Souvenirs contemporains d'histoire et de littérature, Volume 2Didier, 1855 - France |
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20 mars Abdication alliés anglais armée Assemblée avaient bataille Bellerophon Benjamin de Constant Bourbons Buonaparte c'était Carnot Chambre des Pairs Chambre des Représentants Charte de 1814 chose Coalition comte Regnauld Congrès Conseil Constitution constitutionnel d'État déclaration défense députés dernier devant disait-il dit-il doute duc d'Otrante duc de Wellington ennemis esprit Fayette force Fouché général Gouvernement provisoire guerre hommes jour l'Abdication l'Acte additionnel l'Angleterre l'armée l'Autriche l'Élysée l'Empereur l'Empire l'ennemi l'Europe l'île d'Elbe l'orateur laisser langage liberté lord Castlereagh lord Liverpool Louis XVIII lui-même maréchal Grouchy ment Message militaire Ministre Monarchie Monarque Murat n'avait n'était Napoléon Napoleon Buonaparte nation négociations paix parliamentary debates paroles passion patrie péril peuple Plénipotentiaires politique Pontécoulant pouvait pouvoir premier premier Empire prince d'Eckmühl prince Lucien principes proclamation Prussiens public Puissances reste Révolution Russie s'était séance secret semblait sentiment serait seul soldats Souverain succès Talleyrand tion traité tribune trône troupes Tuileries vote Wellington zèle
Popular passages
Page 134 - Sa personne étant ainsi faite, Et ses pieds de devant posés sur sa houlette, Guillot le sycophante , approche doucement.
Page 499 - Altesse Royale, en butte aux factions qui « divisent mon pays et à l'inimitié des plus grandes « puissances de l'Europe, j'ai terminé ma carrière « politique, et je viens, comme Thémistocle, « m'asseoir au foyer du peuple britannique.
Page 85 - Bonaparte s'est placé hors des relations civiles et sociales, et que, comme ennemi et perturbateur du repos du Monde, il s'est livré à la vindicte publique.
Page 467 - S'il survient des difficultés sur l'exécution de quelqu'un des articles de la présente convention , l'interprétation en sera faite en faveur de l'armée française et de la ville de Paris.
Page 519 - J'en appelle à l'histoire ; elle dira qu'un ennemi qui fit vingt ans la guerre au peuple anglais vint librement dans son infortune, chercher un asile sous ses lois. Quelle...
Page 131 - Monsieur mon frère, vous aurez appris dans le cours du mois dernier, mon retour sur les côtes de France, mon entrée à Paris et le départ de la famille des Bourbons.
Page 191 - ... les vœux de la nation m'ont ramené sur ce trône qui m'est cher , parce qu'il est le palladium de l'indépendance, de l'honneur et des droits du peuple. » Français, en traversant, au milieu de l'allégresse publique, les diverses provinces de l'Empire pour arriver dans ma capitale , j'ai dû compter sur une longue paix : les nations sont liées par les traités conclus par leurs gouvernements, quels qu'ils soient.
Page 400 - Soldats, je suivrai vos pas, quoique absent. Je connais tous les corps, et aucun d'eux ne remportera un avantage signalé sur l'ennemi, que je ne rende justice au courage qu'il aura déployé; vous et moi, nous avons été calomniés. Des hommes indignes d'apprécier vos travaux ont vu, dans les marques...
Page 234 - Ce travail recommandera l'époque actuelle aux générations futures. » J'ambitionne de voir la France jouir de toute la liberté possible ; je dis possible , parce que l'anarchie ramène toujours au gouvernement absolu.
Page 128 - Les sentiments que vous m'exprimez sont les miens. Tout à la nation et tout pour la France! voilà ma devise. Moi et ma famille, que ce grand peuple a élevés sur le trône des Français et qu'il ya maintenus malgré les vicissitudes et les tempêtes politiques , nous ne voulons , nous ne devons et nous ne pouvons jamais réclamer d'autres titres.