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sitions en principal,

7,445,00.

En 1809 patentes, 145,00.

Total,

7,590,00.

Il est aujourd'hui de l'arrondissement de Lille, canton de Templeuve en Pevèle.

Juge de paix, monsieur Poutrain, demeurant à Cappelle. Greffier, Boisse, demeurant

à Cisoing.

Maire, monsieur Fievet. Adjoint, monsieur Chuffart. Percepteur, monsieur Bray. Curé, monsieur Couturier. Garde champêtre, Debroud. Voyez cet ouvrage, vol. 8, pages 93, 99 et 100.

Vol. 9, pages 13 et 14.
Vol. 15, page 149.

Vol. 22, pages 153 et 154
Vol. 25, page 73.

Vol. 54, page 110.

Buzelinus gallo Flandria sacra et profana, vol. 1, page 87, lettre C. Statistique du département du Nord, vol. 3, pages 294 et 295. Annuaire du département du Nord, pour l'an 1812, pages 262 et 263, et tableau des villages à la fin.

Recueil des édits et déclarations enregistrés au parlement de Flandre, vol. 7, pages 313 et 314. Manuscrit de Legroux, curé de Marque, sur les villages des chátellenies de Lille, Douay, etc. Auberti Mirai diplomatum Belgi

corum nova collectio, tome 1

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p. 19. Inventaire de la chambre des

comptes de Lille.

Spicilegium Dachery, édition in4., Paris, 1723, vol. 2, pages 879 et 886.

SUR

L'HISTOIRE DE CAMPHAIN.

hierbanc, corvée, service.

(Vol. 64, page 120, lignes 6 et 7 Ja

(r) Voyez Carpentier, supplément de Ducange, à ces mots et le répertoire universel de jurisprudence.

L

DU VILLAGE

D'ESQUERMES - LEZ - LILLE.

米米米

Son étimologie provient de

On Eke, mot celtique qui signifie eau, ruisseau, rivière, et du mot celtique Erm, qui signifie bras, c'est-à-dire village situé sur un bras de rivière, étant situé effectivement sur l'Arbonnoise et la Station, petites rivières.

Ce village est très-ancien et connu dès le onzième siècle.

L'an 1066, Baudouin-le-Pieux, comte de Flandre, fondateur du chapitre de Saint Pierre à Lille, lui donna 2 manses ( 24 bonniers

et

7

bonniers de terres, (total 31 bonniers) situés à Esquermes; cette donation fut confirmée par Philippe-Auguste, Roi de France, en 1202, et depuis par Louis de Nevers, comte de Flandre en 1380.

L'an 1252, l'abbaye de Looslez-Lille possédoit à Esquermes la moitié d'un vivier, contre Robert, dit Viot de l'Anglois, qui jouissoit de l'autre.

Des lettres de Marguerite, comtesse de Flandre, de la même année, nous apprennent que la moitié appartenant à ladite abbaye étoit tenue d'elle, et l'autre du châtelain de Lille, qui étoit Robert, Sénéchal de la Flandre,

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