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latines, écrire l'histoire, traiter des affaires politiques du pays, de la législation et de la médecine. C'est à l'université de Krakovie que Kopernik fit ses études et s'immortalisa par son système du monde.

Dans cet exposé rapide, nous avons montré ce qu'était la Pologne scientifique et littéraire au moyen âge, et c'est ainsi que s'ouvrit le seizième siècle, surnommé l'âge d'or de la littérature polonaise. Deux rois, les Sigismonds. Jagellons, contribuèrent à la gloire de ce siècle.

Grâce au concours des circonstances favorables et de plusieurs institutions libérales, que ne gênait point un contrôle ombrageux, les écoles, en cessant d'être sous la surveillance exclusive du clergé catholique, devinrent une pépinière d'hommes capables et de citoyens éclairés. Bientôt l'université de Krakovie ne put suffire à la prodigieuse affluence des élèves; on établit de grandes écoles à Léopol et autres villes. Chaque évêque, chaque sénateur, chaque haut magistrat, ne dut alors son élévation qu'à ses talents, et le fils d'un gentilhomme, d'un bourgeois ou d'un paysan, trouvait le même accueil. L'historien Kromer, fils d'un paysan; le poëte Dantiscus, fils d'un brasseur, se succédèrent dans l'évêché de Warmie, avec le titre de princes. Erasme Ciolek, fils naturel d'un musicien ambulant et d'une cabaretière, obtint l'évêché de Plock. Janicki, fils d'un voiturier, reçut la couronne de poëte des mains du pape. Stanislas Hosius, cardinal et l'un des présidents du fameux concile de Trente, était né à Wilno, d'une origine très-obscure.

Alors parut une grande quantité d'ouvrages polonais écrits dans le plus pur idiome national, et dont l'exquise perfection se rapprochait des classiques grecs et latins. Toutes les branches des sciences eurent leurs représentants. Ces progrès furent amenés par la tolérance du clergé, et malgré la sainte-inquisition, qui s'était glissée momentanément sur cette terre de la liberté politique, je dis momentanément, car les évêques eux-mêmes firent bientôt justice de l'inquisition.

Dès l'année 1520 l'influence de la langue bohème s'effaça, et la langue polonaise reprit sa dominante perfection. Ces progrès furent amenés par la tolérance. La Pologne ouvrit un refuge à toutes les opinions; des milliers d'étrangers, persécutés pour leurs doctrines, y trouvèrent l'hospitalité : l'Angleterre, la Suède, l'Allemagne, l'Italie, l'Espagne, comptaient des émigrés aux bords de la Wistule et du Niemen. Des lois sages et prévoyantes garantissaient une pleine et entière tolérance à tous les riles et à toutes les religions. La Pologne en avait alors besoin plus que le reste de l'Europe à l'Occident il n'y avait que deux cultes

opposés, le catholicisme et la réforme avec toutes ses sectes; mais en Pologne, outre l'un et l'autre, il y avait le rite grec, c'est-à-dire le schismatisme de Photius du neuvième siècle. C'est Krakovie qui était pour ainsi dire le point d'union de la chrétienté. La réforme n'avait triomphé que du catholicisme dépravé, tandis qu'aux bords de la Wistule ce rite avait conservé sa pureté primitive. D'ailleurs le bon sens des Polonais dédaignait les questions dogmatiques, et n'attachait d'importance qu'à la vérité et à la morale.

Il était rare de rencontrer un Polonais qui ne parlât pas trois ou quatre langues; tous les nobles, sans exception, parlaient le latin. C'est pour cela qu'Erasme de Rotterdam dit des Polonais, dans sa lettre à Séverin Bonar: « C'est dans ce pays que la philosophie possède d'excellents disciples, c'est là qu'elle forme ces citoyens polonais qui osent être savants. »

:

Le célèbre Muret, comparant les nations alors réputées les plus polies et les plus savantes, les Italiens et les Polonais, se demande « Quelle est entre ces deux nations celle qui mérite qu'on la loue davantage, sous le rapport des sciences et des arts? Sont-ce les Italiens, dont la centième partie à peine étudie le grec et le latin et montre quelque goût pour les sciences; ou les Polonais, dont un grand nombre connaît parfaitement les deux langues, et qui paraissent animés d'une telle ardeur pour les sciences, qu'ils y consacrent leur vie entière ? »

Juste Lipse, en écrivant à l'un de ses amis, résidant en Pologne, dit, entre autres : « Je ne devrais point m'étonner de votre science. Vous vivez au milieu de ces hommes qui ont été réputés barbares, et aujourd'hui c'est nous qui sommes barbares à côté d'eux. C'est la Pologne qui ouvrit ses bras hospitaliers à la Grèce et au Latium, méconnus, et aux Muses, qui avaient été si méprisées. »

L'historien de France, le président de Thou, en parlant de la Pologne, l'appelle : « Pays fertile, plein de villes, de châteaux, rempli d'une noblesse courageuse, qui joint ordinairement l'amour des lettres à l'exercice des armes. » Et plus bas, il parle de sa surprise à la vue des gentilshommes polonais qui vinrent à Paris, en 1573, offrir la couronne élective à Henri de Valois. « On ne peut, poursuit de Thou, exprimer l'étonnement de tout le peuple français quand il vit ces ambassadeurs avec des robes longues, des bonnets de fourrure, des sabres, des flèches et des carquois; mais l'admiration fut extrême lorsqu'on vit la somptuosité de leurs équipages, les fourreaux de leurs sabres garnis de pierreries, les brides, les selles, les housses de leurs chevaux enrichies de même, et un air d'assurance et

de dignité qui les distinguait particulièrement... Ce qu'on remarqua le plus, ce fut leur facilité de s'énoncer en latin, en français, en allemand et en italien: ces quatre langues leur étaient aussi familières que la langue même de leur pays. Il ne se trouva à la cour que deux hommes de condition qui pussent leur répondre en latin, le baron de Milhau et le marquis de Castelnau-Maurissière; ils avaient été mandés exprès pour soutenir en ce point l'honneur de la noblesse française, qui rougit alors de son ignorance. Pour ce temps-là c'était beaucoup que d'en rougir... Les Polonais parlaient notre langue avec tant de pureté, qu'on les eût plutôt pris pour des hommes élevés sur les bords de la Seine et de la Loire que pour des habitants des contrées qu'arrose la Wistule ou le Dniéper, ce qui fit grande honte à nos courtisans, qui ne savent rien et qui sont ennemis déclarés de tout ce qu'on appelle science; aussi, quand les nouveaux hôtes les interrogeaient, ils ne répondaient que par des signes ou en rougissant. >>

Des imprimeurs célèbres, tels que Scharfenberger, Viétor, Piotrkowczyk, etc., rivalisè. rent de goût et de soins pour se rendre dignes d'un tel siècle. Quatre-vingts villes polonaises possédaient des imprimeries, et Krakovie seule en comptait cinquante.

La réforme de Luther pénétra en Pologne en 1516, et en Litvanie en 1539, et elle y fit de nombreux prosélytes. Le clergé catholique déclara alors la guerre aux protestants. Sigismond 1er persécuta ces derniers; mais Sigismond-Auguste fut plus tolérant. Pour apaiser les querelles religieuses, à la diète de Piotrkow, de 1555, les nonces proposèrent la convocation d'un concile national, qui serait présidé par le roi, et auquel assisteraient, en qualité de juges, quelques princes étrangers; outre les évêques, on devait y entendre de célèbres théologiens protestants, tels que Calvin, Mélanchton et Théodore de Bèze; le concile devait se prononcer sur les questions légitimes et dresser un formulaire de foi. Sigismond-Auguste approuva cette demande; il envoya, en 1556, des ambassadeurs à Rome pour prier le pape Paul IV de permettre la célébration de la messe en langue polonaise, la communion sous les deux espèces et le mariage des prêtres; le roi lui demandait en outre de renoncer aux annates et de convoquer un concile national en Pologne.

La cour de Rome s'en effraya, et repoussa ces demandes, mais la dignité et l'indépendance polonaises passèrent outre; et si la Pologne renonça aux projets émis à la diète de Wilno, tenue en 1563, Sigismond-Auguste publia un acte par lequel tout Polonais chrétien pourrait aspirer aux places des sénateurs, nonces ou tout autre emploi. Plusieurs évêques si

gnèrent cette déclaration, et la diète de Grodno tenue en 1568 la confirma de nouveau. Mais l'introduction des jésuites hâta la décadence de la Pologne; leur influence se fit d'abord sentir sur la littérature, et ensuite elle pénétra dans la politique. Ils y fondèrent leur premier établissement en 1562, et quelques années après le roi Étienne Batory leur confia l'académie de Wilno. Leur puissance s'accrut encore entre les années 1586 et 1632, lorsque l'indolent Sigismond III leur donna la direction de toutes les écoles. La langue polonaise perdit alors sa pureté, par les empiétements d'un latin incorrect. Les œuvres littéraires qui avaient illustré les deux siècles précédents furent remplacées par des dissertations théologiques, et le genre affecté du panégyrique acheva de gåter le goût.

L'université de Krakovie, après avoir lutté longtemps contre l'influence des jésuites, succomba enfin. Malgré leur infatigable ambition, les jésuites ne purent parvenir à remplacer tous les instituteurs séculiers qui avaient dirigé jusque-là les établissements d'instruction publique; mais ils augmentèrent le nombre des couvents, ils persécutèrent au nom de la religion, ils décidèrent, au nom de l'Église, de la paix et de la guerre, enfin, à force de s'emparer des biens, ils jetèrent la discorde dans l'État et dans les familles. A côté de cela, les guerres étrangères, les invasions des Suedois, des Moskovites, des Kosaks, des Turks, des Tatars, achevèrent de détruire et de disperser les monuments des lettres et des arts; elles ruinèrent les bibliothèques et les divers établissements scientifiques. La Pologne, avant l'introduction des jésuites, comptait cent trente imprimeries établies dans quatre-vingts villes; mais après les jésuites il n'en resta que quatre, et encore étaient-elles sous leur direction exclusive!

La Pologne, par un privilége particulier, avait devancé le travail des siècles; mais, comme pour payer ce privilége, elle retomba dans les ténèbres quand les autres nations commençaient à marcher dans la voie du perfectionnement et du progrès. Et les historiens, et les narrateurs, qui prennent trop souvent les faits pour les idées, donnaient à la Pologne le nom de barbare; comme si le sommeil était la mort!

Au milieu de tant de malheurs, il ne restait à la Pologne que le bon sens national. Malgré son épuisement moral et intellectuel, ce bon sens lui faisait comprendre ses droits et son véritable caractère : ainsi elle repoussait avec horreur la barbarie asiatique de la Moskovie, les lumières trompeuses du Brandebourg se disant Prussien, et la prétendue légitimité de l'Autriche.

Les regards de la Pologne se tournèrent vers

la France. Le roi Stanislas Leszczynski, gen-, dre de Louis XV, se réfugia dans ce pays, et un grand nombre de prêtres et de jeunes patriotes l'y suivirent. Le clergé le plus exemplaire, le plus évangélique vint demander des Jumières au clergé le plus instruit de l'Europe.

Parmi les Polonais émigrés qui suivirent Stanislas en Lorraine, on distinguait les deux évêques Zaluski et le prêtre piariste Stanislas Konarski. En revenant dans leur patrie ils répandirent les lumières, les saines doctrines qu'ils avaient puisées en France. Les Zaluski parcoururent toute la Pologne, l'Allemagne et l'Italie pour chercher les livres et les manuscrits polonais que les invasions avaient dispersés; ils consacrèrent leur fortune à cette œuvre grandiose et nationale, et parvinrent à former une bibliothèque de près de 300,000 volumes. En 1745 ils en firent don à la répu. blique polonaise.

Konarski entreprit une autre mission, non moins importante: il lutta contre les jésuites, et finit par en triompher. Konarski purifia la langue nationale, et rejeta de la langue latine usuelle les barbarismes introduits par les jésuites, pour lui rendre les beautés qu'elle avait au seizième siècle.

En 1772, alors que les jésuites furent complétement supprimés par une bulle du pape Clément XIV, on forma en Pologne, en 1775, une Commission d'éducation nationale, espèce de magistrature inconnue jusque alors à tous les gouvernements de l'Europe, et que plusieurs nations imitèrent par la suite. Les citoyens notables étaient appelés à faire partie de cette commission, et proposaient les plans les plus sages pour la direction et le perfectionnement de l'instruction publique. Le roi Stanislas-Auguste Poniatowski protégea les savants et la jeunesse studieuse; il comblait d'argent et d'honneurs ceux qui se distinguaient dans les sciences et dans les arts.

Mais la fatalité qui pesait sur la Pologne poli. tique voulut que ces commencements heureux de régénération morale et littéraire se manifestassent à l'époque où de nouvelles causes d'anéantissement menaçaient la république. La Pologne, déjà morcelée par deux premiers par. tages en 1772 et 1793, devint en 1795 la proie des puissances envahissantes. Dès lors chaque province subit les changements qui paraissaient conformes à la politique des oppresseurs étrangers. La Société des Amis des Sciences, fondée à Warsowie en 1800; l'université de Wilno, restaurée en 1803, et le lycée de Krzemienieç, fondé en 1805, firent tont ce qui était en leur pouvoir pour maintenir la langue nationale, et propageaient l'éducation et l'instruction nationales; mais après les événements de 1831 la main destructive du tzar

Nicolas se posa sur les universités, les lycées, les écoles, les institutions scientifiques et sur les bibliothèques; il osa même toucher à la langue polonaise, en lui substituant l'idiome tataro-moskovite!

Le patriotisme des Polonais ne se décourage pas, et au milieu de tous les obstacles ils publient des livres qui sont l'attestation de leur nationalité, et qui prouvent en même temps leur amour de la science.

LÉONARD CHODZKO. POLYGAMIE. (Législation.) C'est l'état d'un homme ou d'une femme qui a contracté un nouveau mariage, dans les liens d'un mariage qui subsiste encore.

Le mot bigamie s'applique au cas où deux mariages subsistent simultanément; tandis que l'expression polygamie caractérise le fait de celui qui a violé la foi conjugale, quel que soit le nombre des mariages qu'il ait contractés avant la dissolution du premier.

La polygamie était permise chez les Juifs et chez quelques autres peuples de l'antiquité. Aujourd'hui elle est encore en usage chez les Turcs et chez les nations qui professent comme eux la religion de Mahomet, mais toujours à l'égard des hommes seuls; de sorte que s'il est permis à un mari d'avoir plusieurs femmes, une femme ne peut avoir plusieurs maris.

Mais c'est à tort que nous employons ici les mots mari et femme; car il n'existe pas réellement de mariage chez les peuples qui admettent la polygamie.

La religion chrétienne, en donnant au mariage le caractère de sacrement, a dû faire considérer comme une sorte de profanation par l'union contractée par un homme ou par une femme qui se trouvent déjà engagés dans les liens du mariage.

Considéré comme un contrat civil, le mariage est sans doute le plus respectable de tous : c'est à lui que se rattachent les droits et les devoirs des familles, c'est par lui que se règle la transmission des biens; c'est par lui aussi que les intérêts individuels se confondent avec l'intérêt public, qui les protège tous : aussi la polygamie a-t-elle été considérée comme un crime par la loi civile comme par la loi religieuse. (Voyez à cet égard le mot BIGAMIE.)

Vers la fin du dix-septième siècle, un docteur allemand, nommé Lysérus, publia un ouvrage dans lequel il prétend établir que la polygamie est fondée sur le droit de nature, sur le droit des gens, et même sur le droit divin. Bayle, dans ses Nouvelles de la République des Lettres (avril 1685, art. 1or), dit avec raison qu'il ne faut pas craindre que la lecture d'un tel ouvrage fasse grand mal : Ceux qui s'engagent à soutenir le paradoxe de cet auteur, dit-il, doivent être mis au nombre

des écrivains qui ont fait l'éloge de la fièvre ou de la folie, soit par jeu d'esprit, soit par un bizarre entêtement.

Il s'est trouvé cependant, après la révolu. tion de février 1848, un homme à Paris qui, croyant sans doute à la dissolution de la société, imagina d'adresser à l'Assemblée nationale, une pétition tendant à l'établissement de la polygamie en France.

Nous ne ferons pas à cet homme l'honneur de le nommer. Bornons-nous à rapporter textuellement l'accueil fait à sa pétition le 1er juillet 1848; cet accueil nous honore au milieu de nos misères :

« Le citoyen B., à Paris, demande que la polygamie soit autorisée, et présente des considérations à ce sujet. (Agitation prolongée.)

<< M. COQUEREL. La question préalable! (Oui! oui!)

« UNE VOIX. On ne devrait pas faire le rapport de semblables pétitions.

« L'assemblée passe à l'ordre du jour. » G. DE VILLEPIN. POLYGONE. (Géométrie.) C'est une aire comprise entre une suite de lignes brisées. Lorsque les côtés sont égaux et les angles égaux, le polygone est appelé régulier. Une semblable figure est toujours inscriptible et circonscriptible au cercle. Le problème qui consiste à inscrire un polygone régulier dans une circonférence donnée, ne peut, en général, être résolu en toute rigueur; car il dépend de la trisection de l'angle, qui, comme on le démontre, ne peut se faire par le secours de la règle et du compas. Aussi les géomètres ont-ils renoncé à résoudre cette question, si

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du cercle inscrit : c'est ce qu'on trouve à l'aide des tables de sinus.

L'aire d'un polygone s'obtient en la décomposant en triangles par des diagonales, ou par des lignes menées aux angles par un point intérieur, évaluant chaque aire triangulaire et faisant la somme. Si le polygone est régu lier, il suffit de multiplier le périmètre par la moitié de l'apothème, qui est le rayon do cercle inscrit; soit C le centre, AB le côté du polygone (fig. LXVI des planches de GÉOMÉ TRIE); on a

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TABLE DES ARTICLES

CONTENUS DANS LE VINGT-TROISIÈME VOLUME.

P, par M. Léon Vaisse, professeur de l'Institut national des Sourds-Muets, membre de la Société Asiatique de Paris, secrétaire de la Société Ethnologique. . col. PACA, par M. E. Desmarest, aide-naturaliste au Muséum d'Histoire Naturelle, secrétaire de la Société Entomologique de France. PACHYDERMES, par M. J. Huot, bibliothécaire de la ville de Versailles. PAIRIE, par M. G. de Villepin, avocat à la cour d'appel de Paris... PALATINAT, par M. L. Dussieux, répétiteur d'histoire et de géographie à l'École spéciale militaire de Saint-Cyr. PALÉMON, par M. E. Desmarest. PALÉOGRAPHIE, par M. Deloye, ancien élève de l'École des Chartes, attaché aux travaux historiques. . PALEONTOLOGIE, par MM. E. Desmarest et Bory de Saint-Vincent. PALEOTHÉRIUM, par M. E. Desmarest. PALERME, par M. F. Bourquelot, ancien élève de l'École des Chartes, attaché aux travaux historiques. . PALESTINE (Géographie ).

(Histoire).

.....

(Religion), par M. Alfred Maury,

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sous-bibliothécaire de l'Institut.

114

PALI, par M. Léon Valsse.

BཊྚR ŠË

PARESSEUX, par M. E. Desmarest.

PARI et GAGEURE, par M. G. de Villepin. 306 PARIS, par M. Fréd. Lock.

PARJURE, par M. G. de Villepin.

307

352

PARLEMENT, par M. Taillandier, conseil

ler à la cour de cassation.

353

PARME, par M.Théodore Bénard, employé

126

PALMIERS, par M. de Mirbel, membre

au ministère de l'instruction publique. 357 PARNASSIEN, par M. E. Desmarest.

363

de l'Institul (Acad. des Sciences), professeur à la Faculté des Sciences.

PARADIS, par M. A. V. Arnaud.

ib

130

PALMIPEDES, par M. E. Desmarest.

133

PAROS (Chronique de ), par M. A. Dupont. PASSALE, par M. E. Desmarest

365

366

PALMYRE, par M. L. Dussieux.

134

PAMPAS, par M. A. Marceau.

140

PARTICIPE, par M. Bouillet, anoien proviseur du Lycée Bonaparte.

ib.

PAMPELUNE, par M. Ach. d'Héricourt,

PAS-DE-CALAIS (DÉPARTEMENT DU ).

371

correspondant du ministère de l'ins

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PASSIONS, par M. Artaud, inspecteur gé

PANTHEISME, par M. Ch. Cassou.

143

néral de l'université.

378

PANTOGRAPHE, par M. X. Jeandel.

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PANTOMIME, par M. Arnault, membre de l'Institut (Acad. Française).

PATAGONIE, par M. L. Dussieux.

386

....

157

PATENTE, par M. G. de Villepin.

390

PAON, par M. E. Desmarest.

PAPAUTÉ, par M. A. Bouchot, professeur d'histoire au Lycée de Versailles.

PAPAVERACÉES, par M. de Mirbel.
PAPIER, par M. P. F. Didot.

PAPIER-MONNAIE, par M. Villermé

fils.

PAPILLON, par M. le colonel Bory de Saint-Vincent, membre de l'Institut (Acad. des Sciences)

PARABOLE, par M. Francœur, membre de

164

PATATE, par M. L. Lœuilliet.

401

PATOIS, par M. Léon Vaisse.

403

166

PATRICIAT, par M. Léon Renier..

409

217

PATRONAGE.

415

219

PAUPERISME, par M. Édouard Mercier,

255

employé au ministère de l'instruction publique.

420

PAUXI, par M. E. Desmarest.

436

PAVAGE, par M. Charles Renier.

437

258

PAVONIE, par M. E. Desmarest.

...

444

PAVOT, par M. Lœuilliet.

445

957-958

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