Napoléon l'homme, le politique, l'orateur, d'après sa correspondance et ses oeuvres, Volume 2Perrin, 1889 - France |
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... dernier tambour . Les soldats eux - mêmes ne sont que les enfants des ci- toyens . L'armée , c'est la nation ... » Et il termi- nait son discours par cette sortie et par ces conclu- sions formelles : « Si l'on considérait le militaire ...
... dernier tambour . Les soldats eux - mêmes ne sont que les enfants des ci- toyens . L'armée , c'est la nation ... » Et il termi- nait son discours par cette sortie et par ces conclu- sions formelles : « Si l'on considérait le militaire ...
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... dernier degré de misère ; que l'on ne voyait plus dans les campagnes que des vieillards , des femmes ou des enfants . La France alors était le pays le plus riche de l'univers ; elle avait plus de numéraire que le reste de l'Europe ...
... dernier degré de misère ; que l'on ne voyait plus dans les campagnes que des vieillards , des femmes ou des enfants . La France alors était le pays le plus riche de l'univers ; elle avait plus de numéraire que le reste de l'Europe ...
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... dernier outrage pour ces vaincus de la politique , -d'écrire contre eux des pamphlets , dont il tolérera les turpitudes parce qu'il croira en avoir reconnu l'utilité pour sa cause ( 5 ) . Cette affaire d'Espagne est une des grandes ...
... dernier outrage pour ces vaincus de la politique , -d'écrire contre eux des pamphlets , dont il tolérera les turpitudes parce qu'il croira en avoir reconnu l'utilité pour sa cause ( 5 ) . Cette affaire d'Espagne est une des grandes ...
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... dernier paragraphe de cette lettre est relatif à la part d'autorité que le prince doit conserver , sans la partager avec ses Ministres , ce qui amènerait les abus les plus graves . C'est la vraie théorie du gouvernement absolu ; il n'y ...
... dernier paragraphe de cette lettre est relatif à la part d'autorité que le prince doit conserver , sans la partager avec ses Ministres , ce qui amènerait les abus les plus graves . C'est la vraie théorie du gouvernement absolu ; il n'y ...
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... dernier mot de ses combinaisons . >> Comme pour ajouter à cette conduite si blâmable un argument nouveau , les mémoires du chancelier nous ont découvert le secret d'une autre indélica- tesse ; si l'armistice de Pleiswitz , que Napoléon ...
... dernier mot de ses combinaisons . >> Comme pour ajouter à cette conduite si blâmable un argument nouveau , les mémoires du chancelier nous ont découvert le secret d'une autre indélica- tesse ; si l'armistice de Pleiswitz , que Napoléon ...
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Amsterdam armée articles Barbier bataille bibliothèque Bonaparte brumaire bulletin c'était Cambacérès camp de Boulogne campagne César Châteaubriand chose civile Code Conseil d'État Consulat Corps Législatif critique d'Italie détails devait dictées Directoire disait-il dit-il documents doit donner écrit écrivait Égypte ennemis esprit française François Ier général génie gloire gouvernement guerre Histoire hommes idées impériale Indication des textes j'ai jour journaux jugement l'Angleterre l'armée l'Em l'Empe l'Empereur l'Empire l'Europe l'histoire l'Institut laisser Légion d'honneur léon lettre littéraire Louis Louis XIV Louis XVI Mahomet Marengo Mémoires ment militaire Ministre Moniteur Napo Napoléon disait Napoléon se montre nation œuvres ouvrages paix parler paroles pensée pereur peuple pièce poléon politique Pologne Premier Consul prince principes proclamations public question règne renseignements annexes reste reur Révolution rien Romains Russie saint Sainte-Beuve Sainte-Hélène sentiments serait seul soldats Talma teur textes ou renseignements Thibaudeau tion tique traduite tragédie traité d'Amiens Tribunat trône trouve victoire Voltaire Voyage
Popular passages
Page 248 - ... j'étais fondé à en espérer le succès, et j'avais bravé toutes les déclarations des puissances contre moi. Les circonstances me -paraissent changées. Je m'offre en sacrifice à la haine des ennemis de la France. Puissent-ils être sincères dans leurs déclarations, et n'en avoir réellement voulu qu'à ma personne ! Ma vie politique est terminée, et je proclame mon fils sous le titre de Napoléon II.
Page 389 - Lorsque, dans le silence de l'abjection, l'on n'entend plus retentir que la chaîne de l'esclave et la voix du délateur, lorsque tout tremble devant le tyran, et qu'il est aussi dangereux d'encourir sa faveur que de mériter sa disgrâce, l'historien paraît, chargé de la vengeance des peuples. C'est en vain que Néron prospère. Tacite est déjà né dans l'empire...
Page 256 - Vous êtes une des ailes de l'armée d'Angleterre. « Vous avez fait la guerre de montagnes, de plaines, de sièges ; il vous reste à faire la guerre maritime. « Les légions romaines, que vous avez quelquefois imitées, mais pas encore égalées, combattaient Carthage tour à tour sur cette même mer, et aux plaines de Zama. La victoire ne les abandonna jamais, parce que constamment elles furent braves, patientes à supporter la fatigue, disciplinées et unies entre elles.
Page 358 - Altesse Royale, en butte aux factions qui « divisent mon pays et à l'inimitié des plus grandes « puissances de l'Europe, j'ai terminé ma carrière « politique, et je viens, comme Thémistocle, « m'asseoir au foyer du peuple britannique.
Page 261 - Non , non ! La dynastie de Naples a cessé de régner; son existence est incompatible avec le repos de l'Europe et l'honneur de ma couronne. «Soldats! marchez, précipitez dans les flots, si tant est qu'ils vous attendent, ces débiles bataillons des tyrans des mers; montrez au monde de quelle manière nous punissons les parjures...
Page 335 - Il le trouva avec toute sa connaissance et montrant le plus grand sang-froid. Le duc serra la main de l'empereur qu'il porta sur ses lèvres. « Toute ma vie, lui dit-il, a été consacrée à votre service, et je ne la regrette que par l'utilité dont elle pouvait vous être encore.
Page 73 - J'y suis venu à l'instigation même du capitaine , qui a dit avoir des ordres du gouvernement de me recevoir et de me conduire en Angleterre avec ma suite si cela m'était agréable.
Page 259 - Soldats, je dirigerai moi-même tous vos bataillons ; je me tiendrai loin du feu, si, avec votre bravoure accoutumée, vous portez le désordre et la confusion dans les rangs ennemis ; mais, si la victoire était un moment incertaine, vous verriez votre Empereur s'exposer aux premiers coups, car la victoire ne saurait hésiter, dans cette journée surtout où il y va de l'honneur de l'infanterie française, qui importe tant à l'honneur de toute la nation.
Page 171 - Napoléon lui-même , avec les nombreuses armées qui sont à sa disposition , ne pourrait néanmoins s'emparer d'un champ, car violer le droit de propriété dans un seul, c'est le violer dans tous.
Page 37 - J'ai reçu, monsieur, votre lettre; je vous remercie des choses honnêtes que vous m'y dites. Vous ne devez pas souhaiter votre retour en France; il vous faudrait marcher sur cent mille cadavres.