Histoire politique, anecdotique et populaire de Napoléon III: empereur des franca̧is et de la dynastie napoléonienne, Volume 4Dufour, Mulat et Boulanger, 1853 |
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... d'État qui lui exprimait des inquiétudes analogues , vous devriez bien savoir que la France ne peut rien redouter : elle a trente coupes de générations en réserve depuis trente ans , c'est là une armée qui défie toutes les armées de l ...
... d'État qui lui exprimait des inquiétudes analogues , vous devriez bien savoir que la France ne peut rien redouter : elle a trente coupes de générations en réserve depuis trente ans , c'est là une armée qui défie toutes les armées de l ...
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... d'État déclinèrent la responsabilité solennelle , que leur offrait le président de la République avec tant de patriotisme et de désintéressement : ils se bornèrent à conseiller au prince de com- poser un nouveau cabinet avec des ...
... d'État déclinèrent la responsabilité solennelle , que leur offrait le président de la République avec tant de patriotisme et de désintéressement : ils se bornèrent à conseiller au prince de com- poser un nouveau cabinet avec des ...
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... d'État plus ou moins rapproché ; il avait déclaré avec noblesse , qu'il serait d'accord avec la majorité dans toutes les questions qui intéresseraient l'honneur et la prospérité de la France . Ces représentants , qui avaient en mains ...
... d'État plus ou moins rapproché ; il avait déclaré avec noblesse , qu'il serait d'accord avec la majorité dans toutes les questions qui intéresseraient l'honneur et la prospérité de la France . Ces représentants , qui avaient en mains ...
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... de l'État , qui avait déjà tout l'éclat , tout le prestige , toute l'autorité d'un souverain légitime . Quand il s'était levé pour parler , l'auditoire , se levant aussi spontanément , avait voulu rester debout pendant qu'il parlait ...
... de l'État , qui avait déjà tout l'éclat , tout le prestige , toute l'autorité d'un souverain légitime . Quand il s'était levé pour parler , l'auditoire , se levant aussi spontanément , avait voulu rester debout pendant qu'il parlait ...
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... état , mais , en voyant sa compagnie s'éloi- gner , il retrouva des forces pour la rejoindre , tout pâle et encore tout ému : il voulut se remettre dans les rangs et reprendre son fusil . ―― Il fallait rentrer au quartier , lui dit le ...
... état , mais , en voyant sa compagnie s'éloi- gner , il retrouva des forces pour la rejoindre , tout pâle et encore tout ému : il voulut se remettre dans les rangs et reprendre son fusil . ―― Il fallait rentrer au quartier , lui dit le ...
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Histoire politique, anecdotique et populaire de Napoléon III ..., Volume 4 P. L. Jacob No preview available - 1853 |
Common terms and phrases
Achille Fould adressa avaient banquet Baroche Baze blique c'était Cavaignac CHAP coalition commandement Commission de permanence complot comte de Chambord Conseil conspirateurs Constitution coup d'État cri de Vive cris décret démagogie devait dévouement discours dit-il Dix décembre Dupin garde nationale général Cavaignac général Changarnier général en chef général Magnan Gouvernement guerre heures hommes jour journaux l'Élysée l'ordre législatif légitimistes Léon Faucher loi électorale Louis-Napoléon Lyon maire majorité membres menaces ment Message Messieurs militaire ministre de l'intérieur monarchie n'avait n'était neveu de l'Empereur Odilon Barrot officiers orléanistes palais de l'Élysée parlementaire paroles passer pays peuple politique population pouvait Pouvoir exécutif préfet de police président de l'Assemblée prince projet de loi questeurs répondit représentants Répu républicains Révision revue s'était Satory séance semblait sentiments serait seul sion Société du Dix sociétés secrètes soldats sorte suffrage universel sympathie Thiers tion toast tribune troupes Vive la République Vive Napoléon voix vote
Popular passages
Page 356 - Un corps législatif discutant et votant les lois, nommé par le suffrage universel, sans scrutin de liste qui fausse l'élection ; » 5° Une seconde Assemblée formée de toutes les illustrations du pays, pouvoir pondérateur, gardien du pacte fondamental et des libertés publiques.
Page 167 - Le but le plus noble et le plus digne d'une âme élevée n'est point de rechercher, quand on est au pouvoir, par quels expédients on s'y perpétuera, mais de veiller sans cesse aux moyens de consolider, à l'avantage de tous, les principes d'autorité et de morale, qui défient les passions des hommes et l'instabilité des lois.
Page 352 - L'Assemblée nationale est dissoute. ART. 2. Le suffrage universel est rétabli. La loi du 31 mai est abrogée. ART. 3. Le peuple français est convoqué dans ses comices, à partir du 14 décembre jusqu'au 21 décembre suivant.
Page 355 - La constitution, vous le savez, avait été faite dans le but d'affaiblir d'avance le pouvoir que vous alliez me confier. Six millions de suffrages furent une éclatante protestation contre elle, et cependant je l'ai fidèlement observée. Les provocations, les calomnies, les outrages m'ont trouvé impassible. Mais aujourd'hui que le pacte fondamental n'est plus respecté de ceux-là...
Page 353 - Soyez fiers de votre mission ; vous sauverez la patrie, car je compte sur vous, non pour violer les lois, mais pour faire respecter la première loi du pays : la souveraineté nationale, dont je suis le légitime représentant. " Depuis longtemps vous souffriez comme moi des obstacles qui s'opposaient et au bien que je voulais faire et aux démonstrations de vos sympathies en ma faveur.
Page 166 - Si, dans cette session, vous votez la révision de la Constitution, une Constituante viendra refaire nos lois fondamentales et régler le sort du pouvoir exécutif. Si vous ne la votez pas, le peuple en 1852 manifestera solennellement l'expression de sa volonté nouvelle.
Page 244 - Depuis que je suis au pouvoir, j'ai prouvé combien, en présence des grands intérêts de la société, je faisais abstraction de ce qui me touche. Les attaques les plus injustes et les plus violentes n'ont pu me faire sortir de mon calme. Quels que soient les devoirs que le pays m'impose, il me trouvera décidé à suivre sa volonté.
Page 354 - La situation actuelle ne peut durer plus longtemps. Chaque jour qui s'écoule aggrave les dangers du pays. L'Assemblée, qui devait être le plus ferme appui de l'ordre, est devenue un foyer de complots. Le patriotisme de trois cents de ses membres n'a pu arrêter ses fatales tendances. Au...
Page 243 - Depuis trois ans, on a •pu remarquer que j'ai toujours été secondé par l'Assemblée quand il s'est agi de combattre le désordre par des mesures de compression. Mais lorsque j'ai voulu faire le bien, améliorer le sort des populations, elle m'a refusé ce concours.
Page 218 - L'administration continuera donc comme par le passé. Les préventions se dissiperont au souvenir des déclarations solennelles du Message du 12 novembre. La majorité réelle se reconstituera; l'harmonie sera rétablie sans que les deux Pouvoirs aient rien sacrifié de la dignité qui fait leur force.