Le Consulat et l'Empire ou Histoire de la France et de Napoléon Bonaparte de 1799 à 1815, Volume 5J. Renouard, 1835 - France |
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1er janvier affaires Alexandre Andalousie Anglais armées Augereau avaient avril Badajoz bâtimens Bernadotte Boutourlin c'était Cadix Campo-Mayor canal cardinal cent chargé civils commerce commission concile confédération du Rhin conseiller d'état corps Corps-Législatif cour décembre déclaration départemens dépenses députés devait dispositions division domaine extraordinaire donna dotations EMPIRE enfans Espagnols établi état évêques fabrication février Fouché françaises fût garnison général gouvernement grand-duché de Francfort guerre Hollande impériale juges l'Angleterre l'armée l'Autriche l'Église l'Em l'Empe l'Empereur l'Empire l'Impératrice laisser Lerida lettre liquidation maisons majorats maréchal mariage Marie-Louise mars Masséna ment militaires mille hommes millions ministre n'avait n'était Napoléon Olivenza ordonna palais pape pays pereur Pie VII place police ports Portugal pouvait préfet prince primat prisonniers propriété Prusse rent reste réunion réunis Rome Russie s'était sénat sénatus-consulte serait service seul Séville siège Soult Suchet sucre Suède système continental tion traité travaux tribunaux trône troupes Tuileries voulait Wellington
Popular passages
Page 143 - ... années. Il m'a paru que l'air de ce pays-ci ne vous convenait point, et nous n'en sommes pas encore réduits à chercher des modèles dans les peuples que vous admirez. « Votre dernier ouvrage n'est point français; c'est moi qui en ai arrêté l'impression. Je regrette la perte qu'il va faire éprouver au libraire, mais il ne m'est pas possible de le laisser paraître. « "Vous savez, madame, qu'il ne vous avait été permis de sortir de Coppet que parce que vous aviez exprimé le désir de...
Page 142 - Il ne faut point rechercher la cause de l'ordre que je vous ai signifié, dans le silence que vous avez gardé à l'égard de l'Empereur dans votre dernier ouvrage; ce serait une erreur : il ne pouvait pas y trouver de place qui fût digne de lui; mais votre exil est une conséquence naturelle de la marche que vous suivez constamment depuis plusieurs années. Il m'a paru que l'air de ce pays-ci ne vous convenait pas, et nous n'en sommes pas encore réduits à chercher des modèles dans les peuples...
Page 41 - Toutefois, une mine ne peut être vendue par lots ou partagée sans une autorisation préalable du gouvernement, donnée dans les mêmes formes que la concession.
Page 41 - L'individu ou la société doit justifier des facultés nécessaires pour entreprendre et conduire les travaux, et des moyens de satisfaire aux redevances, indemnités, qui lui seront imposées par l'acte de concession.
Page 345 - Rappelez-vous que je ne vous ai fait roi que pour » l'intérêt de mon système ; ne vous y trompez pas, » si vous cessiez d'être Français vous ne seriez rien
Page 52 - L'empereur dispose du domaine extraordinaire, 1° pour subvenir aux dépenses de ses armées; 2° pour récompenser ses soldats et les grands services civils ou militaires rendus à l'état; 3° pour élever des monumens, faire faire des travaux publics , encourager les arts , et ajouter à la splendeur de l'empire.
Page 417 - J'en suis navré, Monsieur; car j'ai présents la mémoire et les services de votre père. » Et quand il fut sorti, l'Empereur ajouta : « J'espère qu'une pareille scène ne se renouvellera jamais; elle m'a fait trop de mal. Je ne suis pas défiant, je pourrais le devenir ! Je me suis entouré de tous les partis; j'ai mis auprès de ma personne jusqu'à des émigrés, des soldats de l'armée de Condé; bien qu'on voulût qu'ils m'eussent assassiné, je dois être juste, tous m'ont été fidèles.
Page 75 - La Hollande , placée entre l'Angleterre et la France , en est également froissée. Cependant elle est le débouché des principales artères de mon empire. Des changements deviendront nécessaires ; la sûreté de mes frontières et l'intérêt bien entendu des deux pays l'exigent impérieusement.
Page 509 - Baltique successivement réunis, l'intérieur de l'Allemagne cerné, ont dû faire entrevoir aux princes les moins clairvoyants, que les règles de la politique, mises de côté, allaient incessamment faire place à un système qui, détruisant toute espèce d'équilibre, réunirait une foule de nations sous un seul chef; les monarques tributaires, effrayés de cette domination toujours croissante, attendent, consternés, le développement de ce vaste plan.
Page 319 - ... donc désormais dans les plaines des Espagnes! Lorsque l'Angleterre sera épuisée, qu'elle aura enfin ressenti les maux qu'avec tant de cruauté elle verse depuis vingt ans sur le continent, que la moitié de ses familles...