Annuaire du Pas-de-CalaisE. Lefranc., 1871 - Pas-de-Calais (France) |
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Common terms and phrases
adjoint Administrateurs Aire ancien années Ardres Arras arrêté Arrondissement Arrondissement de Saint-Omer Aubigny Audruick Auxi-le-Château avocat Bapaume bataillon Béthune Boulogne Bureau Calais CANTON capitaine Caron Carvin chargé chef chemins Circ civil classe Commission communes compagnie Conseil Conseil général contributions cours Croisilles curé d'Arras décembre demande département député dernier Desvres directeur docteur doit donne école Employés établissements Etaples Fauquembergues fils Frévent Fruges garde général Gouvernement Greffier Guines Halloy Hesdin heures honoraire Houdain inspecteur instituteur jours juge de paix Jules l'abbé l'année Lefebvre Lens Leroy lieu Lillers Longuenesse Louis Lumbres maire Marquise mars médecin membres ment Ministre Mlle Montreuil nationale nombre nommé nord Norrent-Fontes Pas-de-Calais pays pendant père place port Préfecture Préfet première président principal professeur propriétaire Providence publique receveur Saint Saint-Omer Saint-Pol Samer secours secrétaire septembre sera service Société sous-lieutenant St-Omer suite suivante Total travaux tribunal Vimy Vitry
Popular passages
Page 347 - Les quatre premiers articles de la loi des 23 novembre, 1er décembre 1790, posent dans les termes suivants les principes de l'impôt foncier : ART. 1". — Il sera établi à compter du 1er janvier 1791 une contribution foncière qui sera répartie par égalité proportionnelle sur toutes les propriétés foncières, à raison de leur revenu net, sans autres exceptions que celles déterminées ci-après pour les intérêts de l'agriculture.
Page 298 - Donnez-moi une nouvelle preuve de confiance. En apportant au scrutin un vote affirmatif, vous conjurerez les menaces de la révolution, vous assoirez sur une base solide l'ordre et la liberté, et vous rendrez plus facile, dans l'avenir, la transmission de la Couronne à mon Fils.
Page 33 - Sachez donc renvoyer à un terme qui ne saurait être bien éloigné les divergences de principes qui nous ont divisés, qui nous diviseront peut-être encore: et n'y revenons que lorsque ces divergences, résultat, je le sais, de convictions sincères, ne seront plus un attentat contre l'existence et le salut du pays.
Page 27 - C'est ce que dira le pays , consulté sur son sort. Pour que son vœu s'impose à tous comme une loi respectée, il faut qu'il soit l'expression souveraine du libre suffrage de tous. Or, nous n'admettons pas qu'on puisse imposer à ce suffrage des restrictions arbitraires. Nous avons combattu l'Empire et ses pratiques ; nous n'entendons pas les recommencer en instituant des candidatures officielles par voie d'élimination.
Page 21 - FRANÇAIS !— Le peuple a devancé la Chambre qui hésitait. Pour sauver la Patrie en danger, il a demandé la République.
Page 20 - Le général Trochu est à la fois maintenu dans ses pouvoirs de gouverneur de Paris et nommé ministre de la guerre en remplacement du général Palikao. Veuillez faire afficher immédiatement, et au besoin proclamer par crieur public, la présente déclaration.
Page 23 - M. Crémieux, membre du Gouvernement de la Défense nationale, garde des sceaux, ministre de, la Justice, est délégué pour représenter le Gouvernement et en exercer les pouvoirs.
Page 27 - Nous ne voulons pas que le premier décret de convocation de l'Assemblée républicaine en 1871 soit un acte de défiance contre les électeurs. A eux appartient la souveraineté; qu'ils l'exercent sans faiblesse, et la patrie pourra être sauvée. Le gouvernement de la défense nationale repousse donc et annule au besoin le décret illégalement rendu par la délégation de Bordeaux, et il appelle tous les Français à voter, sans catégories, pour les représentants qui leur paraîtront les plus...
Page 25 - II s'est résigné aux privations les plus cruelles. Il a accepté la ruine, la maladie, l'épuisement. Pendant un mois, les bombes l'ont accablé, tuant les femmes, les enfants. Depuis plus de six semaines, les quelques grammes de mauvais pain qu'on distribue à chaque habitant, suffisent à peine à l'empêcher de mourir. « Et quand, ainsi vaincue par la plus inexorable nécessité, la grande cité s'arrête pour ne pas condamner deux...
Page 29 - France, de pourvoir immédiatement aux nécessités du gouvernement et à la conduite des négociations, — décrète : M. Thiers est nommé Chef du pouvoir exécutif de la République française ; il exercera ses fonctions sous l'autorité de l'Assemblée nationale, avec le concours des ministres qu'il aura choisis et qu'il présidera.