202. Récit de Napoléon; Sainte-Hélène, 9 janvier 1816. 205. Enghien à Bourbon; Ettenheim, 28 mars [1803]. 396 400 401 406 409 . 412 La princesse Louise à Bourbon; Varsovie, II OC- 437 La princesse Louise à Condé; Varsovie, 13 décem- 437 217. Enghien à Marans; Ettenheim, 22 novembre [1803] 218. Enghien à Bourbon; Ettenheim, 29 novembre 1803. 219. Condé à Enghien; Wanstead, 4 décembre 1803.. 220. Enghien à Louis XVIII; Wanstead, 12 décembre 1803. 221. Enghien à Condé; Ettenheim, 17 décembre [1803]. 222. Condé à Enghien; Wanstead, 22 décembre 1803 223. Condé à Louis XVIII; Wanstead, 22 décembre 1803 Louis XVIII à Condé; Varsovie, 12 janvier 1804. . Copie de la circulaire écrite par S. A. R. Mgr le 451 224. Circulaire de Jacques aux pensionnés; Ettenheim, Extrait des décisions des lords commissaires du Trésor. 225. Lanan à Condé; Munich, 18 janvier 1804. 226. Ch. Stuart à Hawkesbury; Vienne, january 18, 1804 456 Note du duc d'Enghien; Ettenheim, 15 janvier 1804 457 227. Cobenzl à Colloredo; Vienne, 25 janvier 1804. Champagny à Talleyrand; Vienne, 4 pluviôse an XII (25 janvier 1804). 465 . 467 240. Condé à Enghien; Wanstead, 26 mars 1804 228. Enghien à Marans; Ettenheim, 16 janvier [1804] TABLE DES MATIÈRES LICENCIEMENT LE L'armistice conclu à Steyer, le 25 décembre 1800, termine la campagne en Allemagne. Il trouve le corps de Condé en retraite dans la vallée de la Mur. Composition de ce corps, divisé en régiments nobles et régi- ments soldés. La désorganisation de l'armée autrichienne fait regarder la paix comme inévitable. Les commissaires anglais. Wickham prescrit la vente des chevaux des Condéens. — Il donne aux nobles le choix entre un licenciement avec prime, et un embarquement dont il ne précise pas la destination. La machine infernale. Armistice en Ita- lie. Enghien rejoint à Graz la princesse Charlotte de Rohan.- Pendant cette absence, désertion parmi ses dragons. Ordre du jour de Condé, du 9 février 1801, annonçant que l'embarquement - - - - Paix de Lunéville. — En Angleterre, un nouveau cabinet commence à négo- - --- dance sans perdre la pension anglaise. Il veut rester sur le continent, pour être éloigné de Condé, avec qui il a des rapports difficiles, et se tenir à portée de servir dans l'armée autrichienne, en cas d'une guerre nouvelle. — Il renonce à Graz et vient, avec la princesse Charlotte, s'éta- - - LE DUC D'ENGHIEN PENDANT LA PAIX - - La paix Préliminaires de paix avec l'Angleterre, le 1 octobre 1801. - - Congrès à Amiens le traité y est conclu le 25 mars 1802. - Promulgation de la princesse Charlotte. Enghien suit attentivement les indices, de plus en plus graves, d'une rupture entre la France et l'Angleterre. - LE P. CONSUL ET LES BOURBONS PENDANT LA PAIX Pendant la discussion des préliminaires de paix, le P. Consul réclame vai- nement au cabinet Addington l'éloignement de Georges et celui de Dutheil, agent du comte d'Artois, comme instigateurs de la machine infernale. Au congrès d'Amiens, le projet anglais ayant proposé des cas d'extradition, le P. Consul cherche à s'en servir contre le comte d'Ar- tois, les Chouans, et même contre le pamphlétaire Peltier. — L'article 20 du traité d'Amiens reste peu explicite. Georges obtient du ministère anglais que ses officiers, traqués en Bretagne, se réfugient dans les îles normandes. La présence des d'Orléans à un banquet fait renouveler une demande plus étendue d'expulsion. - Elle est regardée comme con- traire à l'honneur de l'Angleterre par l'opposition qui se manifeste dans la presse et le Parlement contre le traité, et bientôt par le ministère lui- même, qu'alarme la puissance grandissante de la France. - Insistance hautaine du P. Consul: article du Moniteur du 8 août 1802 et note inutile En Allemagne, Louis XVIII renonce à ses avances auprès du P. Consul -- Il sollicite du tsar Alexandre des moyens fixes de subsistance. - - - Tension croissante des rapports entre la France et l'Angleterre, dès octobre 1802. Des causes profondes de rivalité s'aigriront encore par des récriminations devenues réciproques sur les journaux. — Arrivée des ambassadeurs Andreossy à Londres, et Whitworth à Paris. Ou- verture du nouveau Parlement le 16 novembre. Envoi d'observateurs en Angleterre. Surveillance secrète à Édimbourg et à Varsovie. Conversations du P. Consul et de Talleyrand avec Whitworth les 3 janvier et 18 février 1803.- Procès de Peltier. Le message du roi d'Angleterre du 8 mars annonce des armements. Le P. Consul relève ce défi, le 13, devant lord Whitworth. Préoccupé de consolider son pouvoir pour le présent et pour l'avenir, le P. Consul tente d'obtenir que les Bourbons renoncent à leurs droits en échange d'un sort assuré. Ouvertures à cet égard de Talleyrand à Lucchesini. Le roi de Prusse se fait l'intermédiaire de cette négo- ciation indirecte à Varsovie. - Refus péremptoire de Louis XVIII, qui fait associer à son manifeste tous les princes de sa maison. · Adhé- sion du duc d'Enghien. Ces démarches, rendues publiques par les Princes après la déclaration de guerre, seront désavouées par le P. LA CONSPIRATION DE GEORGES ET LA GUERRE Réunion des officiers bretons près de Southampton. Georges est chargé - - - A L'annonce de la guerre excite les espérances des royalistes. |