Histoire de la constitution civile du clergé, 1790-1801, Volume 3Librairie de Firmin-Didot Frères, Fils et Cie., 1881 |
Contents
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Common terms and phrases
10 août accusation administrateurs apostasies arrêté assassins assignats autorités avaient brumaire catholiques citoyens clergé clergé constitutionnel comité de salut commissaires commission des douze commune condamnés conscience conspirateurs constitution civile convention convention nationale crime curé constitutionnel curé intrus Danton Débats et décrets déclare demande dénoncés département députés détenus devant directoire district Dumouriez ecclésiastiques églises égorger égorgeurs émigrés envoyés évêques fanatisme Fauchet garde nationale girondins Gobel Guadet guillotine hommes intrus jacobins jours l'abbé l'assemblée l'église constitutionnelle l'évêque laisser législative liberté religieuse lois Louis XVI mariage des prêtres massacres massacres de septembre ment messe ministre modérés non-conformistes odieux officiers municipaux paroisses patriotes persécution pétition peuple prétexte prêtres réfractaires prêtrophobes prison prisonniers proclamation proconsul proscription protestants raison réclama refus religion république reste révolution Robespierre Roland s'était Saint-Just salut public schisme séance section septembre sera seront seulement suspects Terreur terroristes tion tribunal révolutionnaire tribunes troubles Vergniaud veto vicaire violents vote voulaient
Popular passages
Page 620 - Si le ressort du gouvernement populaire dans la paix est la vertu , le ressort du gouvernement populaire en révolution est à la fois la vertu et la terreur : la vertu , sans laquelle la terreur est funeste ; la terreur , sans laquelle la vertu est impuissante.
Page 247 - Prévenue que des hordes barbares s'avancent contre elle, la Commune de Paris se hâte d'informer ses frères de tous les départements qu'une partie des conspirateurs féroces détenus dans les prisons a été mise à mort par le...
Page 382 - Je jure d'être fidèle à la nation, cl de maintenir la liberté et l'égalité, ou de mourir en les défendant (I 4 août 1792).
Page 472 - ... ceux des ci-devant nobles, ensemble les maris, femmes, pères, mères, fils ou filles, frères ou sœurs et agents d'émigrés, qui n'ont pas constamment manifesté leur attachement à la Révolution; 6°...
Page 234 - Nous demandons que quiconque refusera de servir de sa personne ou de remettre ses armes soit puni de mort.... Le tocsin qu'on va sonner n'est point un signal d'alarme : c'est la charge sur les ennemis de la Patrie.
Page 609 - Vos maîtres vous disent que la nation française a proscrit toutes les religions, qu'elle a substitué le culte de quelques hommes à celui de la Divinité; ils nous peignent à vos yeux comme un peuple idolâtre ou insensé. Ils mentent : le peuple français et ses représentants respectent la liberté de tous les cultes, et n'en proscrivent aucun. Ils honorent la vertu des martyrs de l'humanité sans engouement et sans idolâtrie ; ils abhorrent l'intolérance et la persécution, de quelque prétexte...
Page 43 - Je jure de veiller avec soin sur les fidèles de la paroisse qui m'est confiée, d'être fidèle à la nation, à la loi et au roi, et de maintenir de tout mon pouvoir la constitution décrétée par l'Assemblée Nationale et acceptée par le roi.
Page 217 - Tous les ecclésiastiques qui, étant assujétis au serment prescrit par la loi du 26 décembre 1790, et celle du 17 avril 1791, ne l'ont pas prêté, ou qui, après l'avoir prêté, l'ont rétracté et ont persisté dans leur rétractation, seront tenus de sortir, sous huit jours, hors des limites du district et du...
Page 647 - ... l'homme qu'une force aveugle préside à ses destinées et frappe au hasard le crime et la vertu, que son âme n'est qu'un souffle léger qui s'éteint aux portes du tombeau? L'idée de son néant lui inspirera-t-elle des sentiments plus purs et plus élevés que celle de son immortalité?
Page 648 - Ses coryphées déclamaient quelquefois contre le despotisme et ils étaient pensionnés par les despotes ; ils faisaient tantôt des livres contre la cour, et tantôt des dédicaces aux rois, des discours pour les courtisans et des madrigaux pour les courtisanes; ils étaient fiers dans leurs écrits et rampants dans les antichambres.