Motifs et discours prononcés lors de la publication du Code Civilchez Firmin Didot Frères, 1841 - 881 pages |
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... ordre essentiel des sociétés , au maintien de la décence publique , à la sûreté des patrimoines , à la prospé- rité générale . Nous avons respecté , dans les lois publiées par nos assemblées nationales sur les matières civiles , toutes ...
... ordre essentiel des sociétés , au maintien de la décence publique , à la sûreté des patrimoines , à la prospé- rité générale . Nous avons respecté , dans les lois publiées par nos assemblées nationales sur les matières civiles , toutes ...
Page 9
... ordre physique de la nature , qui est commun à tous les êtres ani- més , avec le droit naturel , qui régit particuliè- rement les hommes , et qui est fondé sur les rap - rée de l'union conjugale , en cimentant chaque année ports que des ...
... ordre physique de la nature , qui est commun à tous les êtres ani- més , avec le droit naturel , qui régit particuliè- rement les hommes , et qui est fondé sur les rap - rée de l'union conjugale , en cimentant chaque année ports que des ...
Page 11
... ordre constant dans les familles , et à donner à l'amour un empire si réglé qu'il ne puisse jamais troubler cet ordre . Alors la faculté du divorce est proscrite ou lais- pays , selon le plus ou le moins de liberté que l'on croit devoir ...
... ordre constant dans les familles , et à donner à l'amour un empire si réglé qu'il ne puisse jamais troubler cet ordre . Alors la faculté du divorce est proscrite ou lais- pays , selon le plus ou le moins de liberté que l'on croit devoir ...
Page 15
... ordre pres- crit par la loi , pour laisser une postérité légitime . On a porté si loin la faveur du droit commun ... ordre des familles . En France , on a plus consulté l'équité naturelle , qui parlait en faveur des enfants , que cette ...
... ordre pres- crit par la loi , pour laisser une postérité légitime . On a porté si loin la faveur du droit commun ... ordre des familles . En France , on a plus consulté l'équité naturelle , qui parlait en faveur des enfants , que cette ...
Page 22
... ordre des successions . Il est nécessaire qu'un tel ordre existe , comme il est nécessaire qu'il y ait des lois . Le droit de suc- céder en général est donc d'institution sociale . Mais tout ce qui regarde le mode du partage dans les ...
... ordre des successions . Il est nécessaire qu'un tel ordre existe , comme il est nécessaire qu'il y ait des lois . Le droit de suc- céder en général est donc d'institution sociale . Mais tout ce qui regarde le mode du partage dans les ...
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Common terms and phrases
actes ascendants aurait cause chose citoyens clause pénale code civil codébiteurs cohéritiers collatéraux conseil de famille conseiller d'État consentement conserver contrat créan créancier débiteur déclaration disposer disposition divorce doit doivent domicile donataire donateur donation donner effet enfants naturels entre-vifs époux espèce établi faculté faveur formes gouvernement héritiers hommes immeubles intérêts juge jurisprudence juste justice Justinien l'absent l'acte l'adoption l'article l'autre l'égard l'enfant l'époux l'état civil l'héritier l'intérêt l'obligation l'un l'usufruit laisser légale légataire légitime lois mariage matière ment mineur mœurs mort civile motifs naissance nature nécessaire objet obligations parents paternelle paternité payement père et mère personne peuvent portion possession pourra pouvait pré premier présomption présumer preuve preuve testimoniale principe projet de loi propriétaire propriété public publique qu'un quotité disponible raison registres règle rescision résulte riage romain s'il sentiment serait seront servitudes seul sion société succession testament tiers tion titre toyens tribunat tribunaux tribuns tutelle tuteur usufruit volonté
Popular passages
Page 30 - On ne peut déroger, par des conventions particulières, aux lois qui intéressent l'ordre public et les bonnes mœurs.
Page 300 - La propriété est le droit de jouir et de disposer des choses de la, manière la plus absolue, pourvu qu'on n'en fasse pas un usage prohibé par les lois ou par les règlements.
Page 297 - L'usufruit est le droit de jouir des choses dont un autre a la propriété, comme le propriétaire lui-même, mais à la charge d'en conserver la substance.
Page 481 - Les présomptions qui ne sont point établies par la loi. sont abandonnées aux lumières et à la prudence du magistrat, qui ne doit admettre que des présomptions graves, précises et concordantes, et dans les cas seulement où la loi admet les preuves testimoniales, à moins que l'acte ne soit attaqué pour cause de fraude ou de dol.
Page 248 - Si la mère tutrice veut se remarier, elle devra, avant l'acte de mariage, convoquer le conseil de famille, qui décidera si la tutelle doit lui être conservée. A défaut de cette convocation, elle perdra la tutelle de plein droit ; et son nouveau mari sera solidairement responsable de toutes les suites de la tutelle qu'elle aura indûment conservée.
Page 480 - L'autorité de la chose jugée n'a lieu qu'à l'égard de ce qui a fait l'objet du jugement. Il faut que la chose demandée soit la même ; que la demande soit fondée sur la même cause ; que la demande soit entre les mêmes parties , et formée par elles et contre elles en la même qualité.
Page 271 - Les biens qui n'appartiennent pas à des particuliers, sont administrés et ne peuvent être aliénés que dans les formes et suivant les règles qui leur sont particulières.
Page 264 - Après la mort d'un individu, les actes par lui faits ne pourront être attaqués pour cause de démence, qu'autant que son interdiction aurait été prononcée ou provoquée avant son décès, à moins que la preuve de la démence ne résulte de l'acte même qui est attaqué.
Page 209 - La faculté d'adopter ne pourra être exercée qu'envers l'individu à qui l'on aura, dans sa minorité et pendant six ans au moins, fourni des secours et donné des soins non interrompus...
Page 476 - Les copies qui, sans l'autorité du magistrat, ou sans le consentement des parties, et depuis la délivrance des grosses ou premières expéditions, auront été tirées sur la minute de l'acte par le notaire qui l'a reçu, ou par l'un de ses successeurs, ou par officiers publics qui, en cette qualité, sont dépositaires des minutes, peuvent, au cas de perte de l'original, faire foi quand elles sont anciennes.