Histoire des crimes du deux décembre |
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Page 12
... déclare qu'elle croit le gendarme et passe à l'ordre du jour ! : Arrive la discussion de la proposition des questeurs . Ils la développent , et l'un d'eux , le général Leflô , trouve le moyen d'insulter la révolution de Février , cette ...
... déclare qu'elle croit le gendarme et passe à l'ordre du jour ! : Arrive la discussion de la proposition des questeurs . Ils la développent , et l'un d'eux , le général Leflô , trouve le moyen d'insulter la révolution de Février , cette ...
Page 13
... déclare que le peuple , c'est l'insurrection , et que la proposition est dirigée autant contre lui que contre le pouvoir exé- cutif . Les républicains ne pouvaient hésiter , ils votèrent en masse contre la proposition . Elle fut rejetée ...
... déclare que le peuple , c'est l'insurrection , et que la proposition est dirigée autant contre lui que contre le pouvoir exé- cutif . Les républicains ne pouvaient hésiter , ils votèrent en masse contre la proposition . Elle fut rejetée ...
Page 59
... déclare ce qui suit , sur l'invitation de M. Verheyen , administrateur de la sûreté publique du royaume de Belgique : " Le 8 janvier à quatre heures et demie du matin , un individu qui , en réponse à ma demande , se dit être le chef du ...
... déclare ce qui suit , sur l'invitation de M. Verheyen , administrateur de la sûreté publique du royaume de Belgique : " Le 8 janvier à quatre heures et demie du matin , un individu qui , en réponse à ma demande , se dit être le chef du ...
Page 60
Victor Schoelcher. je déclare ne vouloir sortir d'ici que sous l'empire de la force . " Peu après je fus placé au fond d'une voiture de poste avec un agent de police à ma droite , un agent de police devant moi ; et je fus conduit ainsi ...
Victor Schoelcher. je déclare ne vouloir sortir d'ici que sous l'empire de la force . " Peu après je fus placé au fond d'une voiture de poste avec un agent de police à ma droite , un agent de police devant moi ; et je fus conduit ainsi ...
Page 100
... nom de la Constitution que nous vous sommons de vous retirer . LE COMMANDANT . J'ai des ordres . M. VITET . Un décret vient d'être rendu par l'Assem- blée qui déclare qu'en vertu de l'art . 68 de 100 LES CRIMES DU DEUX DÉCEMBRE .
... nom de la Constitution que nous vous sommons de vous retirer . LE COMMANDANT . J'ai des ordres . M. VITET . Un décret vient d'être rendu par l'Assem- blée qui déclare qu'en vertu de l'art . 68 de 100 LES CRIMES DU DEUX DÉCEMBRE .
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 79 - Mais aujourd'hui que le pacte fondamental n'est plus respecté de ceuxlà même qui l'invoquent sans cesse, et que les hommes qui ont déjà perdu deux monarchies veulent me lier les mains, afin de renverser la République, mon devoir est de déjouer leurs perfides projets, de maintenir la République et de sauver le pays en invoquant le jugement solennel du seul souverain que je reconnaisse en France, le peuple.
Page 81 - Soldats! Soyez fiers de votre mission, vous sauverez la patrie, car je compte sur vous, non pour violer les lois, mais pour faire respecter la première loi du pays, la souveraineté nationale, dont je suis le légitime représentant. Depuis longtemps vous souffriez, comme moi, des obstacles qui s'opposaient et au bien que je voulais vous faire et aux démonstrations de votre sympathie en ma faveur. Ces obstacles sont brisés. L'Assemblée a essayé d'attenter à l'autorité que je tiens de la nation...
Page 79 - La constitution, vous le savez, avait été faite dans le but d'affaiblir d'avance le pouvoir que vous alliez me confier. Six millions de suffrages furent une éclatante protestation contre elle, et cependant je l'ai fidèlement observée. Les provocations, les calomnies, les outrages m'ont trouvé impassible. Mais aujourd'hui que le pacte fondamental n'est plus respecté de ceux-là...
Page 125 - Toute mesure par laquelle le Président de la République dissout l'Assemblée nationale, la proroge ou met obstacle à l'exercice de son mandat, est un crime de haute trahison. Par ce seul fait, le Président est déchu de ses fonctions ; les citoyens sont tenus de lui refuser obéissance ; le Pouvoir exécutif passe de plein droit à l'Assemblée nationale.
Page 79 - Je fais donc un appel loyal à la nation tout entière et je vous dis: Si vous voulez continuer cet état de malaise qui nous dégrade et compromet notre avenir, choisissez un autre à ma place, car je ne veux plus d'un pouvoir qui est impuissant à faire le bien.
Page 82 - C'est à moi, responsable de mes actions devant le peuple et devant la postérité, de prendre les mesures qui me semblent indispensables pour le bien public. Quant à vous, restez inébranlables dans les règles de la discipline et de l'honneur. Aidez, par votre attitude imposante, le pays à manifester sa volonté dans le calme et la réflexion. Soyez prêts à réprimer toute tentative contre le libre exercice de la souveraineté du peuple.
Page 411 - France en 1852, c'est d'employer le temps dont je dispose, de manière à ce que la transition, quelle qu'elle soit, se fasse sans agitation et sans trouble. « Le but le plus digne d'une âme élevée n'est point de rechercher, quand on est au pouvoir, par quels expédients on s'y perpétuera, mais de veiller sans cesse aux moyens de consolider...
Page 23 - En 1830 comme en 1848, on vous a traités en vaincus. Après avoir flétri votre désintéressement héroïque , on a dédaigné de consulter vos sympathies et vos vœux , et cependant vous êtes l'élite de la Nation.