Histoire de la restauration, Volumes 1-2Meline, Cans et comp., 1851 - France |
From inside the book
Results 1-5 of 100
Page
Alphonse de Lamartine. DE LA A23486 RESTAURATION PAR A. DE LAMARTINE . TOME PREMIER . BRUXELLES . MELINE , CANS ET COMP . , LIBRAIRES - ÉDITEURS . LIVOURNE . MÊME MAISON . 1851 LEIPZIG . J. P. MELINE . PRÉAMBULE . I La rapidité du temps ...
Alphonse de Lamartine. DE LA A23486 RESTAURATION PAR A. DE LAMARTINE . TOME PREMIER . BRUXELLES . MELINE , CANS ET COMP . , LIBRAIRES - ÉDITEURS . LIVOURNE . MÊME MAISON . 1851 LEIPZIG . J. P. MELINE . PRÉAMBULE . I La rapidité du temps ...
Page 6
... les spectacles qui suivirent le premier jour de cette restauration , la liberté de la presse , la liberté de la tribune , les mouvements des élections qui remuaient enfin un peuple longtemps immo- bile et 6 PRÉAMBULE .
... les spectacles qui suivirent le premier jour de cette restauration , la liberté de la presse , la liberté de la tribune , les mouvements des élections qui remuaient enfin un peuple longtemps immo- bile et 6 PRÉAMBULE .
Page 10
... de Vaulabelle , le sentiment et souvent l'op- position du libéralisme . Nous essayons d'écrire sans esprit de superstition et sans esprit d'opposition : la vérité . DE LA RESTAURATION . LIVRE PREMIER . Coup d'œil rétrospectif 10 PRÉAMBULE .
... de Vaulabelle , le sentiment et souvent l'op- position du libéralisme . Nous essayons d'écrire sans esprit de superstition et sans esprit d'opposition : la vérité . DE LA RESTAURATION . LIVRE PREMIER . Coup d'œil rétrospectif 10 PRÉAMBULE .
Page 11
Alphonse de Lamartine. DE LA RESTAURATION . LIVRE PREMIER . Coup d'œil rétrospectif sur le règne de Napoléon . - Napoléon en 1813. — Son retour à Paris ... premier des soldats , non des hommes d'État ; très - ouvert au passé , HISTOIRE.
Alphonse de Lamartine. DE LA RESTAURATION . LIVRE PREMIER . Coup d'œil rétrospectif sur le règne de Napoléon . - Napoléon en 1813. — Son retour à Paris ... premier des soldats , non des hommes d'État ; très - ouvert au passé , HISTOIRE.
Page 13
... jeter un regard der- rière lui . Il avait semblé tout céder à la fortune du jour où elle ne lui accordait pas l'univers . Joueur qui avait engagé 1 . • 2 le continent , et qui ne disputait plus rien après LIVRE PREMIER . 13.
... jeter un regard der- rière lui . Il avait semblé tout céder à la fortune du jour où elle ne lui accordait pas l'univers . Joueur qui avait engagé 1 . • 2 le continent , et qui ne disputait plus rien après LIVRE PREMIER . 13.
Other editions - View all
Common terms and phrases
allait alliés âme armées armes avaient bataille Blücher Bonaparte Bourbons C'était camp capitale Caulaincourt cent mille chambre cheval cœur commandant comte d'Artois Condé conseil corps législatif cour crime députés despotisme devant dévouement duc d'Angoulême duc d'Enghien duchesse d'Angoulême Dumouriez ennemis Ettenheim eût famille femme Fontainebleau frère gendarmes général gloire gouvernement guerre Harel heures Hullin jeune Joseph jour juges l'armée l'avait l'em l'empereur Alexandre l'empire l'Europe l'impératrice l'opinion laisser liberté lieutenant Louis XVIII lui-même main maison maison de Bourbon Malmaison maréchal Marmont ment militaire mille hommes ministre monarchie Murat murmure n'avait Napo Napoléon nation nationale négociateur nuit officiers paix palais paroles passé patrie pensée peuple Pichegru politique pouvait premier consul prince princesse Prusse Réal règne restauration reste revers révolution Rhin route royalistes royauté Russie s'était sang Savary Schwartzenberg sénat sentiment seul silence soldats sort souverains Talleyrand Thomery tion trône troupes Troyes Tuileries victoire Vincennes Vitrolles voiture voix voulait yeux
Popular passages
Page 230 - Leur liberté individuelle est également garantie, personne ne pouvant être poursuivi ni arrêté que dans les cas prévus par la loi, et dans la forme qu'elle prescrit. 5. Chacun professe sa religion avec une égale liberté, et obtient pour son culte la même protection.
Page 230 - Le roi est le chef suprême de l'Etat ; il commande les forces de terre et de mer , déclare la guerre , fait les traités de paix , d'alliance et de commerce...
Page 234 - La chambre des députés a le droit d'accuser les ministres, et de les traduire devant la chambre des pairs, qui seule a celui de les juger.
Page 230 - Les Français ont le droit de publier et de faire imprimer leurs opinions, en se conformant aux lois qui doivent réprimer les abus de cette liberté.
Page 234 - Aucun membre de la Chambre ne peut, pendant la durée de la session , être poursuivi ni arrêté en matière criminelle , sauf le cas de flagrant délit , qu'après que la Chambre a permis sa poursuite.
Page 217 - Les puissances alliées ayant proclamé que l'empereur Napoléon était le seul obstacle au rétablissement de la paix en Europe, l'empereur Napoléon, fidèle à son serment, déclare qu'il est prêt à descendre du trône, à quitter la France et même la vie pour le bien de la patrie, inséparable des droits de son fils, de ceux de la régence de l'Impératrice et du maintien des lois de l'Empire.
Page 235 - ... contre la haine de la nation. Le Sénat se fonde sur les articles de la Constitution pour la renverser; il ne rougit pas de faire des reproches à l'empereur, sans remarquer que, comme premier corps de l'État, il a pris part à tous les événements.
Page 235 - Le Code civil et les lois actuellement existantes qui ne sont pas contraires à la présente Charte restent en vigueur jusqu'à ce qu'il y soit légalement dérogé. Droits particuliers garantis par l'État. 69. Les militaires en activité de service, les officiers et soldats en retraite, les veuves, les officiers et soldats pensionnés, conserveront leurs grades, honneurs et pensions.
Page 208 - La dette publique sera garantie ; les pensions , grades , honneurs militaires, seront conservés, ainsi que l'ancienne et la nouvelle noblesse. La légion d'honneur, dont nous déterminerons la décoration, sera maintenue. Tout Français sera admissible aux emplois civils et militaires. Enfin nul individu ne pourra être inquiété pour ses opinions et ses votes.
Page 233 - Aucun impôt ne peut être établi ni perçu s'il n'a été consenti par les deux chambres et sanctionné par le roi.