L'Église et l'État en FranceSociété française d'impr. et de librairie., 1907 - Church and state |
From inside the book
Results 1-5 of 92
Page 11
... vrai , il faut admirer l'Eglise d'avoir su conserver , vaille que vaille , quelques parcelles du trésor qui lui avait été confié ; trésor que toute autre puissance qu'elle aurait dissipé en quelques jours . L'Eglise a mis trois ou ...
... vrai , il faut admirer l'Eglise d'avoir su conserver , vaille que vaille , quelques parcelles du trésor qui lui avait été confié ; trésor que toute autre puissance qu'elle aurait dissipé en quelques jours . L'Eglise a mis trois ou ...
Page 18
... vrai péril pour la chose publique . Mais il faut les envisager comme des mesures transitoires , destinées à calmer les défiances des huguenots et à forcer à la tolérance les catholiques sectaires , qui , suivant le mot du roi ...
... vrai péril pour la chose publique . Mais il faut les envisager comme des mesures transitoires , destinées à calmer les défiances des huguenots et à forcer à la tolérance les catholiques sectaires , qui , suivant le mot du roi ...
Page 23
... vrai fils de Henri IV et se plaisait mieux au bruit de la bataille qu'aux fêtes de la cour . Il manda près de lui à ... vrais maîtres du Midi et avaient donné au château de Pau une allure vraiment royale . Ils avaient préféré Pau aux ...
... vrai fils de Henri IV et se plaisait mieux au bruit de la bataille qu'aux fêtes de la cour . Il manda près de lui à ... vrais maîtres du Midi et avaient donné au château de Pau une allure vraiment royale . Ils avaient préféré Pau aux ...
Page 25
... vrai créateur de la grandeur française , et tout patriote doit saluer avec un infini respect cette grande figure de notre histoire ; mais le philosophe peut s'arrêter aussi à le considérer avec complaisance et trouvera en lui un de ces ...
... vrai créateur de la grandeur française , et tout patriote doit saluer avec un infini respect cette grande figure de notre histoire ; mais le philosophe peut s'arrêter aussi à le considérer avec complaisance et trouvera en lui un de ces ...
Page 37
... vrai clerc . La monarchie française avait donc le caractère d'une ins- titution religieuse aussi bien que d'une magistrature nationale . Mais , si nos rois reconnaissaient au pape la plénitude du pou- voir spirituel , ils lui refusèrent ...
... vrai clerc . La monarchie française avait donc le caractère d'une ins- titution religieuse aussi bien que d'une magistrature nationale . Mais , si nos rois reconnaissaient au pape la plénitude du pou- voir spirituel , ils lui refusèrent ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
âme archevêque associations cultuelles avaient Bonaparte Bossuet cahiers cardinal catholicisme catholique charité chose chrétien civile clergé cœur Compagnie du Saint-Sacrement concile Concordat condamné congrégations conscience constitution couvent culte curé déclara demande devant Dieu diocèse doctrine donner ecclésias ecclésiastiques églises ennemis esprit eût évêques française gallicane général gouvernement guerre hommes huguenots idées italien jamais jansénistes jésuites Jésus jour justice l'abbé l'Assemblée l'autorité l'Edit l'Eglise L'ÉGLISE ET L'ÉTAT l'enseignement l'esprit l'Etat l'évêque l'histoire l'Université laisser Lamennais libéral liberté livres lois Louis XIV ment ministre monarchie monde morale mort n'avait Napoléon Napoléon III nation nationale pape Parlement paroisse passer pensée peuple philosophie Pie IX Pie VII politique pontife pontificale Port-Royal pouvait prélats presque prêtres protestants qu'un raison réformés refusa religieux religion République reste Révolution rien romaine Rome royale royaume saint Saint-Siège science séminaires sentiment serait seul siècle social société Société de Jésus Syllabus théophilanthropie tion trouva vérité vrai
Popular passages
Page 358 - Je jure et promets à Dieu, sur les saints évangiles, de garder obéissance et fidélité au gouvernement établi par la constitution de la République française. Je promets aussi de n'avoir aucune intelligence, de n'assister à aucun conseil, de n'entretenir aucune ligue, soit au dedans, soit au dehors, qui soit contraire à la tranquillité publique; et si, dans mou diocèse ou ailleurs, j'apprends qu'il se trame quelque chose au préjudice de l'État, je le ferai savoir au gouvernement, i ART.
Page 331 - Ceux qui ont sciemment vendu ou mis en vente un ou plusieurs produits revêtus d'une marque contrefaite ou frauduleusement apposée. Art. 8. — Sont punis d'une amende de 50 à 2,000 francs et d'un emprisonnement d'un mois à un an, ou de l'une de ces deux peines seulement : — 1° Ceux qui, sans contrefaire une marque en ont fait une imitation frauduleuse de nature à tromper l'acheteur ou ont fait usage d'une marque frauduleusement imitée. — 2...
Page 266 - La. propriété étant un droit inviolable et sacré, nul ne peut en être privé, si ce n'est lorsque la nécessité publique, légalement constatée, l'exige évidemment, et sous la condition d'une juste et préalable indemnité.
Page 159 - Vous avez affermi la foi ; vous avez exterminé les hérétiques : c'est le digne ouvrage de votre règne ; c'en est le propre caractère. Par vous l'hérésie n'est plus : Dieu seul a pu faire cette merveille.
Page 58 - Mémoire à consulter sur un système religieux et politique, tendant à renverser la religion, . la société et le trône.
Page 337 - On a dénoncé des prêtres pour avoir dit la messe : ils la diront plus longtemps, si on les empêche de la dire. Celui qui veut les empêcher est plus fanatique que celui qui dit la messe.
Page 295 - Il ya donc une profession de foi purement civile dont il appartient au souverain de fixer les articles, non pas précisément comme dogmes de religion, mais comme sentiments de sociabilité sans lesquels il est impossible d'être bon citoyen ni sujet fidèle.
Page 20 - D. Que doit-on penser de ceux qui manqueraient à leur devoir envers notre empereur? « R. Selon l'apôtre saint Paul, ils résisteraient à l'ordre établi de Dieu même, et se rendraient dignes de la damnation éternelle.
Page 328 - Accord des vrais principes de l'Eglise, de la morale et de la raison sur la Constitution Civile du Clergé de France, par les Evêques des départements, membres de l'Assemblée Nationale Constituante.
Page 259 - Vous qui pleurez, venez à ce Dieu, car il pleure. Vous qui souffrez, venez à lui, car il guérit. Vous qui tremblez, venez à lui, car il sourit. Vous qui passez, venez à lui , car il demeure.