Les corsaires barbaresques et la marine de Soliman le Grand |
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Common terms and phrases
Alger André Doria Antonio Arabes armée armes baie barbaresques Barberousse bataille bataille de Cérisoles bataille de Lépante Brantôme canon Capello capitaine capitan-pacha Castel-Nuovo cents Charles-Quint château chevaliers Chrétiens commandement comte corsaire Corse côte d'Africa d'Alger d'Aramon débarquement devant don Garcia don Juan don Pedro Dragut duc d'Albe Espagnols eût Fernand de Gonzague Fieschi fin du volume flotte ottomane François Ier galères galiotes garnison général Gênes Génois Giannettino golfe guerre hommes Italiens Jean-André jeter jour l'amiral l'année l'armée l'artillerie l'Em l'Empereur l'ennemi l'escadre l'Espagne l'île laisser Malte marine Matifoux Maures Medina-Celi Melfi ment mille mois mouillage Naples naves navires ottomane passer Philippe Pierre de Navarre Pietro plage Polain port Prévésa prieur de Capoue prince de Melfi rames reste Rincon rivage s'était Sandoval Seigneur seizième siècle seul Sfax Sicile Sinan Sinan-Pacha soldats Soliman Sublime Porte Sultan terre Tripoli troupes Tunis Turcs vaisseaux vent vice-roi voiles Voyez la note Zerbi
Popular passages
Page vii - ... est à désirer qu'un temps vienne où les mêmes idées libérales s'étendent sur la guerre de mer, et que les armées navales de deux puissances puissent se battre sans donner lieu à la confiscation des navires marchands et sans faire constituer prisonniers de guerre les simples matelots du commerce ou les passagers non militaires.
Page x - ... qui résideraient en France ? Et ce qui serait juste sur terre cesserait-il de l'être sur mer ? Un coup de canon se repousse par un coup de canon, la prise d'une ville se compense par la prise d'une autre ville : de même, la prise d'un vaisseau par la prise d'un autre vaisseau... Nous...
Page vi - Dans toutes ses conquêtes, la France a respecté les propriétés particulières. Les magasins et les boutiques sont restés à leurs propriétaires : ils ont pu disposer de leurs marchandises, et, dans ce moment, des convois de voitures «chargées principalement de coton», traversent les armées françaises, l'Autriche et l'Allemagne pour se rendre où le commerce les envoie.
Page ix - La guerre n'est donc point une relation d'homme à homme, mais une relation d'Etat à Etat, dans laquelle les particuliers ne sont ennemis qu'accidentellement, non point comme hommes, ni même comme citoyens ' , mais comme soldats ; non point comme membres de la patrie . mais comme ses défenseurs.
Page ix - D'après la maxime que la guerre n'est point une relation d'homme à homme, mais une relation d'Etat à Etat, dans laquelle les particuliers ne sont ennemis qu'accidentellement, non point comme hommes...
Page 88 - Quant à moi, si je pouvois appeler tous « les esprits d'enfer pour rompre la tête à mon « ennemi, qui me veut rompre la mienne, je le « ferois de bon cœur ; Dieu me le...
Page vii - Moniteur du 2 avril 1865, f° 1, col. 1 et 2. Ce décret est motivé, comme l'art. 3 du traité de Zurich, sur la volonté d'atténuer lesmaux de la guerre, par une dérogation aux règles consacrées en matière de prises maritimes. sure gracieuse, à la fin d'une campagne, les navires capturés sur l'ennemi dans des conditions qui devaient les faire déclarer de bonne prise. Un tel acte de libéralité envers le commerce ennemi, eût été presque un acte de spoliation envers les capteurs. Maintenant,...
Page vii - Pour atténuer les maux de la guerre et par une dérogation exceptionnelle à la jurisprudence généralement consacrée, les bâtiments autrichiens capturés, qui n'ont point encore été l'objet d'une condamnation de la part du conseil des prises, seront restitués.
Page 229 - Bussi-Leclerc, devenu, de maître d'armes et de procureur, gouverneur de la Bastille, y conduisit la moitié du Parlement. Henri III n'eut d'autre ressource que de se jeter dans les bras du roi de Navarre : tous deux vinrent assiéger Paris. Ils campaient à Saint*Cloud, lorsqu'un jeune moine, nommé Clément, assassina Henri III d'un coup de couteau dans le bas ventre.