L'Eglise et la Révolution française: histoire des relations de l'Eglise et de l'Etat de 1789 à 1802Mevrueis, 1864 |
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... demandait de quel droit on examinait de si près les propriétés les plus sacrées tandis que l'on acceptait sans scrupule les honteux produits de l'agiotage . D'après lui les biens du clergé appartenaient à la nation comme la province de ...
... demandait de quel droit on examinait de si près les propriétés les plus sacrées tandis que l'on acceptait sans scrupule les honteux produits de l'agiotage . D'après lui les biens du clergé appartenaient à la nation comme la province de ...
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... demandait avant tout que l'on ne perdît pas de vue que l'objet principal des fon- dations après l'entretien du culte , était d'assurer la subsistance des pauvres . < « < Tant qu'il y aura en France , disait - il , des hommes qui ont ...
... demandait avant tout que l'on ne perdît pas de vue que l'objet principal des fon- dations après l'entretien du culte , était d'assurer la subsistance des pauvres . < « < Tant qu'il y aura en France , disait - il , des hommes qui ont ...
Page 70
... demandait , avec une haute raison , que les sacrifices à faire par ce corps respectable , fussent tellement compatibles avec la dignité et les droits du clergé , que ses représentants pussent y consentir librement . Sous ces réserves ...
... demandait , avec une haute raison , que les sacrifices à faire par ce corps respectable , fussent tellement compatibles avec la dignité et les droits du clergé , que ses représentants pussent y consentir librement . Sous ces réserves ...
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... demandait que l'Assemblée nationale décrétât que la loi ne reconnaîtrait plus les vœux monastiques , qu'elle ne mettrait aucun empêchement à la sortie des religieux de l'un et de l'autre sexe de leurs cou- vents ; que la puissance ...
... demandait que l'Assemblée nationale décrétât que la loi ne reconnaîtrait plus les vœux monastiques , qu'elle ne mettrait aucun empêchement à la sortie des religieux de l'un et de l'autre sexe de leurs cou- vents ; que la puissance ...
Page 99
... demandait , au nom du clergé de France , qu'il fût décrété que l'exercice public de la religion catholique continuât seul à être maintenu comme une loi constitutionnelle de l'Etat , que de telles mesures ne se décrètent pas dans une ...
... demandait , au nom du clergé de France , qu'il fût décrété que l'exercice public de la religion catholique continuât seul à être maintenu comme une loi constitutionnelle de l'Etat , que de telles mesures ne se décrètent pas dans une ...
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Common terms and phrases
assemblée avaient Bonaparte c'était Camille Desmoulins Camille Jordan catholicisme christianisme citoyens civile du clergé clergé constitutionnel comité concile concordat conscience conseil d'Etat constitution civile Convention coup d'Etat cour de Rome curés débat déclaration décret demandait département député despotisme devait Dieu Directoire discours discussion dit-il ecclésias ecclésiastiques Eglise établi eût évêques fanatisme fût général gion gouvernement Grégoire haut clergé Histoire de Pie hommes jour l'ancien l'Assemblée nationale l'Eglise l'Etat l'évêque L'orateur législatif libéral liberté des cultes liberté religieuse lois Mémoires ment mesures ministres Mirabeau morale motion n'avait n'était Napoléon Napoléon Ier nation paix papauté pape paroles passer passions pays persécution peuple Pie VII politique Portalis pouvait pouvoir civil premier consul prêtres insermentés principes proposition proscription protestantisme protestants public publique raison réclamations réforme régime reli République Révolution française révolutionnaire rien Robespierre saint-père saint-siége sainte séance serait serment seul Sieyès temporel théophilanthropes tion tolérance tribunat tribune violence vote voulait vrai
Popular passages
Page 50 - Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l'ordre public établi par la loi.
Page 100 - L'Assemblée nationale, considérant qu'elle n'a et ne peut avoir aucun pouvoir à exercer sur les consciences et sur les opinions religieuses ; que la majesté de la religion et le respect profond qui lui est dû ne permettent...
Page 324 - Nul ne. peut être responsable de ce qu'il a écrit ou publié que dans les cas prévus par la loi. 354. — Nul ne peut être empêché d'exercer, en se conformant aux lois, le culte qu'il a choisi. Nul ne peut être forcé de contribuer aux dépenses d'un culte. La République n'en salarie aucun.
Page 19 - Il ya donc une profession de foi purement civile dont il appartient au souverain de fixer les articles, non pas précisément comme dogmes de religion, mais comme sentiments de sociabilité sans lesquels il est impossible d'être bon citoyen ni sujet fidèle.
Page 410 - Le gouvernement de la république française reconnaît que la religion catholique, apostolique et romaine est la religion de la grande majorité des citoyens français. Sa Sainteté reconnaît également que cette même religion a retiré et attend encore en ce moment le plus grand bien et le plus grand éclat de l'établissement du culte catholique en France et de la profession particulière qu'en font les consuls de la république.
Page 292 - Divinité n'existe pas, ô toi qui te passionnes pour cette aride doctrine, et qui ne te passionnas jamais pour la patrie? Quel avantage trouves-tu à persuader à l'homme qu'une force aveugle préside à ses destinées et frappe au hasard le crime et la vertu, que son âme n'est qu'un souffle léger qui s'éteint aux portes du tombeau?
Page 18 - . Voici donc le principe fondamental des lois politiques en fait de religion. Quand on est maître de recevoir dans un état une nouvelle religion , ou de ne la pas recevoir , il ne faut pas l'y établir; quand elle y est établie , il faut la tolérer.
Page 410 - Sainteté reconnaît également que cette même religion a retiré et attend encore, en ce moment, le plus grand bien et le plus grand éclat de l'établissement du culte catholique en France et de la profession particulière qu'en font les consuls de la République. En conséquence, d'après cette reconnaissance mutuelle, tant pour le bien de la religion que pour le maintien de la tranquillité intérieure, ils sont convenus de ce qui suit. Art. i . La religion catholique, apostolique et romaine...
Page 195 - Éloigné du centre commun de toutes les actions et de toutes les résistances, disposé par son caractère naturel à l'amour de la paix, au sentiment de l'ordre, au respect de la loi, il recueillait les bienfaits de la Révolution, sans en éprouver les orages. Dans les campagnes, la difficulté des...
Page 140 - ... de veiller avec soin sur les fidèles du diocèse qui lui est confié, d'être fidèle à la nation, à la loi et au roi et de maintenir de tout son pouvoir la constitution décrétée par l'assemblée nationale et acceptée par le roi.