 | Henri Lemaire - 1825 - 244 pages
...raillerie, saï« sissant les ridicules avec une justesse « qui assommait; de la hauteur des € cieux, Une regardait les hommes que « comme des atomes avec...aucune ressemblance, quels qu'ils « fussent. A peine les princesses frères « lui paraissaient intermédiaires entre « lui et le genre humain, quoiqu'on... | |
 | Louis de Rouvroy duc de Saint-Simon - France - 1829 - 510 pages
...railleries et à produire les ridicules avec une justesse qui assommait. De la ' hauteur des cieux il ne regardait les hommes que comme des atomes avec...aucune ressemblance; quels qu'ils fussent. A peine MM. ses frères lui parais.-! saient-ils intermédiaires entre lui et le genre humain, quoiqu'on eût... | |
 | Biography - 1834 - 814 pages
...en railleries et à produire les ridicules avec une justesse qui assommait. De la hauteur des cieux il ne regardait les hommes que comme des atomes avec...qu'ils fussent. A peine messieurs ses frères lui paraissentils intermédiaires entre lui et legenrehumain, quoiqu'on eût toujours alfeclé de les élever... | |
 | Biography - 1834 - 866 pages
...rail leries el à produire les ridicules avec une justesse qui assommait. De la hauteur des i ¡eux il ne regardait les hommes que comme des atomes avec qui il n'avait aucune ressemblance, quelsqu'ils fussent. A peine messieurs ses frères lui paraissentils intermédiaires entre lui et le... | |
 | Ed Mennechet - France - 1838 - 284 pages
...raillerie, sai« sissanl les ridicules avec une justesse ii qui assommait ; de la hauteur des « cieux, il ne regardait les hommes que « comme des atomes...aucune ressemblance , quels qu'ils « fussent. A peine les princes ses frères « lui paraissaient intermédiaires entre « lui et le genre humain. » Tel... | |
 | French literature - 1835 - 488 pages
...en raillerie j saisissant les ridicules avec une justesse qui assommait. De la hauteur des cietlx, il ne regardait les hommes que comme des atomes avec...aucune ressemblance, quels qu'ils fussent. A peine les princes ses frères lui paraissaient intermédiaires entre lui et le genre humain , quoiqu'on eût... | |
 | Édouard Goumy - 1839 - 354 pages
...écrivît ceci de lui : « De la hauteur des cieux, il ne regardait les hommes que comme des atonies avec qui il n'avait aucune ressemblance, quels qu'ils...paraissaient-ils intermédiaires entre lui et le genre humain, quoiqu'on eût toujours •affecté de les élever tous trois ensemble dans une égalité parfaite.... | |
 | Louis de Rouvroy duc de Saint-Simon - France - 1840 - 532 pages
...en railleries et à produire les ridicules avec une justesse qui assommait. De la hauteur des cieux il ne regardait les hommes que comme des atomes avec...aucune ressemblance quels qu'ils fussent. A peine MM. ses frères lui paraissaient-ils intermédiaires entre lui et le genre humain, quoiqu'on eût toujours... | |
 | Claude Fleury - Religion - 1844 - 726 pages
...barbare en raillerie, saisissant lis ridicules avec une justesse qui assommait ; de la hauteur des cieux, il ne regardait les hommes que comme des atomes avec qui il n'avait aucune ressemblance... Du reste, l'esprit et la pénétration brillaient en lui de toutes parts, et jusque dans ses furies... | |
 | Claude Fleury - Religion - 1844 - 780 pages
...en raillerie, saisissant K s ridicules avec une justesse qui assommait ; de la hauteur des cieux, H ne regardait les hommes que comme des atomes avec qui il n'avait aucune ressemblance... Du reste, l'esprit et la pénétration brillaient en lui de toutes parts , et jusque dans ses furies... | |
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... les ridicules avec une justesse qui assommait. De la hauteur des cieux il ne regardait les hommes que comme des atomes avec qui il n'avait aucune ressemblance, quels qu'ils fussent. 
