! - ulsérieurement en bonne et due forme? Nég. 434. — L'administration DROIT d'enregistrement. Lorsqu'une créance mobilière est rcmise à ti- DROIT de plaider. Un tribunal de première instance est-il compétent DROIT de transcription. Voy: Cession de droits successifs. DROIT proportionnel de cautionnement. Lorsque dans un acte de vente EAUX courantes. Les contestations élevées entre deux propriétaires ri- EBOULEMENT de terre. Le propriétaire du fonds supérieur peut-il être EGOUT. La servitude d'égout empêche-t-elle le propriétaire du fonds ELECTEUR municipal. Voy. Tierce opposition. EMPHYTEOSE. Le preneur emphyteolique a-t-il le droit pendant la durée ENDOSSEMENT. Un eudossement causé valeur en compte est-il immédiate- ENFANT naturel. Le droit de l'enfant naturel reconnu sur la succession ENQUÊTE. La faculté donnée à un tribunal par l'art. 254 du C. de proc. ENQUÊTE consulaire. Les témoins entendus dans une enquête consulaire ETAT de siège. Les art. 53 et 54 de la Charte constitutionnelle de 1850, ETRANGER. En matière de commerce, l'autorisation royale, exigée --- avaries relatives à ces marchandises? Aff. 33. EVASION de détenus pour dettes. Le créancier qui n'a recommandé son été déposé pour cause de maladie est-il fonde a reclamer contre le chef de cette maison, sous prétexte de négligence dont il serait responsable, le remboursement de sa créance? Nég.-L'offre par ce créancier de le sub- roger dans tous ses droits est-elle admissible? Nég. 123. Lorsqu'un détenu pour dettes s'est évadé par l'effet de circonstances extraordinaires, et qu'ensuite il est arrêté de nouveau à la requête d'autres créanciers, ceux- ci ne peuvent-ils pas être considérés comme des recommandants? Par suite, leur consentement n'est-il pas nécessaire pour que les premiers in- carcérateurs ou recommandants puissent retirer les aliments qu'ils avaient EXPERTS. En cas de partage de succession les experts nommés, confor mément à l'article 824 di C. civ., doivent-ils se borner seulement à es- timer les biens, à déclarer s'ils peuvent être commodément partagés, et à indiquer les lots qui pourraient être faits, ou s'il doit y avoir lieu à li- citation? Aff. Le procès-verbal par lequel les experts forment eux- mêmes les lots et les attribuent à tel ou tel héritier est-il nul? Aff. 416., EXPROPRIATION forcée. L'expropriation forcée des biens du mari suffit- elle pour purger ses immeubles de l'hypothèque légale de la femme ? FACULTÉ d'étire. Par suite des dispositions du code civil, le père a-t-il repris la faculté d'élire qu'il s'était réservée dans un acte antérieur à la loi du 7 mars 1793, et dont cette loi l'avait dépouillé? Aff. 541. FAILLI. L'exception résultant de ce qu'un commerçant en état de fail- lite ne peut ester en jugement, et par conséquent appeler d'un juge- FAILLITE. Les dépenses de l'administration d'une faillite sont-elles FAUSSE destination. Voy. Commissionnaire. FAUX incident. Les moyens de faux sont-ils suffisainment articulés par acte qui la constate, dénie la signature qui lui est attribuée, et ajoute qu'une personne étrangère s'est présentée sous son nom? Aff. 57.— La déclaration que l'on entend faire usage d'une pièce arguée de faux peutelle être faite par le cessionnaire des droits résultant de cet acte? Aff. 431. FEMME commune. La femme mariée sous le régime de la communauté est-elle recevable à revendiquer ses propres compris dans une saisie immobilière pratiquée sur son mari, sans s'être préalablement fait séparer de biens? Aff. 63. FORÇAT. Le prévenu qui était encore forçat au moment où il a commis un délit, mais contre lequel les poursuites n'ont été commencées qu'après sa libération, est-il justiciable des tribunaux ordinaires, et non des tribunaux maritimes? Aff. 224. FRET à faire. Voy. Assurances maritimes. FRIPIERS. Les ordonnances du lieutenant-général de police de Paris des 4 novembre 1778 et 8 novembre 1780, relatives aux fripiers et brocanteurs, sont-elles obligatoires hors du ressort de l'ancien Châtelet de Paris? Nég. 375. GAGE. Le privilége du créancier sur les objets mobiliers dont il est détenteur à titre de gage a-t-il pour effet de les soustraire à la saisie des autres créanciers du débiteur, tant qu'au préalable il n'a pas été payé de l'intégralité de sa créance? Aff. Le créancier détenteur du gage est-il suffisamment désintéressé par l'exercice de son privilége sur les deniers à provenir de la vente des objets engagés? Nég. 135. — Les sommes avancées par une maison de commerce à un négociant pour diverses expéditions de long cours lui donnent-elles, en cas de faillite de ce dernier, un droit de gage sur la cargaison du navire dernièrement expédié, pour être payé par privilége de tout ce qui lui est dû pour des expéditions antérieures? Nég.- Spécialement, chaque expé dition forme-t-elle une classe distincte de dettes, et la cargaison est-elle le gage de la dernière opération seulement, de sorte que prêteur de fonds, ou le consignataire qui le représente, ne puisse plus, après offre à lui faite par le syndic de lui payer cette somme, se dispenser de lui en faire la délivrance? Aff.- Le refus du consignataire le rendil passible des dommages-intérêts envers le syndic de la faillite? Aff.140. GARANTIE. Voy. Vente. le GARDE nationale, Les sous-officiers qui ne tiennent pas leur grade de l'élection peuvent-ils régulièrement faire partie d'un conseil de discipline de la garde nationale? Nég.-Un adjudant sous-officier, dont le grade est à la nomination des chefs de corps, peut-il régulièrement faire partie d'un conseil de discipline de la garde nationale? Nég.— Les fonctions de conseiller municipal sont-elles incompatibles avec le service de la garde nationale? Neg.-En conséquence, des officiers et gardes nationaus peuvent-ils faire partie des conseils de discipline, quoique membres du conseil municipal. Aff. 171.—Les officiers en congé illimité doivent-ils être appelés au service de la garde nationale? Nég. 238. GARDE nationale (désarmement). Les gardes nationaux qui refusent, ́après dissolution de la garde nationale, de restituer les armes qui leur ont été confiées par l'état, quoique sommés individuellement, sont-ils passibles des peines portées en l'art. 408 du C. pén. pour violation de dépôt? Aff.-L'offre par eux faite de les représenter, et la déclaration qu'ils n'entendent point se les approprier, ôtent-elles à ce détournement de caractère de délit? Impl. nég. 420. GARDE nationale ( insubordination). Voy. Coups. HAIE mitoyenne. Voy. Possession annale. HÉRITIER. Voy. Preuve testimoniale. HÉRITIER absent. L'héritier qui, à l'ouverture d'une succession, était absent, est-il tenu de faire, inventaire, et à défaut, doit-on, sur la demande des représentants de son cohéritier, ordonner qu'il y sera procédé par commune renommée lorsque celui qu'ils représentent ne l'a point exigé? Nég. Ces représentants sont-ils recevables à lui déférer le serment décisoire sur la reddition du compte de sa gestion des biens jouis en commun avec son cohéritier, lorsque le gérant est porteur d'une déclaration de ce dernier, constatant qu'il a reçu sa part dans les fruits =perçus pendant l'indivision? Nég. 393. 1 HÉRITIER apparent. La vente consentie par l'héritier apparent peutelle être attaquée par l'héritier véritable, quand la prescription n'est pas accomplie au profit du tiers acquéreur? Aff. 185. HÉRITIER bénéficiaire. L'héritier représente-t-il les créanciers du défunt de telle sorte que ceux-ci ne peuvent former tierce-opposition aux jugements rendus avec lui? Aff. 412. Voy. Mineur. HOMICIDE involontaire. L'homicide involontaire n'est-il un délit que lorsqu'il a été commis on causé par maladresse, imprudence, inattention, négligence ou inobservation des règlements? Aff. 531. HUISSIER. Un huissier peut-il se refuser à signifier la citation en conciliation qui n'a pas été rédigée par lui? L'émotument de la copie des pièces transcrites en tête de cet acte lui appartient-il exclusivement, lors même qu'elle aurait été faite par un avoue? Aff. 20. HYPOTHEQUE judiciaire. L'hypothèque judiciaire résulte-t-elle d'un jugement qui ne renferme que le germe d'une condamnation conditionnelle pour son existence et indéterminée pour sa valeur? Aff. Particulièrement, le jugement qui, sur les conclusions du demandeur, et pour établir clairement ses prétentions, combattues par voie de simple débouté, ordonne un décompte, engendre-t-il au profit de celui qui l'a obtenu une hypothèque judiciaire? Aff. 181. HYPOTHÈQUE légale de la femme. Voy. Expropriation forcée. IMMEUBLES dotaux. Avant la promulgation du code civil, la femme qui vendait comme libres et paraphernaux sés immeubles dotaux était-elle tenue de faire valoir cette vente, si non de payer des dommages-intérêts? Aff.Cette obligation, comme toute autre qu'elle aurait contractée, devait elle produire effet, et l'exécution pouvait-elle en être poursuivie sur les biens libres de cette femme? Aff. 478. IMMEUBLES par destination. La destination qui donne à des objets mobiliers le caractère d'immeubles ne peut-elle résulter que de faits et de circonstances déterminés par la loi, et non s'établir ou cesser par de simples déclarations, soit orales, soit écrites, du propriétaire ? Aff. Pour acquérir ce caractère d'immeubles par destination, suffit-il que des objets mobiliers soient employés à l'exploitation d'une usine et nécessaires à son activité? Aff. 17. IMPRIMEUR. L'imprimeur d'un écrit publié sans déclaration ni dépôt |