Mémoires sur les cent jours: en forme de lettres, Part 1Pichon et Didier, 1829 - 196 pages |
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... nation , sans en connaître le texte , c'est s'exposer à de graves erreurs . Cette collection doit donc être le manuel de tous les hommes d'Etat , de tous les publicistes , de tous les juriscousultes , de tous les hommes qui , par leur ...
... nation , sans en connaître le texte , c'est s'exposer à de graves erreurs . Cette collection doit donc être le manuel de tous les hommes d'Etat , de tous les publicistes , de tous les juriscousultes , de tous les hommes qui , par leur ...
Page vii
... nation qu'il ne pouvait vaincre ; enfin que son alliance a toujours été désastreuse pour la monarchie , parce qu'il a voulu obstinément une monarchie que le siècle ne comporte plus . Nous avons donc pensé que la réimpression des Lettres ...
... nation qu'il ne pouvait vaincre ; enfin que son alliance a toujours été désastreuse pour la monarchie , parce qu'il a voulu obstinément une monarchie que le siècle ne comporte plus . Nous avons donc pensé que la réimpression des Lettres ...
Page xi
... nation n'était point attachée , mais des principes qu'elle avait proclamés en 1789 et dont elle n'avait cessé de vouloir l'application , au milieu des crimes de la terreur , sous l'ineptie , tantôt pusil- lanime et tantôt persécutrice ...
... nation n'était point attachée , mais des principes qu'elle avait proclamés en 1789 et dont elle n'avait cessé de vouloir l'application , au milieu des crimes de la terreur , sous l'ineptie , tantôt pusil- lanime et tantôt persécutrice ...
Page xiii
... nation autour de l'homme qui était à sa tête menacée par d'innombrables armées , elle : ne pouvait espérer son salut que de la victoire , et le premier capitaine de l'Europe , celui qui avait disposé de la victoire durant douze an- nées ...
... nation autour de l'homme qui était à sa tête menacée par d'innombrables armées , elle : ne pouvait espérer son salut que de la victoire , et le premier capitaine de l'Europe , celui qui avait disposé de la victoire durant douze an- nées ...
Page xiv
... à la majorité de la nation l'ennemi véritable ; les Prussiens et les Russes semblaient moins redoutables que lui . Ce fut contre lui que les Chambres dirige- rent leurs attaques . On eût dit qu'il n'y avait xiv INTRODUCTION .
... à la majorité de la nation l'ennemi véritable ; les Prussiens et les Russes semblaient moins redoutables que lui . Ce fut contre lui que les Chambres dirige- rent leurs attaques . On eût dit qu'il n'y avait xiv INTRODUCTION .
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Common terms and phrases
11 mars 20 mars actes agens alarmes amis armée avaient besoin Bonaparte c'était cause Cent Jours Chambre des députés chambre des représentans chances Charte constitutionnelle Châteaubriant circonstances citoyens civile conspiration constitution contre-révolution Corps législatif coupables déclaré défenseurs défiances despotisme devait dévouement discours ennemis époque espérances étrangers eût évènemens faction fédération fidèles force fût garanties gardes nationales général gloire gouvernemens guerre haine hommes imprudence institutions intentions intérêts j'ai j'avais journaux justice l'acte additionnel l'armée l'autorité l'Europe Lainé Légion d'honneur LETTRE liberté lois long-temps Louis XVIII malheurs maréchal Soult mécontentement menaces ment Messieurs mesures militaire ministres monarchie Monarque n'avait n'était naparte Napo Napoléon nation ordonnance patrie pensée péril peuple pouvait pouvoir pré première presse prince principes proclamations projet de loi publique puissance rallier régime repousser retour révolution royalistes exagérés s'était seconde restauration semblait Sénat sentimens sentiment serait seul souvenirs système tion tionnel triomphe trône tyrannie vérité voulait voulu zèle
Popular passages
Page 25 - C'est à l'idéologie , à cette ténébreuse métaphysique, qui, en recherchant avec subtilité les causes premières , veut sur ses bases fonder la législation des peuples, au lieu d'approprier les lois à la connaissance du cœur humain et aux leçons de l'histoire, qu'il faut attribuer tous les malheurs qu'a éprouvés notre belle France. Ces erreurs devaient et ont effectivement amené le régime des hommes de sang.
Page 134 - Des hommes sages, pris dans les premiers corps de l'État, se sont réunis à des commissaires de notre conseil pour travailler à cet important ouvrage. En même temps que nous reconnaissions qu'une Constitution libre et monarchique devait remplir l'attente de l'Europe éclairée, nous avons dû nous souvenir aussi que notre premier devoir envers nos peuples était de conserver, pour leur propre intérêt, les droits et les prérogatives de notre couronne. Nous avons espéré qu'instruits par l'expérience,...
Page 135 - Mai, et ces chambres du tiers-état, qui ont si souvent donné tout à la fois des preuves de zèle pour les intérêts du peuple, de fidélité et de respect pour l'autorité des Rois. En cherchant ainsi à renouer la chaîne des temps, que de funestes écarts avaient interrompue...
Page 177 - Celui qui vient allumer parmi nous les torches de la guerre civile y apporte aussi le fléau de la guerre étrangère ; il vient remettre notre patrie sous son joug de fer ; il vient enfin détruire cette Charte constitutionnelle que je vous ai donnée ; cette Charte , mon plus beau titre aux yeux de la postérité; cette Charte que tous les Français chérissent et que je jure ici de maintenir.
Page 134 - Nous avons dû, à l'exemple des Rois nos prédécesseurs, apprécier les effets des progrès toujours croissants des lumières, les rapports nouveaux que ces progrès ont introduits dans la société, la direction imprimée aux esprits depuis un demisiècle, et les graves altérations qui en sont résultées...
Page 176 - Dans ce moment de crise, où l'ennemi public « a pénétré dans une portion de mon royaume, « et qu'il menace la liberté de tout le reste, je « viens au milieu de vous resserrer encore les « liens qui, vous unissant avec moi, font la « force de l'Etat ; je viens, en m'adressant à « vous, exposer à toute la France mes sentiments
Page 113 - On m'a reproché, dans un libelle, de ne m'être pas fait tuer auprès du trône que, le 19 mars, j'avais défendu ; c'est que, le 20, j'ai levé les yeux, j'ai vu que le trône avait disparu, et que la France restait encore.
Page 136 - A ces causes, nous avons volontairement, et par le libre exercice de notre autorité royale, accordé et accordons, fait concession et octroi à nos sujets, tant pour nous que pour nos successeurs, et à toujours, de la Charte constitutionnelle qui suit : Droit public des Français.
Page 25 - Qui a adulé le peuple en le proclamant à une souveraineté qu'il était incapable d'exercer ? Qui a détruit la sainteté et le respect des lois...
Page 128 - Les sénateurs actuels , à l'exception de ceux qui renonceraient à la qualité de citoyens francais, sont maintenus et font partie de ce nombre. La dotation actuelle du Sénat et des sénatoreries leur appartient. Les revenus en sont partagés également entre eux , et passent à leurs successeurs. Le cas échéant de la mort d'un sénateur sans postérité masculine directe , sa portion retourne au trésor public.