Boulogne d'après les documents authentiques |
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Page 40
... voulait mettre à profit le mécontente- ment de cet officier , publiquement exhalé jusque dans les journaux . A cette époque , il n'était pas encore rentré en Suisse , et le gouvernement n'avait pas pu demander son ex- pulsion : il ne s ...
... voulait mettre à profit le mécontente- ment de cet officier , publiquement exhalé jusque dans les journaux . A cette époque , il n'était pas encore rentré en Suisse , et le gouvernement n'avait pas pu demander son ex- pulsion : il ne s ...
Page 64
... voulait marcher avec vous , une somme d'argent ou une pension , qu'il a refusée ? R. Je ne me souviens pas de cela . ( L'accusé se rassied . ) - M. LE PRÉSIDENT . Accusé , je vous prie de vous tenir de- bout . Ne vous êtes - vous pas ...
... voulait marcher avec vous , une somme d'argent ou une pension , qu'il a refusée ? R. Je ne me souviens pas de cela . ( L'accusé se rassied . ) - M. LE PRÉSIDENT . Accusé , je vous prie de vous tenir de- bout . Ne vous êtes - vous pas ...
Page 93
... voulait le suivre , il en serait bien récompensé et n'en aurait pas de regret . ALADENIZE . Il eût été sans intérêt d'entraîner un homme individuellement . FEBVRE , voltigeur au 42. J'étais de faction devant la porte de la caserne ...
... voulait le suivre , il en serait bien récompensé et n'en aurait pas de regret . ALADENIZE . Il eût été sans intérêt d'entraîner un homme individuellement . FEBVRE , voltigeur au 42. J'étais de faction devant la porte de la caserne ...
Page 110
... voulait . Il m'a déclaré qu'il avait dé- siré me voir pour me dire qu'il n'en voulait pas à la garde nationale , qu'il reconnaissait qu'elle avait fait son devoir . Un autre fait que je tiens aussi à constater , c'est que les journaux ...
... voulait . Il m'a déclaré qu'il avait dé- siré me voir pour me dire qu'il n'en voulait pas à la garde nationale , qu'il reconnaissait qu'elle avait fait son devoir . Un autre fait que je tiens aussi à constater , c'est que les journaux ...
Page 116
... voulait attenter aux jours de personne . Aussi s'est - il rendu lorsqu'on lui a promis que le drapeau serai respecté . LOMBARD . Je n'ai ni menacé ni maltraité le témoin . Cela est si vrai que Lejeune m'a proposé de me sauver . Il m'a ...
... voulait attenter aux jours de personne . Aussi s'est - il rendu lorsqu'on lui a promis que le drapeau serai respecté . LOMBARD . Je n'ai ni menacé ni maltraité le témoin . Cela est si vrai que Lejeune m'a proposé de me sauver . Il m'a ...
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Common terms and phrases
accusés armée armes arrêt avaient avez baron Bataille Boulogne canot capitaine caserne chancelier Col-Puygellier colonel Voisin colonne commandant Mésonan compagnies comte Conciergerie conjurés Conneau coup de pistolet Cour des pairs crime Crouy-Chanel d'Aladenize d'Almbert débarquement déclare défense défenseur DELACOUR demande Desjardins devant devoir dévouement dire drapeau êtes Ferdinand Barrot Fialin Forestier Galvani garde municipale garde nationale garnison général Magnan général Montholon gloire gouvernement grade grenadiers heures hommes Interrogatoire j'ai j'avais j'étais jour juger justice l'accusé l'armée l'attentat Laborde lieutenant Aladenize Lille logne Lombard Londres Louis Bonaparte Louis-Napoléon Bonaparte Maussion ment messieurs les pairs militaire monsieur Montauban n'ai N'avez-vous Napoléon-Louis officiers ordres Orsi paquebot parole Parquin passé pays pensée Persigny personne peuple place d'Alton politique porte poste préfet présent PRÉSIDENT prince Louis prince Napoléon proclamations procureur général Puygellier répond s'est s'était serait sergent seul soldats sous-lieutenant sous-préfet Strasbourg témoin tentative tion troupe trouvé vicomte vive l'Empereur Wimereux
Popular passages
Page 63 - Je représente devant vous un principe, une cause, une défaite. Le principe, c'est la souveraineté du peuple ; la cause, celle de l'Empire ; la défaite, Waterloo. Le principe, vous l'avez reconnu ; la cause, vous l'avez servie; la défaite, vous voulez la venger.
Page 54 - La chambre des pairs connaît des crimes de haute trahison et des attentats à la sûreté de l'État qui seront définis par la loi.
Page 62 - La proscription imméritée et cruelle qui, pendant vingt-cinq ans, a traîné ma vie des marches du trône sur lequel je suis né jusqu'à la prison d'où je sors en ce moment, a été impuissante à irriter comme à fatiguer mon cœur ; elle n'a pu me rendre étranger un seul jour à la dignité, à la gloire, aux droits, aux intérêts de la France. Ma conduite, mes convictions s'expliquent.
Page 62 - Quant à mon entreprise, je le répète, je n'ai point eu de complices. Seul j'ai tout résolu; personne n'a connu à l'avance ni mes projets, ni mes ressources, ni mes espérances. Si je suis coupable envers quelqu'un, c'est envers mes amis seuls. Toutefois, qu'ils ne m'accusent pas d'avoir abusé légèrement de courages et de dévouements comme les leurs. Ils comprendront les motifs d'honneur et de prudence qui ne me permettent pas de révéler à eux-mêmes combien étaient étendues et puissantes...
Page 36 - Napoléon-Louis est tombé pour la troisième fois dans un piége épouvantable, dans un eflroyable guet-apens, puisqu'il est• impossible qu'un homme qui n'est pas dépourvu de moyens et de bon sens, se soit jeté de gaieté de cœur dans un tel précipice. S'il est coupable, les plus coupables et les véritables sont ceux qui l'ont séduit et égaré. « Je déclare surtout avec une sainte horreur que l'injure...
Page 17 - Qu'ont-ils fait ceux qui vous gouvernent, pour avoir des droits à votre amour? « Ils vous ont promis la paix, et ils ont amené la guerre civile et la guerre désastreuse d'Afrique; ils vous ont promis la diminution des impôts, et tout l'or que vous possédez n'assouvirait pas leur avidité...
Page 121 - lettre et je lis : « Mon cher commandant, il est de la plus grande nécessité que vous voyiez de suite le général en question; vous savez que c'est un homme d'exécution et sur qui on peut compter; vous savez aussi que c'est un homme que j'ai noté pour être un jour maréchal de France. Vous lui offrirez...
Page 62 - J'ai cru même que si, au sein du congrès national que je voulais convoquer, quelques prétentions pouvaient se faire entendre, j'aurais le droit d'y réveiller les souvenirs éclatant» de l'Empire, d'y parler du frère aîné de l'Empereur, de cet homme vertueux qui , avant moi, en est le digne héritier, et de placer en face de la France, aujourd'hui...
Page 18 - ... les intérêts des masses, fonder un édifice inébranlable. « Je veux donner à la France des alliances véritables, une paix solide, et non la jeter dans les hasards d'une guerre générale. « Français ! je vois devant moi l'avenir brillant de la patrie. Je sens derrière moi l'ombre de l'empereur qui me pousse en avant : je ne m'arrêterai que lorsque j'aurai repris l'épée d'Austerlitz, remis les aigles sur nos drapeaux et le peuple dans ses droits.
Page 62 - J'ai été formé par de plus hautes leçons, et j'ai vécu sous de plus nobles exemples. « Je suis né d'un père qui descendit du trône, sans regret, le jour où il ne jugea plus possible de concilier, avec les intérêts de la France, les intérêts du peuplé qu'il avait été appelé à gouverner.