 J'étais seul près des flots, par une nuit d'étoiles. Pas un nuage aux cieux, sur les mers pas de voiles. Mes yeux plongeaient plus loin que le monde réel. Et les bois, et les monts, et toute la nature, Semblaient interroger dans un confus murmure...  Revue canadienne - Page 464edited by - 1904Full view - About this book
 | Victor Hugo - 1829 - 456 pages
...toute la nature, Semblaient interroger dans un confus murmure Les flots des mers , les feux du ciel. Et les étoiles d'or, légions infinies, A voix haute,...leur crête : — C'est le seigneur, le seigneur Dieu ! Novembre i828. LE POÈTE AU CALIFE. Tous les habitaus de la terre sont devant lui comme un néant;... | |
 | Victor Hugo - French poetry - 1832 - 342 pages
...toute la nature, Semblaient interroger dans un confus murmure Les flots des mers , les feux du ciel. Et les étoiles d'or, légions infinies, A voix haute,...leur crête : — C'est le seigneur, le seigneur Dieu ! Novembre 1828. XXXVIII. LE POÈTE AU CALIFE. Tons la habluns de la terre sont devant lui comme un... | |
 | Victor Hugo - 1832 - 242 pages
..., lésions infimes , A YOÎX haute , à voix basse . arec mille harmonies. Disaient , en înclinaut leurs couronnes de feu; Et les flots bleus , que rien...crête : — C'est le seigneur , le seigneur Dieu ! ORIENTALE XXXVIII. ait Tous les h al> i Un s de la terre sont devint lui comme un néant ; il fait... | |
 | Fleurs - 1834 - 264 pages
...toute la nature, Semblaient interroger dans un confus murmure Les flots des mers, les feux du ciel. Et les étoiles d'or, légions infinies, A voix haute,...crête : — -C'est le seigneur, le seigneur Dieu ! Comme elle court ! voyez : — par les poudreux sentiers. Par les gazons tout pleins de touffes d'églantiers,... | |
 | Victor Hugo - 1834 - 384 pages
...toute la nature, Semblaient interroger dans un confus murmure Les flots des mers, les feux du ciel. Et les étoiles d'or, légions infinies, A voix haute,...leur crête : — C'est le seigneur, le seigneur Dieu ! Novembre i8»8. LE POÈTE AU CALIFE. Tous les habitants de la terre sont devant lui comme un néant;... | |
 | Victor Hugo - 1842 - 944 pages
...toute la nature, Semblaient interroger dans un confus murmure les flots des mers, les feux du ciel. eine d'Espagne Ne doit pas regarder à la fenêtre....LA ni ni. . s'arrêtant et revenant sur ses pas. ! Novembre 1828. ORIENTALE TRENTE-HUITIÈME. LE POETE AU CALIFE. Tout le. habitant, de U terre sont... | |
 | Victor Hugo - 1843 - 830 pages
...toute la nature, Semblaient interroger dans un confus murmure Les flots des mers, les feux du ciel. Et les étoiles d'or, légions infinies. A voix haute,...de feu ; Et les flots bleus, que rien ne gouverne cl n'arrête. Disaient en recourbant l'écume de leur crête : — C'est le seigneur, le seigneur Dieu!... | |
 | Pauline Fouré-Löffler - French poetry - 1853 - 638 pages
...murmure Les flots des mers, les feux du ciel. Et les étoiles d'or, légions infinies, A voix haute, a voix basse, avec mille harmonies, Disaient, en inclinant...leur crête : — C'est le Seigneur, le Seigneur Dieu ! Victor Hu9o. Espoir en Dieu. Espère, enfant! demain! et puis demain encore! Et puis toujours demain... | |
 | Victor Hugo - 1853 - 556 pages
...à voix basse, avec mille Inrmonic;, en inclinant leurs couronnes de feu ; Et les flots bleus, mie rien ne gouverne et n'arrête. Disaient, en recourbant...leur crête : — C'est le Seigneur, le Seigneur Dieu ! Novembre 1828. XXXV11I LE POÈTE AU CALIFF Tous les habilitas île I > terre sont devant bu comme... | |
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