Mémoires et révélations d'un page de la cour impériale [É. Marco de Saint-Hilaire] de 1802 à 1815C. Malot, 1830 - Autobiographical fiction, French |
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aimait allait appartemens arriva assez avaient Baptiste bataille de Marengo Berthier Bonaparte bonne Bourrienne c'était cabinet Casimir Delavigne Caulincourt cérémonie chambellan CHAPITRE château château de Saint-Cloud cheval chose colonel d'Assigny comte de Narbonne cortége Corvisart costume cour dames déjeûner demande devait dîner dire donner écuyer faisait femme fille Fontainebleau Gardanne général Henri Monnier Herminie heures Hollande homme j'ai j'avais j'étais jamais jeune jolie Joséphine jour l'abbé Gandon l'ambassadeur l'em l'empe l'empereur l'impératrice lendemain long-temps Louis Louis XVI Lucien madame Saint-Hilaire mademoiselle Herminie maison impériale Majesté Malmaison maréchal mariage matin MÉMOIRES ment Messieurs ministre monde Monsieur n'avait n'était Napoléon officiers ornés pages palais parler passer pératrice pereur personne petite pied porte premier consul prince prince de Neufchâtel princesse reste reur rien s'était Saint-Cloud salon service seul Sire soir sous-gouverneur Spire Talleyrand Talma tion toilette trouvait Tuileries vais vait venait veux vint voiture voulait voyage yeux
Popular passages
Page 166 - loin de toi, le monde est un désert où je reste isolé, et sans éprouver la douceur de m'épancher. Tu m'as ôté plus que mon âme, tu es l'unique pensée de ma vie.
Page 165 - sur moi l'impression de ta dernière : y penses-tu, mon adorable amie, de m'écrire en ces termes? crois-tu donc que ma position n'est pas déjà assez cruelle, sans encore accroître mes regrets et bouleverser mon âme ? quel style ! quels
Page 167 - te sont consacrés, que jamais il ne se passe une heure sans penser à toi, que jamais il ne m'est venu dans l'idée de penser à une autre femme; qu'elles sont toutes à mes yeux sans
Page 167 - la victoire, parce que cela te fait plaisir, sans quoi j'aurais tout quitté pour me rendre à tes pieds. » « Dans ta lettre, ma bonne amie, aie soin de me dire que tu es convaincue que
Page 167 - maladie, voilà ce qui m'occupe la nuit et le jour.... Sans appétit, sans sommeil, sans intérêt pour l'amitié, pour la gloire, pour la patrie. Toi, toi, et le reste du monde n'existe pas plus pour moi que s'il était anéanti. Je tiens à l'honneur parce que tu y tiens-, à la victoire, parce que cela te fait plaisir, sans quoi j'aurais tout quitté pour me rendre à tes pieds.
Page 167 - amie, l'amour que tu m'as inspiré m'a ôté la raison; je ne la retrouverai jamais, l'on ne guérit pas de ce mal
Page 168 - que tout le monde le sache, n'écris jamais; eh bien, je t'en aimerai dix fois davantage. Si ce n'est pas là folie, fièvre, délire!.... et je ne guérirai pas de cela ? Oh si par Dieu, j'en
Page 251 - on avait vu combien il s'en était peu fallu qu'elle ne réussît, et on commença à craindre que l'exemple de ce jeune fanatique ne trouvât des imitateurs.
Page 151 - Eh bien ! voilà du nouveau à Vienne ; » qu'est-ce que cela signifie ? Est-on piqué de la » tarentule ? Qui est-ce qui vous menace ? A » qui en voulez-vous? Voulez-vous