Études historiques et biographiques, Volume 2 |
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affaires Ancône armée avaient c'était cabinet caractère Chambre des pairs Charles Charles VII choses chronique circonstances Comines commencement comte conseil cour d'Auvergne Decazes devait donner élections époque esprit États Étienne Pasquier événements famille féodalité François Ier Froissart fût garanties général gouvernement Grégoire Grégoire de Tours guerre Guizot histoire historiens hommes justice l'abbé de Vertot l'autorité royale l'Autriche l'Empereur l'esprit l'état l'histoire l'opinion l'ordre laisser liberté livre lois lord Palmerston Louis XI madame de Sainte-Aulaire magistrature majorité ment Metternich ministre mœurs Molé monarchie Monteil n'avait n'était nation Noyan opinions ottoman pacha Parlement Pasquier passé passions pendant pensée peuple politique Pontécoulant pouvait pouvoir royal premier prince province public publique puissance quatorzième siècle raison règne remontrances résistance reste révolution révolutionnaire Richelieu rien Riom Roche-sur-Yon romaine royaume Russie s'était saint saint Amable seigneurs semblait sentiment serait seulement sion société sorte souverain succès Thiers tion traité d'Unkiar-Skelessi trouva Turquie ultra-royaliste voulait
Popular passages
Page 5 - Observations rapides sur l'acte d'accusation contre les députés , par Amar (i). 25 octobre i793. QU'IL ait existé une conspiration contre l'unité et l'indivisibilité de la république, contre la liberté et la sûreté du peuple français...
Page 63 - félicitons, Sire, de vos relations constamment amicales « avec les puissances étrangères, dans la juste confiance « qu'une paix si précieuse n'est point achetée par des « sacrifices incompatibles avec l'honneur de la nation et la
Page 97 - Sire, la Charte que nous devons à la sagesse de votre auguste prédécesseur et dont Votre Majesté a la ferme volonté de consolider le bienfait, consacre comme un droit l'intervention du pays dans la délibération des intérêts publics. Cette intervention devait être...
Page 97 - ... elle fait du concours permanent des vues politiques de votre gouvernement avec les vœux de votre peuple, la condition indispensable de la marche régulière des affaires publiques. Sire, notre loyauté, notre dévouement, nous condamnent à vous dire que ce concours n'existe pas.
Page 415 - ... maximes que l'or d'Espagne et d'Angleterre n'en a fait naître, ont été les défenseurs de la doctrine pour la conservation de laquelle le cardinal de Richelieu confina M. le président...
Page 141 - ... juillet. Quand on aura poursuivi à quatre, sans nous et malgré nous, un but en soi mauvais, que du moins nous avons cru et déclaré tel, quand on l'aura poursuivi par une alliance trop semblable à ces coalitions qui ont depuis cinquante ans ensanglanté l'Europe, croire qu'on retrouvera la France sans défiance, sans ressentiment d'une telle offense, c'est se faire de la fierté nationale une idée qu'elle n'a jamais donnée au monde.
Page 96 - Si de coupables manœuvres suscitaient à mon gouvernement des obstacles, que je ne peux pas, que je ne veux pas prévoir, je trouverais la force de les surmonter dans ma résolution de maintenir la paix publique, dans la juste confiance des Français et dans l'amour qu'ils ont toujours montré pour leur roi.
Page 415 - Il fit, pour ainsi parler, un fonds de toutes les mauvaises intentions et de toutes les ignorances des deux derniers siècles, pour s'en servir selon ses intérêts. Il les déguisa en maximes utiles et nécessaires pour établir l'autorité royale ; et la fortune secondant ses desseins, il forma, dans la plus légitime des monarchies, la plus scandaleuse et la plus dangereuse tyrannie qui ait peutêtre jamais asservi un État.
Page 344 - On peut remonter le cours de notre histoire , et s'y arrêter où l'on voudra ; on trouvera partout le régime féodal considéré par la masse de la population comme un ennemi qu'il faut combattre et exterminer à tout prix.
Page 345 - C'était une confédération de petits souverains, de petits despotes , inégaux entre eux et ayant , les uns envers les autres , des devoirs et des droits , mais investis dans leurs propres domaines, sur leurs sujets personnels et directs, d'un pouvoir arbitraire et absolu.