Histoire des crimes du deux décembre |
From inside the book
Results 1-5 of 67
Page 35
... femme , les menaçant de les tuer s'ils bougent ; ils montent silencieusement l'escalier , où ils s'éclairent au moyen de petites bougies , et ils sonnent chez le colonel . Celui - ci , sortant du lit , vient et demande : " Qui est là ...
... femme , les menaçant de les tuer s'ils bougent ; ils montent silencieusement l'escalier , où ils s'éclairent au moyen de petites bougies , et ils sonnent chez le colonel . Celui - ci , sortant du lit , vient et demande : " Qui est là ...
Page 46
... femme de service vint ouvrir ; on envahit aussitôt l'appartement et la chambre à coucher . M. Baze , réveillé en sursaut par le bruit , était debout ; on se jeta sur lui au moment où il passait une robe de chambre . se défendit des ...
... femme de service vint ouvrir ; on envahit aussitôt l'appartement et la chambre à coucher . M. Baze , réveillé en sursaut par le bruit , était debout ; on se jeta sur lui au moment où il passait une robe de chambre . se défendit des ...
Page 47
... femme , aussi courageuse que lui , ouvrait les fenêtres et demandait assistance à grands cris . Les hommes de M. Bonaparte ne craignirent pas de porter les mains sur une femme vêtue comme on l'est au lit , et déchirèrent , sans pudeur ...
... femme , aussi courageuse que lui , ouvrait les fenêtres et demandait assistance à grands cris . Les hommes de M. Bonaparte ne craignirent pas de porter les mains sur une femme vêtue comme on l'est au lit , et déchirèrent , sans pudeur ...
Page 55
... femme , la faculté de voir son mari . Enceinte , cruel- lement éprouvée par les scènes violentes dont elle avait été témoin lors de l'arrestation du général , épuisée à la suite des courses infinies qu'elle avait dû faire , elle oublie ...
... femme , la faculté de voir son mari . Enceinte , cruel- lement éprouvée par les scènes violentes dont elle avait été témoin lors de l'arrestation du général , épuisée à la suite des courses infinies qu'elle avait dû faire , elle oublie ...
Page 56
Victor Schoelcher. voir sa femme en ville , " en restant prisonnier sur parole . ” Le capitaine Baudot s'empressa de communiquer cette lettre au général ; mais celui - ci sans le laisser achever , l'arrêta au mot sur parole . " Capitaine ...
Victor Schoelcher. voir sa femme en ville , " en restant prisonnier sur parole . ” Le capitaine Baudot s'empressa de communiquer cette lettre au général ; mais celui - ci sans le laisser achever , l'arrêta au mot sur parole . " Capitaine ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
15 décembre agents amis armes arrestations arrêté assassins author avaient avocat baïonnettes barricades bataillon Bedeau Bonaparte book boulevard Montmartre boulevard Poissonnière bourgeoisie brigands capitaine caserne Charras chef chose citoyens Clamecy cloth colonel commandant commissaire de police conjurés conspirateurs Constitution coup d'état crime décembre décembriseurs décret démocratie département dire English faubourg femme force fusiller garde nationale gendarmes général Bréa GÉNÉRAL OUDINOT gouvernement great heures hommes insurgés jacquerie JOHANN GOTTLIEB FICHTE jour journaux juge l'armée l'Assemblée nationale l'Elysée l'ordre laisser Lapalisse Leflô Life Literature Lot-et-Garonne Louis-Napoléon Louis-Napoléon Bonaparte maire maison majorité Manosque Marmande Maupas Mazas membres ment militaire Montagnards Morny Nadaud officiers ordres Original price Oudinot ouvriers PASCAL DUPRAT passé Persigny personne Post 8vo préfet PRÉSIDENT BENOIST D'AZY prison prisonniers proclamation propriétaire questeurs reader reduced représentants du peuple républicains République reste Review révolution Saint-Arnaud sera seul socialistes soldats spirit suffrage universel THEODORE PARKER thought tion troupe trouvé Vieyra work
Popular passages
Page 79 - Mais aujourd'hui que le pacte fondamental n'est plus respecté de ceuxlà même qui l'invoquent sans cesse, et que les hommes qui ont déjà perdu deux monarchies veulent me lier les mains, afin de renverser la République, mon devoir est de déjouer leurs perfides projets, de maintenir la République et de sauver le pays en invoquant le jugement solennel du seul souverain que je reconnaisse en France, le peuple.
Page 81 - Soldats! Soyez fiers de votre mission, vous sauverez la patrie, car je compte sur vous, non pour violer les lois, mais pour faire respecter la première loi du pays, la souveraineté nationale, dont je suis le légitime représentant. Depuis longtemps vous souffriez, comme moi, des obstacles qui s'opposaient et au bien que je voulais vous faire et aux démonstrations de votre sympathie en ma faveur. Ces obstacles sont brisés. L'Assemblée a essayé d'attenter à l'autorité que je tiens de la nation...
Page 79 - La constitution, vous le savez, avait été faite dans le but d'affaiblir d'avance le pouvoir que vous alliez me confier. Six millions de suffrages furent une éclatante protestation contre elle, et cependant je l'ai fidèlement observée. Les provocations, les calomnies, les outrages m'ont trouvé impassible. Mais aujourd'hui que le pacte fondamental n'est plus respecté de ceux-là...
Page 125 - Toute mesure par laquelle le Président de la République dissout l'Assemblée nationale, la proroge ou met obstacle à l'exercice de son mandat, est un crime de haute trahison. Par ce seul fait, le Président est déchu de ses fonctions ; les citoyens sont tenus de lui refuser obéissance ; le Pouvoir exécutif passe de plein droit à l'Assemblée nationale.
Page 79 - Je fais donc un appel loyal à la nation tout entière et je vous dis: Si vous voulez continuer cet état de malaise qui nous dégrade et compromet notre avenir, choisissez un autre à ma place, car je ne veux plus d'un pouvoir qui est impuissant à faire le bien.
Page 82 - C'est à moi, responsable de mes actions devant le peuple et devant la postérité, de prendre les mesures qui me semblent indispensables pour le bien public. Quant à vous, restez inébranlables dans les règles de la discipline et de l'honneur. Aidez, par votre attitude imposante, le pays à manifester sa volonté dans le calme et la réflexion. Soyez prêts à réprimer toute tentative contre le libre exercice de la souveraineté du peuple.
Page 411 - France en 1852, c'est d'employer le temps dont je dispose, de manière à ce que la transition, quelle qu'elle soit, se fasse sans agitation et sans trouble. « Le but le plus digne d'une âme élevée n'est point de rechercher, quand on est au pouvoir, par quels expédients on s'y perpétuera, mais de veiller sans cesse aux moyens de consolider...
Page 23 - En 1830 comme en 1848, on vous a traités en vaincus. Après avoir flétri votre désintéressement héroïque , on a dédaigné de consulter vos sympathies et vos vœux , et cependant vous êtes l'élite de la Nation.