Revue des deux mondes, Volume 19Au Bureau de la Revue des deux mondes, 1839 - France |
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... Dieu ! fais qu'il ne devienne pas un objet de haine pour cet homme impitoyable ! ( Il écoute encore . ) Le vieillard me- nace , l'enfant résiste ... Cet enfant est noble et généreux ; oui , c'est une belle ame , et j'aurais dû la ...
... Dieu ! fais qu'il ne devienne pas un objet de haine pour cet homme impitoyable ! ( Il écoute encore . ) Le vieillard me- nace , l'enfant résiste ... Cet enfant est noble et généreux ; oui , c'est une belle ame , et j'aurais dû la ...
Page 22
... Dieu , vous m'avez donné une grande force , je vous re- mercie de ce que mon épreuve est finie . Me punirez - vous pour l'avoir acceptée ? Non ! car à ma place , un autre peut - être en eût odieusement abusé ... et j'ai du moins ...
... Dieu , vous m'avez donné une grande force , je vous re- mercie de ce que mon épreuve est finie . Me punirez - vous pour l'avoir acceptée ? Non ! car à ma place , un autre peut - être en eût odieusement abusé ... et j'ai du moins ...
Page 24
... Dieu ! mon Dieu ! vous êtes le père de l'orphelin , l'appui du faible , le défenseur de l'opprimé ! FIN DU PROLOGUE . Une taverne . SCÈNE PREMIÈRE . GABRIEL , MARC , 24 REVUE DES DEUX MONDES .
... Dieu ! mon Dieu ! vous êtes le père de l'orphelin , l'appui du faible , le défenseur de l'opprimé ! FIN DU PROLOGUE . Une taverne . SCÈNE PREMIÈRE . GABRIEL , MARC , 24 REVUE DES DEUX MONDES .
Page 29
... Dieu ! ... Laisse - moi ! ... pitié ! GABRIEL . Misérable ! que Dieu t'entende et te punisse doublement si tu blasphèmes ! ... Va ! LE SPADASSIN , montant sur la fenêtre . Je m'appelle Giglio .... Je te dois la vie ! ... ( Il s'élance ...
... Dieu ! ... Laisse - moi ! ... pitié ! GABRIEL . Misérable ! que Dieu t'entende et te punisse doublement si tu blasphèmes ! ... Va ! LE SPADASSIN , montant sur la fenêtre . Je m'appelle Giglio .... Je te dois la vie ! ... ( Il s'élance ...
Page 30
... Dieu ! il n'y parait guère quand vous vous battez ! Laissez - moi serrer cette petite main blanche qui combat comme celle d'Achille . GABRIEL , s'essuyant les mains avec un mouchoir de soie richement brodé . De grand cœur , seigneur ...
... Dieu ! il n'y parait guère quand vous vous battez ! Laissez - moi serrer cette petite main blanche qui combat comme celle d'Achille . GABRIEL , s'essuyant les mains avec un mouchoir de soie richement brodé . De grand cœur , seigneur ...
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Common terms and phrases
altesse royale amour anglais Antonio armées arrive assez ASTOLPHE Athènes aujourd'hui avaient Bulwer c'était chambre chef chose colons commence d'Égine dernier devant Dieu dire donner Doriens doute duc de Wellington Éaque Égine Éginètes enfans esprit établissemens étoupes eût Faust FAUSTINA femme filature fils Firdousi force GABRIEL général génie Goethe gouvernement grace Grèce guerre habitans héros hommes Honolulu îles Sandwich j'ai jamais jeune jour jusqu'à Kaous Kauikeaouli l'Angleterre l'armée l'art l'industrie laisser Lélia littéraire littérature Livre des Rois long-temps Lope lord Wellington Louis XVIII machines main malheur MARC maréchal Méhémet-Ali ment Méphistophélès ministre missionnaires monde moyen-âge n'était parler passer pauvre pays pensée persane Perse personne peuple peut-être Phidias PHORKYAS poésie poète politique population porte PRÉCEPTEUR première presque prince puissance qu'une raison reste rien Russie Rustem s'est sais Salerne seigneur semble sentiment serait SETTIMIA seul siècle simurgh sorte surtout système terre Théophile tion traité troupes trouve vrai
Popular passages
Page 873 - Paganisme immortel, es-tu mort? On le dit; • Mais Pan tout bas s'en moque, et la Sirène en rit.
Page 781 - Seront pareillement respectées les personnes et les propriétés particulières ; les habitans , et en général tous les individus qui se trouvent dans la capitale , continueront à jouir de leurs droits et libertés, sans pouvoir être inquiétés ni recherchés en rien , relativement aux fonctions qu'ils occupent ou auraient occupées , à leur conduite et à leurs opinions politiques.
Page 392 - Virgile n'ont point escrit en nostre temps et nous ne sçaurions escrire en leur siècle ; leurs livres, quand ils les firent, estoient nouveaux, et nous en faisons tous les jours de vieux.
Page 400 - Imite qui voudra les merveilles d'autrui: Malherbe a très bien fait, mais il a fait pour lui. Mille petits voleurs l'écorchent tout en vie: Quant à moi, ces larcins ne me font point d'envie. J'approuve que chacun écrive à sa façon: J'aime sa renommée, et non pas sa leçon.
Page 869 - J'ai évoqué tous les spectres , j'ai lutté avec tous les démons , j'ai supplié tous les saints et tous les anges, j'ai sacrifié à toutes les passions. Vérité ! vérité ! tu ne t'es pas révélée, depuis dix mille ans je te cherche et je ne t'ai pas trouvée ! Et depuis dix mille ans , pour toute réponse à mes cris , pour tout soulagement à mon agonie , j'entends planer sur cette terre maudite le sanglot désespéré du désir impuissant ! Depuis dix mille ans je t'ai sentie dans mon...
Page 400 - Sont un mois à connaître en talent la parole, Lorsque l'accent est rude, ou que la rime est molle , Veulent persuader que ce qu'ils font est beau , Et que leur renommée est franche du tombeau , Sans autre fondement sinon que tout leur âge S'est...
Page 677 - Je sais qu'un noble esprit peut, sans honte et sans crime, Tirer de son travail un tribut légitime'; Mais je ne puis souffrir ces auteurs renommés, Qui, dégoûtés de gloire et d'argent affamés, Mettent leur Apollon aux gages d'un libraire, Et font d'un art divin un métier mercenaire. Avant que la raison, s'expliquant par la voix...
Page 561 - Quelques aumônes que l'on fait à un homme nu dans les rues ne remplissent point les obligations de l'état, qui doit à tous les citoyens une subsistance assurée, la nourriture, un vêtement convenable , et un genre de vie qui ne soit point contraire à la santé.
Page 399 - J'en suis tout transporté, le cœur me bat au sein, Je ne crois plus avoir l'entendement bien sain, Et pour m'être souillé de cet abord funeste, Je crois longtemps après que mon âme a la peste. Cependant il faut vivre en ce commun malheur, Laisser à part esprit et franchise et valeur, Rompre...
Page 513 - Le jeu de monades, auquel je prends plaisir, ne divertit nullement mes sujettes; et peut-être, en outre, les fatigue. Combien elles seraient plus heureuses d'aller où leur aptitude les entraîne ! combien, au lieu de courir en désœuvrées sur mon clavier, elles aimeraient mieux , abeilles laborieuses, voltiger sur les prés , se poser sur un arbre, et s'enivrer du suc des fleurs!