Galerie historique de la révolution française (1787 à 1799)Bureau de la Société des travailleurs réunis, 1849 - France |
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... vive , de soutenir et de prouver que la propriété était une absurdité et le vol une action fort légitime . Sur ce paradoxe , il avait publié une petite brochure assez spirituelle , et dans laquelle , con- sidérant l'homme dans son état ...
... vive , de soutenir et de prouver que la propriété était une absurdité et le vol une action fort légitime . Sur ce paradoxe , il avait publié une petite brochure assez spirituelle , et dans laquelle , con- sidérant l'homme dans son état ...
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... vive passion , un projet de mariage avait été formé entre eux , et le jeune avocat s'était bien promis de faire tous ses efforts pour gagner un pro- cès si intéressant . Toutes ses dispositions étaient prises ; sa plai- doirie était ...
... vive passion , un projet de mariage avait été formé entre eux , et le jeune avocat s'était bien promis de faire tous ses efforts pour gagner un pro- cès si intéressant . Toutes ses dispositions étaient prises ; sa plai- doirie était ...
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... vive fusillade , et le canon du château se faisait entendre à de courts intervalles . Si les Suisses fussent demeurés les maîtres du champ de bataille , la déchéance eût été impraticable , et il fallait se ménager la possibilité d'un ...
... vive fusillade , et le canon du château se faisait entendre à de courts intervalles . Si les Suisses fussent demeurés les maîtres du champ de bataille , la déchéance eût été impraticable , et il fallait se ménager la possibilité d'un ...
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... vive et profonde sensation . La révolution offrait au monde un spectacle nouveau et inattendu . Jusqu'alors elle avait sévi contre les royalistes , les constitutionnels , les modé- rés , contre le parti de la cour ou de Lafayette ...
... vive et profonde sensation . La révolution offrait au monde un spectacle nouveau et inattendu . Jusqu'alors elle avait sévi contre les royalistes , les constitutionnels , les modé- rés , contre le parti de la cour ou de Lafayette ...
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... le calme se fit , et les vingt - un , après un moment de silence , poussèrent à trois reprises le cri de : Vive la république ! Le président ordonna aux gendarmes de faire sortir les condamnes : en ce moment 60 GALERIE HISTORIQUE .
... le calme se fit , et les vingt - un , après un moment de silence , poussèrent à trois reprises le cri de : Vive la république ! Le président ordonna aux gendarmes de faire sortir les condamnes : en ce moment 60 GALERIE HISTORIQUE .
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Common terms and phrases
10 août accusés armée assez assignats avaient Barbaroux Bernard de Marigny bientôt Bonchamp Brissot Cambon Camille Desmoulins Catherine Théot cent Charette Charlotte Corday Chaumette chef citoyens club collègues Comité de salut Comité de sûreté complot conspirateurs Constitution Convention nationale Cordeliers courage Couthon crime Custine Danton déclara décret demande dénoncé départements député devant le tribunal dictateur dit-il Dumouriez ennemis envoyé faction femme force Fouquier Fouquier-Tinville Gironde Girondins gouvernement Guadet Hébert hommes Jacobins jeta jour jugement jurés l'accusateur l'armée l'Assemblée l'échafaud l'insurrection Larochejaquelein législative liberté Louis XVI Marat Maximilien membres menaçait ment mille ministre mort n'avait nommé passer patrie patriotes peine père Pétion politique président publique représentants du peuple républicains république révolution Robespierre royalistes s'était Saint-Just salle salut public sang sauver séance sections septembre serait seul sort supplice sûreté générale Tallien terreur terrible tête thermidor tion tribunal révolutionnaire tribune troupes trouvait tyrans Vendée Vendéens Vergniaud Vieux Cordelier vota
Popular passages
Page 341 - La liberté est le pouvoir qui appartient à l'homme de faire tout ce qui ne nuit pas aux droits d'autrui : elle, a pour principe la nature; pour règle, la justice; pour sauvegarde, la loi : sa limite morale est dans cette maxime : Ne fais pas à un autre ce que tu ne veux pas qu'il te soit fait.
Page 341 - Tout homme étant présumé innocent jusqu'à ce qu'il ait été déclaré coupable, s'il est jugé indispensable de l'arrêter, toute rigueur qui ne serait pas nécessaire pour s'assurer de sa personne doit être sévèrement réprimée par la loi.
Page 37 - Vous donna-t-elle enfin le droit de sanction, une liste civile et tant de grandes prérogatives, pour perdre constitutionnellement la constitution et l'empire? Non, non, homme que la générosité des Français n'a pu émouvoir, homme que le seul amour du despotisme a pu rendre sensible, vous n'avez pas rempli le vœu de la constitution! Elle...
Page 439 - Les politiques grecs qui vivaient dans le gouvernement populaire ne reconnaissaient d'autre force qui pût le soutenir que celle de la vertu. Ceux d'aujourd'hui ne nous parlent que de manufactures, de commerce, de finances, de richesses, et de luxe même.
Page 392 - France qu'il avait formé une liste de proscription ; je n'ai' pas voulu récriminer ; mais j'ai vu hier la séance des jacobins ; j'ai frémi pour la patrie ! J'ai vu se former l'armée du nouveau Cromwel , et je me suis armé d'un poignard pour lui percer le sein si la Convention nationale n'avait pas le courage de le décréter d'accusation...
Page 217 - Oui , il s'agit de la liberté; il s'agit de la tragédie que vous devez donner aux nations , il s'agit de faire tomber sous la hache des lois la tête d'un tyran ( On murmure.) , et non de misérables comédies.
Page 353 - ... attrister la vertu, dégrader l'humanité ? Plus un homme est doué de sensibilité et de génie , plus il s'attache aux idées qui agrandissent son être et qui élèvent son cœur, et la doctrine des hommes de cette trempe devient celle de l'univers.
Page 364 - Citoyens républicains, il est enfin arrivé ce jour à jamais fortuné que le peuple français consacre à l'Être suprême. Jamais le monde qu'il a créé ne lui offrit un spectacle aussi digne de ses regards. Il a vu régner sur la terre la tyrannie, le crime et l'imposture ; il voit dans ce moment une nation entière, aux prises avec tous les oppresseurs du genre humain, suspendre le cours de ses travaux héroïques pour élever sa pensée et ses vœux vers le grand Être qui lui donna la mission...
Page 121 - J'ai pris pour défenseur Gustave Doulcet : un tel attentat ne permet nulle défense ; c'est pour la forme. Adieu, mon cher papa, je vous prie de m'oublier, ou plutôt de vous réjouir de mon sort; la cause en est belle. J'embrasse ma sœur que j'aime de tout mon cœur ainsi que tous mes parents; n'oubliez pas ce vers de Corneille : Le crime fait la honte et non pas l'échafaud.
Page 438 - Un métier s'accorde mal avec le véritable citoyen : la main de l'homme n'est faite que pour la terre et pour les armes.