Histoire parlementaire de la Révolution française: ou Journal des assemblées nationales, depuis 1789 jusqu'en 1815, Volume 39Paulin, 1838 - France |
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... capitale de la partie espagnole . Nous avons considérablement anticipé sur la narration qui va suivre pour rendre compte en une seule fois d'une expédition impolitique qui coûta à la France près de cinquante mille hommes de ses ...
... capitale de la partie espagnole . Nous avons considérablement anticipé sur la narration qui va suivre pour rendre compte en une seule fois d'une expédition impolitique qui coûta à la France près de cinquante mille hommes de ses ...
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... capitale . C'est là une conquête immense ; mais les divisions excitées entre les princes , au mépris de l'acte du parlement de la vingt - qua- trième année du règne de Georges III , c'est - à - dire de 1784 , qui défend à la compagnie ...
... capitale . C'est là une conquête immense ; mais les divisions excitées entre les princes , au mépris de l'acte du parlement de la vingt - qua- trième année du règne de Georges III , c'est - à - dire de 1784 , qui défend à la compagnie ...
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... capitale . Pendant que les princes français attendaient , sur les frontières , l'effet des sou- lèvemens intérieurs , Pichegru , Georges Cadoudal et environ trente autres royalistes déterminés débarquaient secrètement en France et se ...
... capitale . Pendant que les princes français attendaient , sur les frontières , l'effet des sou- lèvemens intérieurs , Pichegru , Georges Cadoudal et environ trente autres royalistes déterminés débarquaient secrètement en France et se ...
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... capitale . Quels que soient les services rendus par les citoyens , ils n'en sont que plus coupables lorsqu'ils oublient leurs devoirs › envers leur patrie , et qu'ils ourdissent contre elle des trames » criminelles . Les circonstances ...
... capitale . Quels que soient les services rendus par les citoyens , ils n'en sont que plus coupables lorsqu'ils oublient leurs devoirs › envers leur patrie , et qu'ils ourdissent contre elle des trames » criminelles . Les circonstances ...
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... › Les complices de Georges furent successivement arrêtés à Paris et dans les départemens où ils s'enfuyaient en se sauvant de la capitale . On trouva sur Villeneuve un passeport de 80 du 16 therm . an x ( 4 aout 1802 ) CONSULAT . -
... › Les complices de Georges furent successivement arrêtés à Paris et dans les départemens où ils s'enfuyaient en se sauvant de la capitale . On trouva sur Villeneuve un passeport de 80 du 16 therm . an x ( 4 aout 1802 ) CONSULAT . -
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Common terms and phrases
agens alliés anglais armée armes arrêté attaque Autrichiens avaient avril bataillons Bautzen Bernadotte blessés Blücher Bonaparte c'était capitale cavalerie cent mille hommes chargé chef citoyens coalisés colléges électoraux commandée commission confédération du Rhin conscrits conseil d'état corps législatif Davoust déclaration décret départemens députés devait dignité division Dresde ennemis Espagnols eût évacué floréal forces garnison gauche général Georges gouvernement provisoire grand-juge guerre heures impériale jour l'Angleterre l'armée française l'Autriche l'empereur l'empire l'ennemi l'Europe Leipsick liberté long-temps majesté marche maréchal Marmont Masséna mée membres ment ministre Moreau Moskou n'avait n'était Napoléon Napoléon Bonaparte nation négociations nommé officiers paix passer patrie peuple Pichegru pièces de canon police porter position premier consul présenter président prince prisonniers proclamation projet Prusse Prussiens puissances République reste retraite Rhin Russie s'était séance sénat sénateurs sénatus-consulte sentimens sera session seul Smolensk soldats Soult Talleyrand tion titre traité d'Amiens tribunat trône troupes trouva village Vistule
Popular passages
Page 160 - des biens nationaux ; de ne lever aucun impôt , » de n'établir aucune taxe qu'en vertu de la loi ; de » maintenir l'institution de la légion d'honneur; de » gouverner dans la seule vue de l'intérêt , du bonheur » et de la gloire du Peuple français (i) ». Du Serment du Régent.
Page 389 - Qui a adulé le peuple en proclamant à une souveraineté qu'il était incapable d'exercer? Qui a détruit la sainteté et le respect des lois en les faisant dépendre, non des principes sacrés de la justice, de la nature des choses et de la justice civile, mais seulement de la volonté d'une assemblée composée d'hommes étrangers à la connaissance des lois civiles, criminelles, administratives, politiques et militaires ? Lorsqu'on est appelé à régénérer un état , ce sont des principes...
Page 354 - Russie est entraînée par la fatalité ; ses destins doivent s'accomplir. Nous croirait-elle donc dégénérés ? Ne serions-nous donc plus les soldats d'Austerlitz ? Elle nous place entre le déshonneur et la guerre : le choix ne saurait être douteux. Marchons donc en avant : passons le Niémen, portons la guerre sur son territoire. La seconde guerre de Pologne sera glorieuse aux armes françaises, comme la première.
Page 497 - Considérant que la liberté de la presse , établie et consacrée comme l'un des droits de la nation, a été constamment soumise à la censure arbitraire de sa police et qu'en même temps il s'est toujours servi de la presse pour remplir la France et l'Europe de faits...
Page 175 - Le peuple veut l'hérédité de la dignité impériale dans la descendance directe, naturelle, légitime et adoptive de Napoléon Bonaparte, et dans la descendance directe, naturelle et légitime de Joseph Bonaparte et de Louis Bonaparte, ainsi qu'il est réglé par le sénatus-consulte organique du 28 floréal an xii.
Page 168 - Des délits personnels commis par des membres de la famille impériale, par des titulaires des grandes dignités de l'empire, par des ministres, par le secrétaire d'état, par des grands officiers, par des sénateurs , par des conseillers d'état ; 2.°...
Page 84 - J'ai fait arrêter et juger le duc d'Enghien, parce que cela était nécessaire à la sûreté, à l'intérêt et à l'honneur du peuple français, lorsque le comte d'Artois entretenait, de son aveu, soixante assassins à Paris. Dans une semblable circonstance, j'agirais encore de même.
Page 389 - C'est à l'idéologie , à cette ténébreuse métaphysique, qui, en recherchant avec subtilité les causes premières , veut sur ses bases fonder la législation des peuples, au lieu d'approprier les lois à la connaissance du cœur humain et aux leçons de l'histoire, qu'il faut attribuer tous les malheurs qu'a éprouvés notre belle France. Ces erreurs devaient et ont effectivement amené le régime des hommes de sang.
Page 175 - Mandons et ordonnons à tous Huissiers sur ce requis, de mettre ledit jugement à exécution, à nos Commissaires auprès des Tribunaux, d'y tenir la main, et à tous Commandants et Officiers de la force publique, de prêter main-forte, lorsqu'ils en seront légalement requis. En foi de quoi, le présent jugement a été signé par le Président du tribunal et par le Greffier.
Page 497 - aucun « impôt, de n'établir aucune taxe qu'en vertu de la loi : de maintenir « l'institution de la Légion d'honneur ; de gouverner dans la seule vue de « l'intérêt, du bonheur et de la gloire du peuple français.