Histoire politique, anecdotique et populaire de Napoléon III: empereur des franca̧is et de la dynastie napoléonienne, Volume 4Dufour, Mulat et Boulanger, 1853 |
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... n'avait pas hésité à accepter la médiation de la France ; l'empereur de Russie , toujours si hostile envers la dynastie d'Orléans , s'était empressé , pour ainsi dire , de faire la paix avec la France par l'intermédiaire de Louis ...
... n'avait pas hésité à accepter la médiation de la France ; l'empereur de Russie , toujours si hostile envers la dynastie d'Orléans , s'était empressé , pour ainsi dire , de faire la paix avec la France par l'intermédiaire de Louis ...
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... n'avait plus la force de porter . Ce fut M. Baroche qui lui succéda . M. Baroche , procureur - général de la République et l'un des vice - présidents de l'Assemblée , s'était désigné lui - même au choix du Pouvoir exécutif , par l ...
... n'avait plus la force de porter . Ce fut M. Baroche qui lui succéda . M. Baroche , procureur - général de la République et l'un des vice - présidents de l'Assemblée , s'était désigné lui - même au choix du Pouvoir exécutif , par l ...
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... n'avait voté qu'avec beaucoup d'hésitation une excellente loi sur les logements insalubres , et elle avait autant que possible restreint les prescriptions de cette loi , dans la crainte de paraître tyranniser les propriétaires , au ...
... n'avait voté qu'avec beaucoup d'hésitation une excellente loi sur les logements insalubres , et elle avait autant que possible restreint les prescriptions de cette loi , dans la crainte de paraître tyranniser les propriétaires , au ...
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... n'avait pas même l'air d'entendre les outrages , que lui adressaient des misé- rables à moitié ivres , et il causait tranquillement avec le général d'Hautpoul , que la colère empêchait , par moments , d'écouter et de répondre . Les ...
... n'avait pas même l'air d'entendre les outrages , que lui adressaient des misé- rables à moitié ivres , et il causait tranquillement avec le général d'Hautpoul , que la colère empêchait , par moments , d'écouter et de répondre . Les ...
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... n'avait pas d'armes cette fois , l'indignation passa dans son regard . - L'amnistie ! nous voulons l'amnistie ! criaient les prétendus délégués du peuple , qui n'étaient que des agents de sociétés secrètes . - Vous vous y prenez mal ...
... n'avait pas d'armes cette fois , l'indignation passa dans son regard . - L'amnistie ! nous voulons l'amnistie ! criaient les prétendus délégués du peuple , qui n'étaient que des agents de sociétés secrètes . - Vous vous y prenez mal ...
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Histoire politique, anecdotique et populaire de Napoléon III ..., Volume 4 P. L. Jacob No preview available - 1853 |
Common terms and phrases
actes adressa appel armes arriva aurait avaient avant c'était cause cent chef commandement Commission complot compter Conseil conspirateurs coup cours cris d'État décembre déclara décret demande départements dernier devait dévouement dire disait discours dit-il donner faisait force garde général Changarnier Gouvernement guerre haute heures hommes j'ai jour journaux juger l'armée l'Assemblée l'autre l'avait l'Élysée l'Empereur l'ordre laisser légitimistes lieu Louis-Napoléon main maire majorité membres menaces ment mesures mettre militaire ministre n'avait n'était Napoléon nationale nouveau nouvelle officiers ordres orléanistes parlementaire paroles passer pays pendant pensée permanence peuple place police porte pouvait Pouvoir exécutif préfet premier présent président prêt prince projet proposition public publique qu'un question répondit représentants République reste Révision revue rien s'était séance secrètes semblait sentiments serait seul Socialisme société soldats sorte suffrage suivant tenir Thiers tion troupes trouva venait véritable Vive voix vote voulait voyait yeux
Popular passages
Page 356 - Un corps législatif discutant et votant les lois, nommé par le suffrage universel, sans scrutin de liste qui fausse l'élection ; » 5° Une seconde Assemblée formée de toutes les illustrations du pays, pouvoir pondérateur, gardien du pacte fondamental et des libertés publiques.
Page 167 - Le but le plus noble et le plus digne d'une âme élevée n'est point de rechercher, quand on est au pouvoir, par quels expédients on s'y perpétuera, mais de veiller sans cesse aux moyens de consolider, à l'avantage de tous, les principes d'autorité et de morale, qui défient les passions des hommes et l'instabilité des lois.
Page 352 - L'Assemblée nationale est dissoute. ART. 2. Le suffrage universel est rétabli. La loi du 31 mai est abrogée. ART. 3. Le peuple français est convoqué dans ses comices, à partir du 14 décembre jusqu'au 21 décembre suivant.
Page 355 - La constitution, vous le savez, avait été faite dans le but d'affaiblir d'avance le pouvoir que vous alliez me confier. Six millions de suffrages furent une éclatante protestation contre elle, et cependant je l'ai fidèlement observée. Les provocations, les calomnies, les outrages m'ont trouvé impassible. Mais aujourd'hui que le pacte fondamental n'est plus respecté de ceux-là...
Page 353 - Soyez fiers de votre mission ; vous sauverez la patrie, car je compte sur vous, non pour violer les lois, mais pour faire respecter la première loi du pays : la souveraineté nationale, dont je suis le légitime représentant. " Depuis longtemps vous souffriez comme moi des obstacles qui s'opposaient et au bien que je voulais faire et aux démonstrations de vos sympathies en ma faveur.
Page 166 - Si, dans cette session, vous votez la révision de la Constitution, une Constituante viendra refaire nos lois fondamentales et régler le sort du pouvoir exécutif. Si vous ne la votez pas, le peuple en 1852 manifestera solennellement l'expression de sa volonté nouvelle.
Page 244 - Depuis que je suis au pouvoir, j'ai prouvé combien, en présence des grands intérêts de la société, je faisais abstraction de ce qui me touche. Les attaques les plus injustes et les plus violentes n'ont pu me faire sortir de mon calme. Quels que soient les devoirs que le pays m'impose, il me trouvera décidé à suivre sa volonté.
Page 354 - La situation actuelle ne peut durer plus longtemps. Chaque jour qui s'écoule aggrave les dangers du pays. L'Assemblée, qui devait être le plus ferme appui de l'ordre, est devenue un foyer de complots. Le patriotisme de trois cents de ses membres n'a pu arrêter ses fatales tendances. Au...
Page 243 - Depuis trois ans, on a •pu remarquer que j'ai toujours été secondé par l'Assemblée quand il s'est agi de combattre le désordre par des mesures de compression. Mais lorsque j'ai voulu faire le bien, améliorer le sort des populations, elle m'a refusé ce concours.
Page 218 - L'administration continuera donc comme par le passé. Les préventions se dissiperont au souvenir des déclarations solennelles du Message du 12 novembre. La majorité réelle se reconstituera; l'harmonie sera rétablie sans que les deux Pouvoirs aient rien sacrifié de la dignité qui fait leur force.