Histoire de l'Italie depuis l'invasion des barbares jusqu'à nos jours |
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Alexandre Alpes armée Autrichiens avaient barbares bientôt Bologne Brescia Calabre cardinal Charles d'Anjou Charles-Albert Charles-Emmanuel chef Clément comte condottiere constitution Cosme Cosme de Médicis couronne Crémone d'Este doge domination duc de Savoie duché empereur ennemis Espagnols États de l'Église évêques Ferdinand Ferrare fils Florence Florentins française François Ier Frédéric général Gènes gibelins Goths gouvernement Grégoire Grégoire VII guelfes guerre Henri impériale Innocent III Italie italien Jean l'armée l'Autriche l'empereur l'empire l'indépendance l'Italie laissa légat Léon Léon X liberté ligue Lombardie Louis Lucques lutte maître Mantoue Médicis ment Milan mille hommes Modène mort n'avait Napolitains Othon paix papauté pape Pavie péninsule peuple Pie IX Piémont Pise Plaisance podestat poëte politique pontifical pouvoir prince puissance Radetzki Ravenne réformes Reggio république reste révolution Romagne Romains Rome royaume de Naples saint saint-siége Sardaigne Sarrasins seigneurs seulement Sforza Sicile souverains Spolète Théodoric tion Toscane troupes Venise Vénitiens Vérone villes Visconti
Popular passages
Page 625 - J'apprends avec peine que les intentions bienveillantes du Saint-Père, comme notre propre action, restent stériles, en présence de passions et d'influences hostiles. On voudrait donner comme base à la rentrée du pape la proscription et la tyrannie. Dites de ma part au général Rostolan...
Page 625 - Rostolan, qu'il ne doit pas permettre qu'à l'ombre du drapeau tricolore, on commette aucun acte qui puisse dénaturer le caractère de notre intervention. » Je résume ainsi le pouvoir temporel du pape : Amnistie générale, sécularisation de l'administration, code Napoléon, et gouvernement libéral.
Page 521 - Ancône à ce titre... Votre Sainteté est souveraine de Rome ; mais j'en suis l'empereur. — Le souverain pontife, répondit le pape, n'a jamais reconnu et ne reconnaît pointde puissance supérieure à la sienne.
Page 377 - Cette fois, disait Giberti , il ne s'agit pas d'une petite vengeance, cette guerre va décider de la délivrance ou de l'esclavage de l'Italie.
Page 142 - J'ai aimé la justice et haï l'iniquité, c'est pourquoi je meurs dans l'exil ! « L'Italie elle-même avait tué la théocratie romaine.
Page 614 - Je comprends que ma personne pourrai! être aujourd'hui le seul obstacle à une paix désormais nécessaire. Je ne pourrais pas la signer. Puisque je n'ai pu trouver la mort, j'accomplirai un dernier sacrifice à mon pays ; je dépose la couronne et j'abdique en faveur de mon fils, le duc de Savoie.
Page 229 - Romains que le souverain pontife •> ou encore « il ya ici deux épées ; Pierre, tu vois ici ton successeur, et vous, ô Christ, votre vicaire.
Page 263 - Hongrie lui envoyoit une ambassade pour lui demander de tirer vengeance des meurtriers de son frère. Le tribun conduisit les hérauts d'armes de cette ambassade devant le peuple assemblé, et, mettant la couronne tribunitienne sur sa tête , il leur répondit : « Je jugerai le globe de la terre selon la justice, et les peuples selon...