Du Clerge de France en 1825Charles Gosselin, 1825 - 120 pages |
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anachorètes apostolique et romaine archevêques articles organiques assez assuré avaient Bossuet Bourdaloue charité CHARLES GOSSELIN choses chrétiens civile classe Clergé actuel Concordat de 1801 Congrégation consé Conseil d'État Conseils-généraux de départemens corps du Clergé culte curés déclaration déja dernier sacrifice Dieu diocèses divin doctrine doute ecclésias ecclésiastiques en Sorbonne enfans enfin évangélique évêques exercices familles fidèles gouvernement grief habitans hautes études ecclésiastiques hommes humaines intérêts j'ai Jésuites jours juger justice l'ancien Clergé l'Église gallicane l'enseignement l'instruction législation légitime libertés de l'Église loi fondamentale lois de l'État long-temps lumières maximes membres ment MEURTHE ministres missions morale nement ordre Ordre de Jésuites Pape pensée persécution peuples Pie VII piété pieux politique Pontife préceptes Prélat prêtres publique puissance temporelle qu'une raison rale reli religion catholique respect rétablissement de hautes saint Saint-Siége science serait seul sincères société spirituelle succès supposition temples tence tés théophilantropes tion tiques treux ultramontaines vénérable vérité vertus Voilà
Popular passages
Page 21 - Les fondations qui ont pour objet l'entretien des ministres et l'exercice du culte ne pourront consister qu'en rentes constituées sur l'Etat. Elles seront acceptées par l'évêque diocésain, et ne pourront être exécutées qu'avec l'autorisation du gouvernement.
Page 21 - Les projets de règlements rédigés par les évêques ne pourront être publiés , ni autrement mis à exécution , qu'après avoir été approuvés par le gouvernement.
Page 69 - Et quand je distribuerais toutes mes richesses pour nourrir les pauvres, et que je livrerais mon corps pour être brûlé, si je n'ai point la charité, tout cela ne me sert de rien.
Page 66 - Deux hommes montèrent au temple pour prier; l'un était pharisien et l'autre publicain. Le pharisien , se tenant debout , priait ainsi en luimême : Mon Dieu , je vous rends grâces de ce que je ne suis pas comme le reste des hommes , qui sont voleurs , injustes , adultères , ni même tel que ce publicain.
Page 13 - ... réunissant les prêtres des différentes opinions ; que la paix ne se consolidera que lorsque les ministres du culte catholique auront une existence honnête et assurée ; qu'il faut accorder aux prêtres un salaire qui les mette au-dessus du besoin, et, enfin...
Page 12 - Français tient au culte catholique ; que dans certains départements les habitants tiennent à ce culte presque autant qu'à la vie ; — qu'il importe de faire cesser les dissensions religieuses; — que les habitants des campagnes aiment leur religion; » — qu'ils regrettent les jours de repos consacrés par elle; — qu'ils regrettent ces jours où ils adoraient Dieu en commun; — que les temples étaient pour eux des lieux de rassemblement où les affaires, le besoin de se voir, de s'aimer,...
Page 14 - Paris ; ils igno« rent que le reste de la population le désire et en a besoin. Je puis « assurer que l'attente de l'organisation religieuse a fait beaucoup de « bien à mon département , et que depuis ce moment nous sommes « tranquilles à cet égard. » Le préfet de Jemmapes assurait « que tous les bons citoyens , les « respectables pères de famille , soupirent après cette organisation , « et que la paix rendue aux consciences sera le sceau de la paix « générale que le gouvernement...
Page 70 - La charité est patiente, elle est douce et bienfaisante. La charité n'est point envieuse, elle n'est point téméraire et précipitée. Elle ne s'enfle point d'orgueil. Elle n'est point dédaigneuse. Elle ne cherche point ses propres intérêts. Elle ne se pique et ne s'aigrit de rien. Elle n'a point de mauvais soupçons.
Page 20 - Les pensions dont ils jouissent en exécution des lois de l'Assemblée constituante seront précomptées sur leur traitement. Les conseils généraux des grandes communes pourront, sur leurs biens ruraux ou sur leurs octrois, leur accorder une augmentation de traitement, si les circonstances l'exigent.