Souvenirs historiques et parlementaires [ed. by L.A. Le Doulcet, marq. de Pontécoulant]. |
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... n'avait point encore dissipées ou dénatu- rées . Les émigrés eux - mêmes , que la loi avait toujours soin d'excepter lorsqu'elle se montrait moins rigoureuse pour toutes les autres infortunes , trouvèrent dans cet esprit de justice et ...
... n'avait point encore dissipées ou dénatu- rées . Les émigrés eux - mêmes , que la loi avait toujours soin d'excepter lorsqu'elle se montrait moins rigoureuse pour toutes les autres infortunes , trouvèrent dans cet esprit de justice et ...
Page 17
... n'avait pu le faire dévier de la route qu'il s'était tracée ; il avait bravé , à la tête de la police du gouvernement consu- laire , l'ancien membre du Comité de salut public , avec la même fermeté qu'il l'avait bravé jadis à la tribune ...
... n'avait pu le faire dévier de la route qu'il s'était tracée ; il avait bravé , à la tête de la police du gouvernement consu- laire , l'ancien membre du Comité de salut public , avec la même fermeté qu'il l'avait bravé jadis à la tribune ...
Page 20
... n'avait terni cette gloire si jeune , si bril- lante et si pure , et que l'astre de Bonaparte se leva sur la France après la tempête , comme l'aurore d'un beau jour qui ne laisse prévoir à personne les orages qu'il enferme dans son sein ...
... n'avait terni cette gloire si jeune , si bril- lante et si pure , et que l'astre de Bonaparte se leva sur la France après la tempête , comme l'aurore d'un beau jour qui ne laisse prévoir à personne les orages qu'il enferme dans son sein ...
Page 35
... n'avait connu à aucune autre époque de son histoire . Qui donc aurait pu prévoir alors que non loin des murs de cette même cité où le premier magistrat de cette France libre et heureuse venait de recevoir une ovation si chaleureuse et ...
... n'avait connu à aucune autre époque de son histoire . Qui donc aurait pu prévoir alors que non loin des murs de cette même cité où le premier magistrat de cette France libre et heureuse venait de recevoir une ovation si chaleureuse et ...
Page 41
... n'avait voulu de- mander ni au chef de l'État , ni à aucun de ses mi- nistres , de subvention extraordinaire , même à l'époque du voyage du Premier Consul dans les départements réunis , et l'on sait combien les minces traitements que ...
... n'avait voulu de- mander ni au chef de l'État , ni à aucun de ses mi- nistres , de subvention extraordinaire , même à l'époque du voyage du Premier Consul dans les départements réunis , et l'on sait combien les minces traitements que ...
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Common terms and phrases
affaires allait armée aurait avaient bataille bataille de Ligny bientôt Blücher c'était cabinet calme campagne capitale Chambre des députés Chambre des pairs Chambre élective Charles X Charte chef circonstances citoyens coalition comte de Pontécoulant Conseil constitutionnelle Decazes déclaration désormais devait dévouement discours discussion duc de Vicence enfin esprit étrangères eût événements faction fatale fermeté force funeste garanties général Sébastiani gloire gouvernement guerre hommes impérial jour juillet justice l'armée l'avait l'Empereur l'Empire l'esprit l'Europe l'opinion Labédoyère laisser législatif libéral liberté longtemps Louis XVIII lui-même majorité malheurs maréchal Grouchy maréchal Ney Martignac ment mesures ministère modération monarchie n'avait n'était Napo Napoléon nation nationale nouvelle paix paroles passions pays peuple politique Pontécoulant population position pouvait pouvoir président prince principes projet prononcé prussienne publique qu'une Quatre-Bras représentatif Restauration révolution royale Russie s'était sage Schwartzenberg semblait sentiments serait session seul sort souverains alliés talents tion triomphe trône troupes ultra-royaliste venait victoire Villèle
Popular passages
Page 189 - de n'établir aucune taxe qu'en vertu de la loi ; de » maintenir l'institution de la légion d'honneur; de » gouverner dans la seule vue de l'intérêt , du bonheur » et de la gloire du Peuple français (i) ». Du Serment du Régent.
Page 289 - LES Puissances alliées ayant proclamé que l'Empereur NAPOLÉON était le seul obstacle au rétablissement de la Paix en Europe , l'Empereur NAPOLÉON, fidèle à son serment, déclare qu'il renonce, pour lui et ses héritiers , aux Trônes de France et d'Italie , et qu'il n'est aucun sacrifice personnel, même celui de la vie, qu'il ne soit prêt à faire à l'intérêt de la France.
Page 142 - Elle nous place entre le déshonneur et la guerre : le choix ne saurait être douteux. Marchons donc en avant : passons le Niémen, portons la guerre sur son territoire. La seconde guerre de Pologne sera glorieuse aux armes françaises, comme la première.
Page 191 - Moyennant l'acceptation de ces dispositions et propositions, la Chambre des Députés DÉCLARE enfin que l'intérêt universel et pressant du peuple français appelle au trône SAR LOUISPHILIPPE D'ORLÉANS, Duc D'ORLÉANS, Lieutenant général du royaume, et ses descendants à perpétuité, de mâle en mâle, par ordre de primogéniture, et à l'exclusion perpétuelle des femmes et de leur descendance.
Page 160 - Sire, notre loyauté, notre dévouement nous condamnent à vous dire que ce concours n'existe pas. Une défiance injuste des sentiments et de la raison de la France est aujourd'hui la pensée fondamentale de l'administration ; votre peuple s'en afflige, parce qu'elle est injurieuse pour lui; il s'en inquiète, parce qu'elle est menaçante pour ses libertés.
Page 49 - Le moment est venu de fortifier la Chambre des députés et de la soustraire à l'action annuelle des partis, en lui assurant une durée plus conforme aux intérêts de l'ordre public et à la considération extérieure de l'État : ce sera le complément de mon ouvrage.
Page 161 - ... vos promesses. Entre ceux qui méconnaissent une nation si calme, si fidèle, et nous qui, avec une conviction profonde, venons déposer dans votre sein les douleurs de tout un peuple jaloux de l'estime et de la confiance de son roi, que la haute sagesse de Votre Majesté prononce ; ses royales prérogatives ont placé dans ses mains les moyens d'assurer entre les pouvoirs de l'État cette harmonie constitutionnelle, première et nécessaire condition de la force du trône et de la grandeur de...
Page 274 - Napoléon déchu du trône ; le droit d'hérédité aboli dans sa famille ; le peuple français et l'armée déliés envers lui du serment de fidélité.
Page 373 - La Chambre se déclare en permanence. Toute tentative pour la dissoudre est un crime de haute trahison; quiconque se rendrait coupable de cette tentative sera traître à la patrie et sur-le-champ jugé comme tel.
Page 420 - Que la raison et le génie parlent, et, de quelque côté que se fasse entendre leur voix , elle sera écoutée. » Des plénipotentiaires sont partis pour traiter au nom de la nation , et négocier avec les puissances de l'Europe cette paix qu'elles ont promise à une condition qui est aujourd'hui remplie. » Le monde entier va être attentif comme vous à leur réponse; leur réponse fera connaître si la justice et les promesses sont quelque chose sur la terre.