Boulogne d'après les documents authentiques |
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... empereur des Français par la nation qui le désire et par le ministère fran- çais qui l'attend . » M. Bally lui répondit que ce qu'il entendait rendait sa po- sition et celle de ses employés plus fâcheuse encore qu'il ne l'avait pensé d ...
... empereur des Français par la nation qui le désire et par le ministère fran- çais qui l'attend . » M. Bally lui répondit que ce qu'il entendait rendait sa po- sition et celle de ses employés plus fâcheuse encore qu'il ne l'avait pensé d ...
Page 10
... Empereur ! Ils arrivèrent ainsi devant le poste de la place d'Alton , où se trouvaient quatre militaires , commandés par le sergent Morange ; les promesses et les menaces furent successivement employées envers ces militaires comme en ...
... Empereur ! Ils arrivèrent ainsi devant le poste de la place d'Alton , où se trouvaient quatre militaires , commandés par le sergent Morange ; les promesses et les menaces furent successivement employées envers ces militaires comme en ...
Page 11
... Empereur ! couvraient sa voix , mais il ne cessa d'y répondre par le cri de vive le Roi ! jusqu'au moment où Louis Bonaparte ayant commandé de le repousser , il fut frappé à la poitrine par l'aigle du drapeau et faillit être ren- versé ...
... Empereur ! couvraient sa voix , mais il ne cessa d'y répondre par le cri de vive le Roi ! jusqu'au moment où Louis Bonaparte ayant commandé de le repousser , il fut frappé à la poitrine par l'aigle du drapeau et faillit être ren- versé ...
Page 17
... Empereur ne reviendront que dans une France régénérée ! Les mânes du grand homme ne doivent pas être souillées par d'impurs et d'hypocrites hommages . Il faut que la gloire et la liberté soient debout à côté du cer- cueil de Napoléon ...
... Empereur ne reviendront que dans une France régénérée ! Les mânes du grand homme ne doivent pas être souillées par d'impurs et d'hypocrites hommages . Il faut que la gloire et la liberté soient debout à côté du cer- cueil de Napoléon ...
Page 18
... Empereur se servait pour encourager vos efforts et vous en- richir . Enfin vous toutes , classes laborieuses et ... Empereur qui me pousse en avant ; je ne m'arrêterai que lorsque j'aurai repris l'épée d'Austerlitz , remis les aigles sur ...
... Empereur se servait pour encourager vos efforts et vous en- richir . Enfin vous toutes , classes laborieuses et ... Empereur qui me pousse en avant ; je ne m'arrêterai que lorsque j'aurai repris l'épée d'Austerlitz , remis les aigles sur ...
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Common terms and phrases
accusés armée armes arrêtés avaient avez baron Bataille Berryer Boulogne Boulogne-sur-Mer canot capitaine caserne chancelier Col-Puygellier colonel Voisin colonne commandant Mésonan compagnie comte Conciergerie conjurés Conneau coup de pistolet Cour des pairs crime Crouy-Chanel d'Aladenize d'Almbert débarquement déclare défense défenseur DELACOUR demande Desjardins devant devoir dévouement dire drapeau êtes Ferdinand Barrot Fialin Forestier Galvani garde municipale garde nationale garnison général Magnan général Montholon gloire gouvernement grade grenadiers heures hommes Interrogatoire j'ai j'avais j'étais jour juger justice l'accusé l'armée l'attentat l'Empereur Laborde lieutenant Aladenize Lille logne Lombard Londres Louis Bonaparte Louis-Napoléon Bonaparte Maussion ment messieurs les pairs militaire monsieur Montauban n'ai N'avez-vous Napoléon-Louis officiers ordres Ornano Orsi paquebot parole Parquin passé pays pensée Persigny personne peuple place d'Alton politique porte poste PRÉSIDENT prince Louis prince Napoléon proclamations procureur général Puygellier répondit s'est s'était serait sergent seul soldats sous-lieutenant sous-préfet Strasbourg témoin tentative tion troupe trouvé vicomte Vive Wimereux
Popular passages
Page 63 - Je représente devant vous un principe, une cause, une défaite. Le principe, c'est la souveraineté du peuple ; la cause, celle de l'Empire ; la défaite, Waterloo. Le principe, vous l'avez reconnu ; la cause, vous l'avez servie; la défaite, vous voulez la venger.
Page 54 - La chambre des pairs connaît des crimes de haute trahison et des attentats à la sûreté de l'État qui seront définis par la loi.
Page 62 - La proscription imméritée et cruelle qui, pendant vingt-cinq ans, a traîné ma vie des marches du trône sur lequel je suis né jusqu'à la prison d'où je sors en ce moment, a été impuissante à irriter comme à fatiguer mon cœur ; elle n'a pu me rendre étranger un seul jour à la dignité, à la gloire, aux droits, aux intérêts de la France. Ma conduite, mes convictions s'expliquent.
Page 62 - Quant à mon entreprise, je le répète, je n'ai point eu de complices. Seul j'ai tout résolu; personne n'a connu à l'avance ni mes projets, ni mes ressources, ni mes espérances. Si je suis coupable envers quelqu'un, c'est envers mes amis seuls. Toutefois, qu'ils ne m'accusent pas d'avoir abusé légèrement de courages et de dévouements comme les leurs. Ils comprendront les motifs d'honneur et de prudence qui ne me permettent pas de révéler à eux-mêmes combien étaient étendues et puissantes...
Page 36 - Napoléon-Louis est tombé pour la troisième fois dans un piége épouvantable, dans un eflroyable guet-apens, puisqu'il est• impossible qu'un homme qui n'est pas dépourvu de moyens et de bon sens, se soit jeté de gaieté de cœur dans un tel précipice. S'il est coupable, les plus coupables et les véritables sont ceux qui l'ont séduit et égaré. « Je déclare surtout avec une sainte horreur que l'injure...
Page 17 - Qu'ont-ils fait ceux qui vous gouvernent, pour avoir des droits à votre amour? « Ils vous ont promis la paix, et ils ont amené la guerre civile et la guerre désastreuse d'Afrique; ils vous ont promis la diminution des impôts, et tout l'or que vous possédez n'assouvirait pas leur avidité...
Page 121 - lettre et je lis : « Mon cher commandant, il est de la plus grande nécessité que vous voyiez de suite le général en question; vous savez que c'est un homme d'exécution et sur qui on peut compter; vous savez aussi que c'est un homme que j'ai noté pour être un jour maréchal de France. Vous lui offrirez...
Page 62 - J'ai cru même que si, au sein du congrès national que je voulais convoquer, quelques prétentions pouvaient se faire entendre, j'aurais le droit d'y réveiller les souvenirs éclatant» de l'Empire, d'y parler du frère aîné de l'Empereur, de cet homme vertueux qui , avant moi, en est le digne héritier, et de placer en face de la France, aujourd'hui...
Page 18 - ... les intérêts des masses, fonder un édifice inébranlable. « Je veux donner à la France des alliances véritables, une paix solide, et non la jeter dans les hasards d'une guerre générale. « Français ! je vois devant moi l'avenir brillant de la patrie. Je sens derrière moi l'ombre de l'empereur qui me pousse en avant : je ne m'arrêterai que lorsque j'aurai repris l'épée d'Austerlitz, remis les aigles sur nos drapeaux et le peuple dans ses droits.
Page 62 - J'ai été formé par de plus hautes leçons, et j'ai vécu sous de plus nobles exemples. « Je suis né d'un père qui descendit du trône, sans regret, le jour où il ne jugea plus possible de concilier, avec les intérêts de la France, les intérêts du peuplé qu'il avait été appelé à gouverner.