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... religieuses et les autres institutrices à se munir de brevets ? De quel droit prétend - on leur imposer cette contrainte ? Où s'arrêtera ce système d'oppres- sion et d'usurpation ? S'il s'y mêloit des vues fiscales , si l'on faisoit ...
... religieuses et les autres institutrices à se munir de brevets ? De quel droit prétend - on leur imposer cette contrainte ? Où s'arrêtera ce système d'oppres- sion et d'usurpation ? S'il s'y mêloit des vues fiscales , si l'on faisoit ...
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... religieuses et les autres institutrices à se munir de brevets ? De quel droit prétend - on leur imposer cette contrainte ? Où s'arrêtera ce système d'oppres- sion et d'usurpation ? S'il s'y mêloit des vues fiscales , si l'on faisoit ...
... religieuses et les autres institutrices à se munir de brevets ? De quel droit prétend - on leur imposer cette contrainte ? Où s'arrêtera ce système d'oppres- sion et d'usurpation ? S'il s'y mêloit des vues fiscales , si l'on faisoit ...
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... religieuses et sociales , qui , développé par des institutions admirables , formoit , chez les François , le trait le plus marqué du caractère national . On avoit conçu que l'enseignement , pour être utile , devoit être proportionné aux ...
... religieuses et sociales , qui , développé par des institutions admirables , formoit , chez les François , le trait le plus marqué du caractère national . On avoit conçu que l'enseignement , pour être utile , devoit être proportionné aux ...
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... religieuses et sociales , qui , développé par des institutions admirables , formoit , chez les François , le trait le plus marqué du caractère national . . On avoit conçu que l'enseignement , pour être utile , devoit être proportionné ...
... religieuses et sociales , qui , développé par des institutions admirables , formoit , chez les François , le trait le plus marqué du caractère national . . On avoit conçu que l'enseignement , pour être utile , devoit être proportionné ...
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... religieuses , dont la connois- sance certaine ne se trouve que dans la société : donc l'homme moral n'est libre que dans la so- ciété . » Il en est de même de l'homme physique ; car il ne peut naître et se conserver que dans la société ...
... religieuses , dont la connois- sance certaine ne se trouve que dans la société : donc l'homme moral n'est libre que dans la so- ciété . » Il en est de même de l'homme physique ; car il ne peut naître et se conserver que dans la société ...
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Common terms and phrases
athée autorité avoient avoit Bossuet Buonaparte c'étoit Calvin catholique Chambre des Pairs Châteaubriand chose chrétien christianisme cœur collège de Louis-le-Grand concile congrégations connoît conscience conseil conseil d'état crime croyances culte d'Hermopolis déisme désordre devoir Dieu divine doctrine dogmes doit doute duc de Berry Église espé esprits établis étoient étoit évêques factieux Ferdinand VII foible foiblesse fond force garde des sceaux gouvernement hommes humaine institutions Jésus-Christ jugement justice l'autorité l'Église l'esprit l'Europe l'évêque l'homme l'ordre légalement légitime lois Louis XVIII lui-même maximes ment ministres mœurs monarchie monde n'avoit nations opinions pable Pape parcequ'il parceque paroles passions pensées peuple philosophie politique Pontife pourroit pouvoir principe projet de loi protestantisme puissance qu'un raison reconnoître réforme religieuses religion religion de l'État révolution révolutionnaires rien royauté s'il sacré sacrilége saint Saint-Siége Sainte-Alliance sauroit sentiments seroit seul siècle social société souverain souveraineté spirituelle système théisme tion tolérance trône vérité vertu vœux voilà
Popular passages
Page 333 - Il ne sera formé aucun établissement d'une congrégation religieuse de femmes déjà autorisée , s'il n'a été préalablement informé sur la convenance et les inconvénients de l'établissement, et si -l'on ne produit à l'appui de la demande le consentement de l'évêque diocésain et l'avis du conseil municipal de la commune 'où l'établissement devra être formé.
Page 79 - ... de France n'approuve pas l'opinion de ceux qui donnent atteinte à ces décrets, ou qui les affaiblissent en disant que leur autorité n'est pas bien établie, qu'ils ne sont point approuvés, ou qu'ils ne regardent que le temps du schisme.
Page 257 - Il ya donc une profession de foi purement civile dont il appartient au souverain de fixer les articles, non pas précisément comme dogmes de religion, mais comme sentiments de sociabilité sans lesquels il est impossible d'être bon citoyen ni sujet fidèle.
Page 257 - Or, il importe bien à l'État que chaque Citoyen ait une Religion qui lui fasse aimer ses devoirs ; mais les dogmes de cette Religion n'intéressent ni l'État ni ses membres qu'autant que ces dogmes se rapportent à la morale et aux devoirs que celui qui la professe est tenu de remplir envers autrui.
Page 9 - Certainement rien ne nous heurte plus rudement que cette doctrine ; et cependant, sans ce mystère, le plus incompréhensible de tous, nous sommes incompréhensibles à nous-mêmes. Le nœud de notre condition prend ses replis et ses tours dans cet abîme ; de sorte que l'homme est plus inconcevable sans ce mystère que ce mystère n'est inconcevable à l'homme.
Page 102 - L'hypothèse de toutes les souverainetés chrétiennes réunies par la fraternité religieuse en une sorte de république universelle, sous la suprématie mesurée du pouvoir spirituel suprême ; cette hypothèse, dis-je, n'avait rien de choquant, et pouvait même se présenter à la raison comme supérieure à l'institution des Amphictyons.
Page 263 - ... haine du christianisme ? Dans un de ces horribles repaires du vice et de l'irréligion, on a vu trente élèves aller ensemble à la table sainte, garder l'hostie consacrée, et par un sacrilège que les lois auraient autrefois puni, en cacheter les lettres qu'ils écrivaient à leurs parents. Nous pourrions citer beaucoup d'autres faits qui montreraient, comme celui-ci, à quels dangers l'éducation publique, corrompue dans presque toutes ses sources, expose l'avenir. Une race impie, dépravée,...
Page 165 - Si , dans quelque partie de l'Europe civilisée on eût demandé à un homme un peu accoutumé aux choses de la vie ce que faisoit à cette heure la famille royale de France...
Page 263 - France des maisons soumises d'une manière plus ou moins directe à l'Université, et où les enfants sont élevés dans l'athéisme pratique et dans la haine du christianisme ? Dans un de ces horribles repaires du vice et de l'irréligion, on a vu trente élèves aller ensemble à la table sainte, garder l'hostie consacrée, et par un sacrilège que les lois auraient autrefois puni, en cacheter les lettres qu'ils écrivaient à leurs parents.
Page 106 - L'intérêt du genre humain demande un frein qui retienne les souverains, et qui mette à couvert la vie des peuples : ce frein de la Religion aurait pu être, par une convention universelle, dans la main des Papes.