La Chronique de Champagne, publ. sous la direction de H. Fleury et L. Paris, Volume 4H Fleury 1838 |
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Common terms and phrases
Aguirre assez Auzoux avez avoit baillé Balthazar beau belle Berchaire bois Buenos-Ayres c'était cabildo cardinal de Lorraine chant Charles Charles le Chauve charte château chevalier chose Chronique de Champagne citoyen cœur comtes de Champagne comtesse conservé d'Epernay d'Hautvillers Damery damoisel devant Dieu docteur don Geronimo dudit Echevins église Epernay époque étoit évêque Faculté femme Flodoard Geronimo Géruzez gloire gouverneur Grandpré Henri Hippone hommes jeune jour l'abbaye l'an l'archevêque l'église l'histoire ladite laissé ledit Sacre lettres Linguet Longueau Louis main maire maison Mardeuil Maria Luyz Marne médaille médecin Menot ment Mézières ministre monastère monnaie Monsieur Montier-en-Der mort Mouzon noble Otinensis Pagus Pappua parisis passer pensée père Las Piedras personnes pièces pieds Pierre place porte premier présent Provins qu'un Reims reine Rémois Réole reste rien rire romaine Rozoy Rumigny Sacre du Roy saint Nivard Saint-Souplet seigneur serait seul siècle sieur sire suivant tableau talent tête tion trouve Vauciennes
Popular passages
Page 390 - Les femmes qui fréquentaient l'hôtel de Rambouillet prirent le nom de précieuses : c'était un titre d'honneur, et comme un diplôme de bel esprit et de pureté morale. Les précieuses se divisaient, suivant l'âge, en jeunes et anciennes ; le nom de vieilles aurait été trop dur pour leur délicatesse; et, dans l'ordre moral, elles se classaient en galantes ou spirituelles, selon leur vocation pour les délicatesses du sentiment ou les finesses de l'esprit. Les principaux articles de leur code...
Page 392 - Modeste en ma couleur, modeste en mon séjour, Franche d'ambition, je me cache sous l'herbe ; Mais si, sur votre front, je puis me voir un jour, La plus humble des fleurs sera la plus superbe.
Page 394 - ... grand poids dans le monde sur la conduite et sur la réputation des personnes de la cour et du grand monde, autant pour le moins que sur les ouvrages qui s'y portaient à l'examen.
Page 317 - Le sang-froid et le comique avec lequel il prononça ces paroles fit un tel effet sur cette dame affligée, qu'elle sortit en éclatant de rire; tout le monde la suivit en riant, et la malade, ayant . su de quoi il était question se mit à rire plus fort que les autres.
Page 409 - Je t'assure que le meilleur de tes amis n'a plus à » compter sur quinze jours de vie. Voilà deux mois que je ne sors point, » si ce n'est pour aller un peu à l'Académie, afin que cela m'amuse. Hier, » comme j'en revenais, il me prit au milieu de la rue une si grande faiblesse, « que je crus véritablement mourir.
Page 409 - Chantre ~ une si grande faiblesse que je crus véritablement mourir. 0 mon cher ! mourir n'est rien ; mais songes-tu que je vais comparaître devant Dieu ? Tu sais comme j'ai vécu. Avant que tu reçoives ce billet, les portes de l'Éternité seront peut-être ouvertes pour moi.
Page 39 - Je suis né sans fortune, disait-il, et suis loin d'en » rougir. Fils d'un homme estimé, persécuté, que j'ai » eu le malheur de perdre dans le plus bas âge, il ne » m'a guère laissé que son nom et sa destinée.
Page 408 - II n'est cité que je préfère à Reims : C'est l'ornement et l'honneur de la France; Car, sans compter l'ampoule (•-) et les bons vins, Charmants objets y sont en abondance.
Page 409 - Tu te trompes assurément, mon cher ami, s'il est bien vrai, comme M. de Soissons me l'a dit, que tu me croies plus malade d'esprit que de corps. Il me l'a dit pour tâcher de m'inspirer du courage, mais ce n'est pas de quoi je manque. Je t'assure que le meilleur de tes amis n'a plus à compter sur quinze jours de vie. Voilà deux mois que je ne sors point, si ce n'est pour aller un peu à l'Académie, afin que cela m'amuse. Hier, comme j'en revenais. i7 me prit, au milieu de la rue du Chantre, une...
Page 388 - Bayle appelait un véritable palais d'honneur, ne pouvait pas manquer d'exercer une grande influence. Les circonstances extérieures en favorisèrent l'accroissement. La sévère économie du roi et de son ministre Sully, et, plus tard, l'indifférence littéraire de Louis...