Histoire de la monarchie de juillet, Volume 5E. Plon, Nourrit et cie, 1889 - France |
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Page 95
... jugeait utile de séparer du gouvernement de l'État , afin de la soustraire aux vicissitudes de la politique et aux exigences des partis : c'était la garde , la tutelle et par suite l'éducation du jeune roi . Si graves que fussent ces ...
... jugeait utile de séparer du gouvernement de l'État , afin de la soustraire aux vicissitudes de la politique et aux exigences des partis : c'était la garde , la tutelle et par suite l'éducation du jeune roi . Si graves que fussent ces ...
Page 120
... jugeait un mal nécessaire , et il la laissait faire au - dessous de lui par son chef de cabinet , M. Génie , et à côté de lui par son collègue , M. Du- châtel . On racontait un peu plus tard , dans les salons de l'op- position , que l ...
... jugeait un mal nécessaire , et il la laissait faire au - dessous de lui par son chef de cabinet , M. Génie , et à côté de lui par son collègue , M. Du- châtel . On racontait un peu plus tard , dans les salons de l'op- position , que l ...
Page 152
... jugeait pas impos- sible d'amener à voter avec elle des conservateurs que , sur les autres questions , ses principes eussent effarouchés . Et puis , dans les débats de ce genre , n'avait - elle pas , sur ceux qu'elle attaquait , cet ...
... jugeait pas impos- sible d'amener à voter avec elle des conservateurs que , sur les autres questions , ses principes eussent effarouchés . Et puis , dans les débats de ce genre , n'avait - elle pas , sur ceux qu'elle attaquait , cet ...
Page 196
... jugeait pas encore le moment venu de faire aucune proposition , mais il s'attacha à faire comprendre comment les votes de la Chambre l'obligeaient à ouvrir prochainement une négociation pour la revision des conventions de 1831. De son ...
... jugeait pas encore le moment venu de faire aucune proposition , mais il s'attacha à faire comprendre comment les votes de la Chambre l'obligeaient à ouvrir prochainement une négociation pour la revision des conventions de 1831. De son ...
Page 207
... jugeait sévèrement , sur les autres personnages de cette tragique époque . Tantôt , revenant au temps présent , « < il parlait volontiers , rapporte son interlocuteur , de l'inflexible intégrité du duc de Broglie ; de la reine Marie ...
... jugeait sévèrement , sur les autres personnages de cette tragique époque . Tantôt , revenant au temps présent , « < il parlait volontiers , rapporte son interlocuteur , de l'inflexible intégrité du duc de Broglie ; de la reine Marie ...
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Common terms and phrases
Abd el-Kader adversaires affaires Afrique Algérie amis anglais Arabes avaient Barrot c'était cabinet catholiques Chambre des pairs Changarnier chef chose clergé colonne d'Abd d'Afrique d'Alger d'Oran d'Orléans déclarait députés devait disait-il discours discussion Documents inédits duc d'Aumale duc de Broglie Duvergier de Hauranne écrivait écrivait-il esprits étre eût évêques faisait fût général Bugeaud gouvernement gouverneur guerre Guizot hommes j'ai janvier Jarnac Jésuites jour Journal des Débats juillet l'adresse l'Algérie l'Angleterre l'armée l'émir l'entente cordiale l'état l'opinion l'opposition laisser Lamartine lettre liberté Londres lord Aberdeen lord Palmerston Louis-Philippe majorité maréchal Bugeaud maréchal Valée Maroc Mascara Médéa ment Metternich Miliana ministre monarchie Montalembert Moricière n'avait n'était négociation Odilon Barrot officiers paix parlementaire parler parole passé pays politique pouvait premier prince Pritchard projet puissances question régence reine Victoria religieuse reste rien s'était sentiment serait session seulement sir Robert Peel situation smala soldats sorte succès Taïti Thiers tion tribune trouver visite vote
Popular passages
Page 558 - La Chambre, se reposant sur le gouvernement du soin de faire exécuter les lois de l'État, passe à l'ordre du jour.
Page 55 - On dirait, à les entendre, que le génie des hommes politiques ne consiste qu'en une seule chose, à se poser là sur une situation que le hasard ou une révolution leur a faite, et à y rester immobiles, inertes, implacables...
Page 242 - Nous continuerons et nous arriverons au terme; et, quant aux injures, aux calomnies, aux colères extérieures, on peut les multiplier, les entasser tant qu'on voudra : on ne les élèvera jamais au-dessus de mon dédain!
Page 11 - ... avilissement et de nos malheurs, et vous n'auriez pas besoin de crier maintenant que vos intentions étaient pures, et de nous montrer que l'habit de votre adversaire est encore plus souillé que le vôtre « Oui, vous êtes tous complices ! le principal coupable. oh! nous savons bien qui il est, où il est ; la France le sait bien aussi, et la postérité le dira!
Page 576 - Le régime de l'université n'admettait pas ce droit primitif et inviolable des familles. Il n'admettait pas non plus, du moins à un degré suffisant, un autre ordre de droits, et je me sers à dessein de ce mot, les droits des croyances religieuses. Napoléon a...
Page 5 - Messieurs, que, parce que nous sommes fatigués des grands mouvements qui ont remué le siècle et nous, tout le monde est fatigué comme nous et craint le moindre mouvement. Les générations qui grandissent derrière nous ne sont pas lasses, elles; elles veulent agir et se fatiguer à leur tour : quelle action leur avez-vous donnée ? La France est une nation qui s'ennuie ? (Bravos à gauche.) Et prenez-y garde, l'ennui des peuples devient aisément convulsion et ruines.
Page 576 - ... il y en a qui sont, je ne veux pas dire supérieurs aux siens, mais antérieurs, et qui coexistent avec les siens. Les premiers sont les droits des familles; les enfants appartiennent aux familles avant d'appartenir à l'Etat.
Page 424 - Cessez, dit-il, de parler des ambitions personnelles qui vous attaquent, et dont vous ne pouvez prendre ici l'idée que dans vos propres souvenirs. « Si vous pouviez juger du fond des cœurs autrement que par le vôtre, vous sauriez mieux les intentions qui m'animent et les motifs qui m'ont décidé à signaler au pays les embarras que vous lui avez donnés. Vous m'avez jeté une sorte de défi ; vous avez cru que je ne vous dirais pas ce que je pensais de votre politique. Eh bien ! je vous l'ai...
Page 233 - Le roi, en montant au trône, a promis de nous consacrer son existence tout entière, de ne rien faire que pour la gloire et le bonheur de la France ; la France lui a promis fidélité. Le roi a tenu ses serments. Quel Français pourrait oublier ou trahir les siens?