide, Et se lèvent avant la fin. II. Que j'en ai vu mourir! — l'une était rose et blanche;... | |
 | M. J. Janin - French poetry - 1829 - 326 pages
...printemps. Oui , c'est la vie. Après le jour, la nuit livide. Après tout, le réveil, infernal ou divin. Autour du grand banquet siège une foule avide; Mais bien des conviés laissent leur place vide , Et se lèvent avant la fin. II. Que j'en ai vu mourir ! — l'une était rose et blanche... | |
 | Charles marquis De Salvo - 1834 - 304 pages
...trépas. C'est le destin! après le jour la nuit livide, Après tout, le réveil infernal ou divin Autour du grand banquet siège une foule avide, Mais bien des conviés laissent leur place vide, Et se lèvent avant la fin ! V H. POURQUOI chercher de nouvelles émotions dans un temps... | |
 | Fleurs - 1834 - 264 pages
...printemps. Oui, c'est la vie. Après le jour, la nuit livide. Après tout, le réveil, infernal ou divin. Autour du grand banquet siège une foule avide ; Mais bien des conviés laissent leur place vide, Et se lèvent avant la fin. Que j'en ai vu mourir ! — L'une était rose et blanche ;... | |
 | Victor Hugo - 1834 - 384 pages
...printemps. Oui, c'est la vie. Après le joui', la nuit livide. Après tout, le réveil, infernal ou divin. Autour du grand banquet siège une foule avide ; Mais bien des conviés laissent leur place vide, Et se lèvent avant la fin. II. Que j'en ai vu mourir ! — l'une était rose et blanche... | |
 | Victor Hugo - 1842 - 944 pages
...printemps. Oui, c'est la vie. Après le jour, la nuit livide. Après tout, le réveil, infernal ou divin. Ravaillac agita ses fers ; Et le monstre, étendant ses deux ailes livides, Aux appl place vide, Et se lèvent avant la fin. Il yue j'en ai vu mourir! — L'une était rosé et blanche;... | |
 | A. F. GUILLEREZ - 1842 - 258 pages
...printemps. Oui, c'est la vie. Après le jour, la nuit livide. Après tout, le réveil, infernal ou divin. Autour du grand banquet siège une foule avide ; Mais bien des conviés laissent leur place vide. Et se lèvent avant la fin. Que j'en ai vu mourir ! — L'une était rose et blanche ;... | |
 | Victor Hugo - 1843 - 830 pages
...printemps. Oui , c'est la vie. Après le jour, la nuit livide. Après tout, le réveil , infernal ou divin. Autour du grand banquet siège une foule avide ; Mais bien des conviés laissent leur place vide , Etse lèvent avant la fin. Que j'en ai vu mourir ! — L'une était rosé et blanche ;... | |
 | Chapsal (M., Charles Pierre) - Authors, French - 1846 - 408 pages
...printemps. Oui, c'est la vie. Après le jour, la nuit livide. Après tout, le réveil, infernal ou divin. Autour du grand banquet siège une foule avide ; Mais bien des conviés laissent leur place vide, Et se lèvent avant la fin. Que j'en ai vu mourir ! l'une était rosé et blanche ; L'autre... | |
 | Chapsal (M., Charles Pierre) - 1848 - 406 pages
...printemps. Oui, c'est la vie. Après le jour, la nuit livide. Après tout, le réveil, infernal ou divin. Autour du grand banquet siège une foule avide ; Mais bien des conviés laissent leur place vide, Et se lèvent avant la fin. Que j'en ai vu mourir ! l'une était rosé et blanche ; L'autre... | |
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