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sur un mort, 186. — Aveu que la troupe a été trop loin. Les chefs surtout sont coupables. Propos et actes de quelques officiers, 187.Le colonel Rochefort assassine trente personnes inoffensives, 190.ruse de guerre pour tuer les passants, 191.- Ses cruautés plus hideuses que celles de Bédarieux, 192. — Le colonel Feray commandant à deux soldats de brûler la cervelle à un prisonnier, 193.- Un enfant enfermé la nuit avec trois cadavres, 194. - Les orléanistes félicitent le prince Napoléon, 195. — Soldats qui ont refusé de tirer. La pitié sévèrement punie, 196.

§ IV. Justification des décembriseurs, 197. Soixante cadavres d'hommes et d'enfants déposés Cité Bergère, 198.-- Liste d'hommes tués sur le boulevard, 199.- La plupart était des bourgeois. Inexactitude de la liste générale officielle des morts, 201. Prisonniers fusillés, 202.- Ordres officiels de ne pas faire de prisonniers. Massacres dans les prisons, 205. - Le blessé de la barricade Montorgueil. Blessé jeté tout vivant à la Seine, 207.- Trois prisonniers fusillés et précipités dans la rivière. Un type de modéré, 209. Atrocités récompensées par les sauveurs de la civilisation, 210.

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§ V. — La terreur règne en France, 211.- Pourquoi nous taisons les noms de ceux qui nous renseignent. Aveux de nombreux assassinats par les journaux et les généraux du crime, 213. Les assassins du général Bréa appartenaient à la faction bonapartiste, 214.--Les hommes que l'on a fusillés étaient les défenseurs du pouvoir constitué, 218.-Témoignage d'un chasseur d'Afrique sur les fusillades, 219. — Une femme fusillée. M. Herbillot, le général fouetteur, 221.

§ VI. Le canon à Crest (Drôme), 221.- La troupe fait la guerre des barricades et des fenêtres, 222.- Prisonniers et parlementaires fusillés dans les départements, 223. - Langage de certains modérés, 225. § VII. — Ordre du jour sanguinaire du général Saint-Arnaud, 226.L'ex-Président confesse qu'il est sorti de la légalité, 227, et les défenseurs de la Constitution sont déclarés des ennemis de l'ordre, 228.-Dépêche atroce aux commandants des divisions militaires. M. Maupas prononce la peine de mort pour crime de stationnement, 229.rible proclamation du général Bourjolly, 230.

§ VIII. — Plan des constitutionnels.

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Position, défense et prise des différentes barricades, 231.- Quelques vaillants contre toute une armée. Comment les brigands pratiquaient le pillage, 233.- Beau trépas de Denis Dussoubs, 234.- Trait héroïque d'une portière, 236. Dernières barricades, 237.

§ IX. - La consternation de Paris. Les dévastations des conquérants avouées par eux-mêmes, 238. — L'armée française a fait la guerre à Paris, 242. Le président-Obus, 243.

CHAPITRE V.-LE PEUPLE.

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- Il n'a pas été divisé par

Le peuple ne fait que ce qu'il veut. Il n'a écouté, le 2 décembre, aucune des voix qui l'appelaient au combat, 245. les écoles socialistes, 246. Les riches payant pour faire la révolution des partageux! 247.- Comment le peuple a envisagé la situation. Les mesures liberticides n'avaient aucun effet nouveau pour lui, 248.-L'Assemblée, quelle qu'elle fût, représentait la souveraineté nationale, 249. - L'inaction du peuple tient à l'ignorance où on l'a laissé. Il reconnaît qu'il n'y a rien de commun entre lui et l'ex-Président, 250. - La grande nation forgeant elle-même ses chaînes. La question est entre la démocratie et l'absolutisme. La réaction a commencé en Europe le même jour qu'en France, 251. Le 2 décembre n'est point un fait isolé, 252. Alliance nécessaire de la bourgeoisie et du prolétariat. La France a charge d'âmes, 253.

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CHAPITRE VI.-RÉSISTANCE DANS LES DÉPARTEMENTS.

§ Ier. Clamecy.

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Bon

La province soulevée contre l'attentat avant même de savoir ce que ferait Paris. Invention de la jacquerie, 255.- Procédé de calomnie des honnêtes gens, 256.- Meurtre de M. Mulon. Tirer aux habits, 257. Arrestations préalables. On veut délivrer les détenus préventifs. Engagement entre le peuple et les insurgés, 258. — Mort du gendarme Bidan, 259. Soulèvement, 260. Quatre mille hommes des environs à Clamecy. Prétendu pillage de la caisse du receveur. compte rendu, 261. Les viols. Les amis de la Constitution et les dames de la ville. Un soldat tué par la femme d'un homme arrêté, 262.-Trait d'un partageux. Modération du peuple, 263. — 1830 et 1848 insultés. M. Delafosse fait massacrer trois prisonniers, 264. -Les insurgés tuent un ouvrier qui passait. Ils arrêtent des parlementaires, 265.

§ II. Donjon et Lapalisse. Arrestation des autorités, 266. Mesures prises, 267. La gendarmerie désarmée. Marche sur Lapalisse. Traitement fait aux prisonniers, 268. Prise de Lapalisse. Arrestation du sous-préfet, 271. Le sabre d'honneur de M. Rochefort. Attaque des réactionnaires, 272. - Infâme histoire des gendarmes assassinés, 273. — Inaction motivée des démocrates de Lapalisse. Les autres se retirent. Le juge de paix du Donjon arrête ses créanciers, 275.—Femme et servante emprisonnées pour les forcer à dénoncer. Rentrée au Donjon. Fuite forcée, 276.

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§ III. Basses-Alpes.

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Le sous-préfet de Forcalquier ordonne de tirer sur des citoyens réunis, à la nouvelle du crime, 277. Les communes voisines appelées aux armes s'emparent de Forcalquier. Fable ridicule sur la blessure de M. Paillard et la manière dont il fut traité. Son ingratitude, 278. - Le département tout entier se lève. La part des sociétés secrètes, 279.Prise de Malijay. Entrée à Digne, 280.- Lettre de M. Ch. Fortoul, 281. Les gendarmes se mettent à la disposition des constitutionnels. Les citoyens Buisson et Cotte nommés chefs. Comité de résistance, 282.- Armistice signé avec le commandant de la forteresse. Mesures d'ordre. Petit vol puni, 283. La garde nationale de Digne adhère au mouvement. La justice suit son cours, 284. Les livres des droits-réunis sont brûlés. Proclamation du comité de résistance, 285. Argent tiré des caisses publiques contre reçus, 286.- Emploi des sommes prises chez les comptables, 287.- Réquisitions frappées par les insurgés. Exactions commises a Villeneuve, 288. · Un aubergiste menacé de mort parce qu'il réclame les dépenses des soldats, 289. -M. Buisson et M. Cotte vengés. Retraite de Digne, 290.- Soulèvement de Sisteron. Mouvement de Barcelonnette. Prétendu pillage du château de Malijay, 291.- Concentration sur les Mées. Arrivée des troupes insurgées. Leur colonel arrête deux parlementaires, 292. Mise en liberté des parlementaires. Un peloton des insurgés tombe aux mains des républicains. Acte de trahison des factieux, 293.— Ils battent en retraite. Les constitutionnels se dispersent. Leur isolement, 294.- Portée de la prise d'armes des Basses-Alpes. Mensonge prouvé sur l'engagement des Mées, 295. Six cents Français fuyant devant cinq gendarmes blessés. Quatre mille cinq cents Marseillais épouvantés par quelques gendarmes, 296.

§ IV. Var.

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Le Var se lève spontanément tout entier. Le citoyen Duteil nommé général par quinze mille hommes. Proposition de marcher sur Paris, 297. - Puissante force perdue. La calomnie sur les prisonniers, 298. Le colonel Trauers la soutient, 299.-Trait de perfidie de M. Trauers. Les insurgés tirent sur les prisonniers enfermés dans une chambre, 300. Un miracle en faveur d'une atrocité, 301. - Le fanatisme de la haine. Grand nombre de chefs pris, 302.- Digne attitude du citoyen Duteil. Les constitutionnels font retraite en colonnes. Marche vers Nice. Noble conduite du gouvernement piémontais et des habitants. Les brigands dénués de tout, 303.-Lettre du citoyen Duteil, 304.

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§ V. Marmande (Lot-et-Garonne).

Fermentation à la nouvelle du guet-à-pens, 305.-Le conseil municipal appelle les citoyens aux armes. Armistice conclu avec les autorités, 306.

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CHAPITRE VII.-LA RÉSISTANCE DES DÉPARTEMENTS
TRANSFORMÉE EN JACQUERIE.

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Système de calomnies organisé par les amis de l'ordre. Incendies de la

Savoie attribués aux démagogues, 319. L'assassin de la reine d'Es-

pagne donné pour un démagogue, 320. Egorgement général et

pillage universel préparés pour 1852. Les jacques viennent d'inventer

de nouveaux supplices, 321. Ils jettent les enfants dans les flammes,

322. Le viol! Les femmes vengent les républicains. Les représen-

tants du peuple excitent à la dévastation, 323. Société formée pour

assassiner l'ex-Président. Les membres de la Montagne discutant cet

assassinat. Les réactionnaires nous imputent les projets qu'ils ont

réalisés, 324.- Démentis donnés par les propriétaires au pillage de châ-

teaux, 325.—Lettre du curé de Poligny, 326.- Les jacques font em-

prisonner leurs pères et leurs frères, 327. - La Patrie forcée de se ré-

tracter. Les forfaits détaillés de Joigny sont de pure invention, 328.-

Le cadavre d'un sous-j
s-préfet qui se porte bien. Horrible histoire bro-

dée sur la mort du gendarme de Clamecy, 329.- Les poignets sciés du

gendarme de Marmande, 331. — Qui a le plus d'horreur du sang, 332.

Les jeunes filles et les jeunes femmes de Digne partagées entre les

constitutionnels. Les meurtriers et les voleurs de Chomérac, 333.

Serment d'être parricide. Béziers à sac! Deux heures de pillage à

Bagnères. On déshonore les classes laborieuses et on les dit bonapar-

tistes, 334. - Point de délits forestiers pendant les journées de décem-

bre. Pourquoi Toulouse n'a pas pris les armes, 335.-Honorable réserve

des démocrates de Villeneuve. Deux mille paysans vont prendre Agen

avec des sacs, 336. Les proclamations du comité de Clamecy et du

peuple souverain de Bédarieux, 338. - Les mensonges des décembri-

seurs compromettent le caractère national, 339.-L'opinion des riches

faussée. Les réactionnaires ont besoin de la peur pour gouverner,

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340. - On ne peut rien reprocher aux républicains maîtres de la France après Février, 341.— Générosité du peuple en 1848. La jacquerie de 1851 est une fantasmagorie, 342.

CHAPITRE VII. CRUAUTÉS COMMISES

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DÉCEMBRISEURS.

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PAR LES

La seule crainte à concevoir, c'est d'en laisser échapper un seul, 343. Battues dans les bois de l'Allier et de la Nièvre. Suicides causés par la terreur, 344. Traits d'arbitraire, 345.- Expédition du préfet des Basses-Pyrénées à Estagel, 346. Le préfet de Lot-et-Garonne veut enlever la garde de la prison centrale, 347.- - Proclamation sanguinaire du commandant de ce département. L'hospitalité devenue crime, 348.- Arrêtés de MM. Carlier, Charlier et Pellagot, 349.- Receleurs d'hommes. La mort pour un verre d'eau, 351. Condamnation à vingt ans de galères pour recel d'un fugitif, 352.- Pas un proscrit n'a été trahi. La mort pour une doublure de poche, 353. Le général Eynard met sous séquestre les biens des pillards. Le colonel Fririon met à la charge des proscrits les garnisaires placés chez eux, 355.-——— Tête de fugitif à prix, 356.

CHAPITRE IX.-LA RÉSISTANCE A ÉTÉ FAITE PRIN

§ Ier.

359.

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CIPALEMENT PAR LA BOURGEOISIE.

Impostures accumulées pour tromper la France et l'Europe, -La plupart des brigands appartiennent aux classes conservatrices, 360. Quelques noms de ceux qui ont pris part à la résistance, 361.

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§ II. Listes d'hommes frappés par les commissions militaires départementales, 364.

§ III. — Listes de personnes arrêtées chaque jour, 373.

§ IV.

Listes de transportés, 375.

§ V. - Notables qui trament le bouleversement de la société, 378. — Les amis de l'ordre avouent qu'il y a beaucoup d'honnêtes gens au milieu des brigands, 379.- La Chaussée-d'Antin plus anarchiste que les faubourgs, 380. Les bourgeois assassinés traités de malfaiteurs. Le gouvernement des coquins a peur de la garde nationale, 381.- Jacques d'un rang élevé, 382.

VI.

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Magis

Liste de magistrats promoteurs de rébellion, 383. trats transportés. L'armée a fourni ses victimes, 384. Liste de prêtres ennemis de la religion, 385. De quoi rassurer les classes riches, 386.

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