 La pluie était encore assez transparente pour que ma lunette me fit apercevoir la couleur du vêtement qui s'élevait entre les poteaux. Je voyais aussi un jour blanc entre le bras et le billot, et, quand une ombre comblait cet intervalle, je fermais...  Pages libres - Page 201905Full view - About this book
 | Alfred de Vigny - 1832 - 452 pages
...voyais aussi un jour blanc entre le bras et le billot , et , quand une ombre comblait cet intervalle , je fermais les yeux. Un grand cri des spectateurs...baissai la tête ainsi, disant tout haut une prière de désespéré , que nulle oreille humaine n'entendra jamais , et que moi seul j'ai pu concevoir.... | |
 | Alfred de Vigny - 1837 - 530 pages
...Je voyais aussi un jour blanc entre le bras et le billot, et, quand une ombre comblailcetintervalle, je fermais les yeux. Un grand cri des spectateurs...baissai la tête ainsi, disant tout haut une prière de désespéré, que nulle oreille humaine n'entendra jamais, et que moi seul j'ai pu concevoir. Après... | |
 | André Chénier - 1840 - 372 pages
...voyais aussi un jour blanc entre le bras et le billot , et , quand une ombre comblait cet intervalle, je fermais les yeux. Un grand cri des spectateurs...Trente-deux fois je baissai la tête ainsi, disant tout baut une prière désespérée que nulle oreille humaine n'entendra jamais, et que moi seul j'ai pu... | |
 | André Chénier - 1840 - 378 pages
...voyais aussi un jour blanc entre le bras et le billot, et, quand une ombre comblait cet intervalle, je fermais les yeux. Un grand cri des spectateurs...m'avertissait de les rouvrir. Trente-deux fois je baissai la tète ainsi, disant tout baut une prière désespérée que nulle oreille humaine n'entendra jamais,... | |
 | Alfred de Vigny - 1841 - 406 pages
...voyais aussi un jour blanc entre le bras et le billot , et, quand une ombre comblait cet intervalle, je fermais les yeux. Un grand cri des spectateurs...gris tout debout. Cette fois je résolus d'honorer le courago de son génie en ayant le courage de voir toute sa mort : je me levai. La tête roula , et... | |
 | André Chénier - French poetry - 1847 - 374 pages
...voyais aussi un jour blanc entre le bras et le billot, et quand une ombre comblait cet intervalle, je fermais les yeux. Un grand cri des spectateurs...m'avertissait de les rouvrir. Trente-deux fois je baissai la tète ainsi, disant tout haut une prière désespérée que nulle oreille humaine n'entendra jamais,... | |
 | Jean Roemer - French language - 1851 - 490 pages
...voyais aussi un jour blanc entre le bras et le billot, et, quand une ombre comblait cet intervalle, je fermais les yeux. Un grand cri des spectateurs m'avertissait de les rouvrir. ^ Après le trente-troisième cri, je vis l'habit gris t.out debout. Cette fois je résolus d'honorer... | |
 | Alfred de Vigny - 1925 - 470 pages
...voyais aussi un jour blanc, entre le bras et le billot, et quand une ombre comblait cet intervalle, je fermais les yeux. Un grand cri des spectateurs...Trente-deux fois je baissai la tête ainsi, disant une prière désespérée, que nulle oreille humaine n'entendra jamais, et que moi seul j'ai pu concevoir.... | |
 | Alfred de Vigny - 1882 - 454 pages
...voyais aussi un jour blanc entre le bras et le billot, et, quand une ombre comblait cet intervalle, je fermais les yeux. Un grand cri des spectateurs...le courage de voir toute sa mort : je me levai. La tète roula; et ce qu'il avait là s'enfuit avec le sang. CHAPITRE XXXVI UN TOUR DE HOUE Ici le Docteur-Noir... | |
 | Education - 1902 - 870 pages
...la couleur du vêtement qui s'élevait entre les poteaux. Quand une ombre comblait cet intervalle, je fermais les yeux ; un grand cri des spectateurs...désespérée, que nulle oreille humaine n'entendra jamais, etjque moi seul j'ai pu concevoir. Après le trente-troisième cri, je vis l'habit gris tout debout.... | |
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