Revue canadienne, Volume 46Alphonse Leclaire Revue canadienne, 1904 |
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... presque religieuse . “ Avec ses tons de briques et de terre cuite , dit V. Fournel , son âpre et rustique vigueur , son harmonie sobre et sombre , cette concision presque sculpturale qui élimine tout détail su- perflu pour résumer les ...
... presque religieuse . “ Avec ses tons de briques et de terre cuite , dit V. Fournel , son âpre et rustique vigueur , son harmonie sobre et sombre , cette concision presque sculpturale qui élimine tout détail su- perflu pour résumer les ...
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... presque vaine toute tentative de concurrence , n'est - ce pas un des nôtres qui toute proportion gardée , est aujourd'hui le roi de la finace dans la grande métropole commerciale ? Soyons fiers de la position qu'il occupe , de l ...
... presque vaine toute tentative de concurrence , n'est - ce pas un des nôtres qui toute proportion gardée , est aujourd'hui le roi de la finace dans la grande métropole commerciale ? Soyons fiers de la position qu'il occupe , de l ...
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... presque jusqu'au pôle Nord ( 1 ) . " tence personnelle et son titre de conducteur d'un grand peuple , traite des conditions de la vie politique , sociale et économique de ses concitoyens . C'est un maître livre , dont les idées saines ...
... presque jusqu'au pôle Nord ( 1 ) . " tence personnelle et son titre de conducteur d'un grand peuple , traite des conditions de la vie politique , sociale et économique de ses concitoyens . C'est un maître livre , dont les idées saines ...
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... presque égal , du même auteur , M. Philippe - Aubert de Gaspé , dont le nom seul évoque toute une époque de vaillance et de loyauté . Québec et ses environs si pittoresques ont encore noble- ment inspiré un écrivain aussi élégant que ...
... presque égal , du même auteur , M. Philippe - Aubert de Gaspé , dont le nom seul évoque toute une époque de vaillance et de loyauté . Québec et ses environs si pittoresques ont encore noble- ment inspiré un écrivain aussi élégant que ...
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... presque agréablement les heures de chemin de fer . La reconnaissance m'oblige donc à en parler . J'en parle . A l'encontre de son précédent , ce livre aurait pu s'ap- FRANÇOIS COPPÉE peler : " Dans la lutte et dans la prière . " Quoi ...
... presque agréablement les heures de chemin de fer . La reconnaissance m'oblige donc à en parler . J'en parle . A l'encontre de son précédent , ce livre aurait pu s'ap- FRANÇOIS COPPÉE peler : " Dans la lutte et dans la prière . " Quoi ...
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Common terms and phrases
aime âme américain anglais arrive avaient Batiscan beau Berthe c'était Canada catholiques cause Chamberlain chambre Charles LeSieur chose chrétienne cœur Combes congrégations Constantinople cultivateurs d'Yamachiche Dandillac Demolins dernier devant Dieu dire docteur Syntaxe domestique donner écoles éducation Encycl enfants Etats-Unis famille femme française Gélinas gouvernement homme Irlandais j'ai Japon Jean-François Millet Jésus jeune Jolo jour l'abbé Brosseau l'agriculture l'école l'éducation l'Eglise l'enseignement l'histoire l'Irlande Lafond laisse Laure Conan Léon XIII Ligue Ligue de l'Enseignement livre Loisy maître ment ministre monde Montréal morale motu proprio national œuvre parler passé patrie pauvre pays pensée peuple Pie X poète politique premier public qu'un Québec question race raison religieux reste REVUE CANADIENNE rien Rome Russie s'est saint sang savants science sociale semble sentiment sera seulement siècle sieur société soir sorte surtout tante Margot terre teur Thomas Chapais Thomas Moore tion tique Trois-Rivières trouve voici voilà vrai Waldeck-Rousseau Yamachiche yeux
Popular passages
Page 464 - J'étais seul près des flots, par une nuit d'étoiles. Pas un nuage aux cieux, sur les mers pas de voiles. Mes yeux plongeaient plus loin que le monde réel. Et les bois, et les monts, et toute la nature, Semblaient interroger dans un confus murmure Les flots des mers, les feux du ciel. Et les étoiles d'or, légions infinies, A voix haute, à voix basse, avec mille harmonies, Disaient, en inclinant leurs couronnes de feu; Et les flots bleus, que rien ne gouverne et n'arrête, Disaient en recourbant...
Page 20 - Heureux celui qui porte en soi un dieu, un idéal de beauté et qui lui obéit : idéal de l'art, idéal de la science, idéal de la patrie, idéal des vertus de l'Evangile.
Page 581 - Car à regarder les hommes comme ils sont naturellement, et avant tout gouvernement établi, on ne trouve que l'anarchie, c'est-à-dire dans tous les hommes une liberté farouche et sauvage, où chacun peut tout prétendre et en même temps tout contester; où tous sont en garde, et par conséquent en guerre...
Page 600 - Le monde est aujourd'hui sans mystère; la conception rationnelle prétend tout éclairer et tout comprendre; elle s'efforce de donner de toutes choses une explication positive et logique, et elle étend son déterminisme fatal jusqu'au monde moral. Je ne sais si les déductions impératives de la raison scientifique réaliseront un jour cette prescience divine, qui a soulevé autrefois tant de discussions et que l'on n'a jamais réussi à concilier avec le sentiment non moins impérieux de la liberté...
Page 483 - Etant donc la race de Dieu , nous ne devons pas croire que la divinité soit semblable à de l'or, ou à de l'argent, ou à de la pierre taillée par l'art et l'industrie des hommes. Dieu donc , ayant laissé passer ces temps d'ignorance , annonce maintenant à tous les hommes , en tous lieux , qu'ils se convertissent...
Page 595 - Dans un tel effort pour faire revivre les hautes âmes du passé, une part de divination et de conjecture doit être permise. Une grande vie est un tout organique qui ne peut se rendre par la simple agglomération de petits faits. Il faut qu'un sentiment profond embrasse l'ensemble et en fasse l'unité. La raison d'art en pareil sujet est un bon guide; le tact exquis d'un Gœthe trouverait à s'y appliquer.
Page 581 - ... tour peut le devenir , selon que les passions feront conjurer ensemble plus ou moins de gens. Savoir si le genre humain a jamais été tout entier dans cet état, ou quels peuples y ont été et en quels endroits, ou comment et par quels degrés on en est sorti ; il faudrait, pour le décider, compter l'infini , et comprendre toutes les pensées qui peuvent monter dans le cœur de l'homme.
Page 158 - FAINTLY as tolls the evening chime, Our voices keep tune and our oars keep time. Soon as the woods on shore look dim, We'll sing at St. Ann's our parting hymn. Row, brothers, row, the stream runs fast, The Rapids are near and the daylight's past.
Page 589 - Echo pur et lointain de la lyre infinie, Transporte notre esprit dans l'idéalité. Or, ces sons plus touchants et cet écho sublime Qui sait de notre cœur le sanctuaire intime, C'est le ciel du pays, le village natal ; Le fleuve au bord duquel notre heureuse jeunesse Coula dans les transports d'une pure allégresse...
Page 146 - Drapeau de nos contradictions, tu seras le signe autour duquel se livrera la plus ardente bataille. Mille fois plus vivant, mille fois plus aimé depuis ta mort que durant les jours de ton passage icibas, tu deviendras à tel point la pierre angulaire de l'humanité qu'arracher ton nom de ce monde serait l'ébranler jusqu'aux fondements. Entre toi et Dieu, on ne distinguera plus. Pleinement vainqueur de la mort, prends possession de ton royaume, où te suivront, par la voie royale que tu as tracée,...