Boulogne d'après les documents authentiques |
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... commandant la caserne de Boulogne . Mon commandant , Ce matin vers six heures moins un quart , M. Aldenize , lieutenant de voltigeurs au 42 régiment de ligne , est arrivé très - empressé à la caserne , et a dit au sergent - major Clé ...
... commandant la caserne de Boulogne . Mon commandant , Ce matin vers six heures moins un quart , M. Aldenize , lieutenant de voltigeurs au 42 régiment de ligne , est arrivé très - empressé à la caserne , et a dit au sergent - major Clé ...
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... commandant de place de Boulogne , au général commandant la 16 ° division militaire . Mon général , lorsque j'ai reçu la dépêche télégraphique que vous m'avez fait l'honneur de m'adresser , déjà et depuis midi et demi j'avais eu l ...
... commandant de place de Boulogne , au général commandant la 16 ° division militaire . Mon général , lorsque j'ai reçu la dépêche télégraphique que vous m'avez fait l'honneur de m'adresser , déjà et depuis midi et demi j'avais eu l ...
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Albert Fermé. meté du capitaine commandant le détachement du 42 ° de ligne , dont je vous ai envoyé le rapport , et qui fort heureu- sement est arrivé à la caserne presqu'en même temps que le prince Louis et sa troupe , que l'on doit la ...
Albert Fermé. meté du capitaine commandant le détachement du 42 ° de ligne , dont je vous ai envoyé le rapport , et qui fort heureu- sement est arrivé à la caserne presqu'en même temps que le prince Louis et sa troupe , que l'on doit la ...
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... commandant , il n'y avait plus rien à attendre des braves du 42. , et les rebelles , quittant la caserne , se répandirent dans les rues , jetant des proclamations , de l'argent , aux cris de vive l'Empereur ! Ils arrivèrent ainsi devant ...
... commandant , il n'y avait plus rien à attendre des braves du 42. , et les rebelles , quittant la caserne , se répandirent dans les rues , jetant des proclamations , de l'argent , aux cris de vive l'Empereur ! Ils arrivèrent ainsi devant ...
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... commandant de place avec un détachement de vingt hommes du 42 ° , commandés par un officier , ils prirent la direction de la Colonne de la grande armée , distante d'un kilomètre de la ville , et y arborèrent le drapeau . Mais ils furent ...
... commandant de place avec un détachement de vingt hommes du 42 ° , commandés par un officier , ils prirent la direction de la Colonne de la grande armée , distante d'un kilomètre de la ville , et y arborèrent le drapeau . Mais ils furent ...
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Common terms and phrases
accusés armée armes arrêtés avaient avez baron Bataille Berryer Boulogne Boulogne-sur-Mer canot capitaine caserne chancelier Col-Puygellier colonel Voisin colonne commandant Mésonan compagnie comte Conciergerie conjurés Conneau coup de pistolet Cour des pairs crime Crouy-Chanel d'Aladenize d'Almbert débarquement déclare défense défenseur DELACOUR demande Desjardins devant devoir dévouement dire drapeau êtes Ferdinand Barrot Fialin Forestier Galvani garde municipale garde nationale garnison général Magnan général Montholon gloire gouvernement grade grenadiers heures hommes Interrogatoire j'ai j'avais j'étais jour juger justice l'accusé l'armée l'attentat l'Empereur Laborde lieutenant Aladenize Lille logne Lombard Londres Louis Bonaparte Louis-Napoléon Bonaparte Maussion ment messieurs les pairs militaire monsieur Montauban n'ai N'avez-vous Napoléon-Louis officiers ordres Ornano Orsi paquebot parole Parquin passé pays pensée Persigny personne peuple place d'Alton politique porte poste PRÉSIDENT prince Louis prince Napoléon proclamations procureur général Puygellier répondit s'est s'était serait sergent seul soldats sous-lieutenant sous-préfet Strasbourg témoin tentative tion troupe trouvé vicomte Vive Wimereux
Popular passages
Page 63 - Je représente devant vous un principe, une cause, une défaite. Le principe, c'est la souveraineté du peuple ; la cause, celle de l'Empire ; la défaite, Waterloo. Le principe, vous l'avez reconnu ; la cause, vous l'avez servie; la défaite, vous voulez la venger.
Page 54 - La chambre des pairs connaît des crimes de haute trahison et des attentats à la sûreté de l'État qui seront définis par la loi.
Page 62 - La proscription imméritée et cruelle qui, pendant vingt-cinq ans, a traîné ma vie des marches du trône sur lequel je suis né jusqu'à la prison d'où je sors en ce moment, a été impuissante à irriter comme à fatiguer mon cœur ; elle n'a pu me rendre étranger un seul jour à la dignité, à la gloire, aux droits, aux intérêts de la France. Ma conduite, mes convictions s'expliquent.
Page 62 - Quant à mon entreprise, je le répète, je n'ai point eu de complices. Seul j'ai tout résolu; personne n'a connu à l'avance ni mes projets, ni mes ressources, ni mes espérances. Si je suis coupable envers quelqu'un, c'est envers mes amis seuls. Toutefois, qu'ils ne m'accusent pas d'avoir abusé légèrement de courages et de dévouements comme les leurs. Ils comprendront les motifs d'honneur et de prudence qui ne me permettent pas de révéler à eux-mêmes combien étaient étendues et puissantes...
Page 36 - Napoléon-Louis est tombé pour la troisième fois dans un piége épouvantable, dans un eflroyable guet-apens, puisqu'il est• impossible qu'un homme qui n'est pas dépourvu de moyens et de bon sens, se soit jeté de gaieté de cœur dans un tel précipice. S'il est coupable, les plus coupables et les véritables sont ceux qui l'ont séduit et égaré. « Je déclare surtout avec une sainte horreur que l'injure...
Page 17 - Qu'ont-ils fait ceux qui vous gouvernent, pour avoir des droits à votre amour? « Ils vous ont promis la paix, et ils ont amené la guerre civile et la guerre désastreuse d'Afrique; ils vous ont promis la diminution des impôts, et tout l'or que vous possédez n'assouvirait pas leur avidité...
Page 121 - lettre et je lis : « Mon cher commandant, il est de la plus grande nécessité que vous voyiez de suite le général en question; vous savez que c'est un homme d'exécution et sur qui on peut compter; vous savez aussi que c'est un homme que j'ai noté pour être un jour maréchal de France. Vous lui offrirez...
Page 62 - J'ai cru même que si, au sein du congrès national que je voulais convoquer, quelques prétentions pouvaient se faire entendre, j'aurais le droit d'y réveiller les souvenirs éclatant» de l'Empire, d'y parler du frère aîné de l'Empereur, de cet homme vertueux qui , avant moi, en est le digne héritier, et de placer en face de la France, aujourd'hui...
Page 18 - ... les intérêts des masses, fonder un édifice inébranlable. « Je veux donner à la France des alliances véritables, une paix solide, et non la jeter dans les hasards d'une guerre générale. « Français ! je vois devant moi l'avenir brillant de la patrie. Je sens derrière moi l'ombre de l'empereur qui me pousse en avant : je ne m'arrêterai que lorsque j'aurai repris l'épée d'Austerlitz, remis les aigles sur nos drapeaux et le peuple dans ses droits.
Page 62 - J'ai été formé par de plus hautes leçons, et j'ai vécu sous de plus nobles exemples. « Je suis né d'un père qui descendit du trône, sans regret, le jour où il ne jugea plus possible de concilier, avec les intérêts de la France, les intérêts du peuplé qu'il avait été appelé à gouverner.