Jubilé cinquantenaire de la société de l'histoire du protestantisme français: 25 mai au 4 juin 1902

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Agence générale de la soc., 1902 - France - 240 pages
 

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Popular passages

Page 142 - Mais il leur répondit : Ma mère et mes frères sont ceux qui écoutent la parole de Dieu et qui la pratiquent.
Page 105 - Croissy, écuyer, conseiller secrétaire du Roy, maison et couronne de France et de ses finances...
Page 230 - Tragédie en cinq actes et en vers, représentée pour la première fois à Paris, sur le théâtre de la Nation, par MM.
Page 70 - Dieu se monstre seulement Et on verra soudainement Abandonner la place : Le camp des ennemis espars Et ses haineux de toutes parts Fuir devant sa face.
Page 11 - La religion catholique, apostolique et romaine, continuera de jouir seule, dans notre royaume, du culte public, et la naissance, le mariage et la mort de ceux de nos sujets qui la professent ne pourront, dans aucun cas, être constatés que suivant les rites et usage de ladite religion autorisée par nos ordonnances.
Page 44 - En toi mon espoir ai mis : Fai que je ne tombe à honte Au gré de mes ennemis. Honte n'auront voirement Ceux qui dessus toi s'appuient; Mais bien ceux qui durement Et sans cause les ennuient.
Page 229 - Agréez encore, monsieur, de nouvelles assurances des sentiments d'estime, d'admiration et de respect avec lesquels j'ai l'honneur d'être, monsieur, votre très humble et très obéissant serviteur.
Page 227 - Je vous réponds, Mesdemoiselles, sur du papier orné de fleurs parce que le temps des épines est passé, et qu'on rendra justice à votre respectable mère et à vous.
Page 11 - Messieurs, ce n'est pas la tolérance que je réclame; c'est la liberté. La tolérance ! le support ! le pardon ! la clémence ! idées souverainement injustes envers les dissidents, tant qu'il sera vrai que la différence de religion, que la différence d'opinion n'est pas un crime.
Page 116 - Dieu vous la face, et songez un peu à la dignité en laquelle Dieu vous a constitué, et que les cris de ces pauvres gens^ qui montent jusqu'au ciel, sont autant d'ajournemens que Dieu .vous envoie pour penser au deu de vostre charge, de laquelle vous lui estes responsable.

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