Oeuvres de Fénélon, archevêque de Cambrai: publiées d'après les manuscrits originaux et les éditions les plus correctes ; avec un grand nombre de pièces inédites, Volume 6J. A. Lebel, 1821 |
Other editions - View all
Common terms and phrases
actes d'espérance actes réfléchis ames amour naturel approuvé auroit avez avoit béatifiant béatitude formelle béatitude surnaturelle Cambrai charité chose condamner contemplation contraire croyoit décisif Déclaration désirer dire dites-vous doctrine Ecrit écrits erreurs essentiel éternel étoit explication expressions FÉNÉLON fin dernière François de Sales gloire de Dieu Grégoire de Nazianze Ibid imparfaits impie indélibérée Ive sect j'ai j'avois jamais Jésus-Christ l'ame l'amour l'archevêque l'Ecole l'Eglise l'espérance l'éternité l'intérêt propre Lettr livre madame Guyon Meaux ment mercenaire Monseigneur motif n'étoit naturel et délibéré objet parfaite parle paroles passages péché père Surin perfection personne persuasion Pirot Préf prélat propre intérêt pure Quiétistes raison d'aimer rapport récompense Rép réponse rétractation retrancher rien sacrifice absolu saint Augustin saint François saint Paul saint Thomas salut sens sentimens seroit seulement suppose systême terme texte tion turel vertu théologale vertus veut vicieux vision béatifique Voilà vouloir vous-même vrai xxix xxvIII XXXIV Articles
Popular passages
Page 420 - ... qui renverse la loi divine, qui traite d'imperfections toutes les vertus, qui tourne en épreuves et en perfections tous les vices, qui ne laisse ni subordination ni règle dans la société des hommes; qui, par le principe du secret, autorise toute sorte...
Page 465 - D'ailleurs je ne prétends pas le faire imprimer sans consulter personne. Je vais le confier avec le dernier secret à M. l'archevêque de Paris et à M. Tronson. Dès qu'ils auront achevé de le lire , je le donnerai suivant leurs corrections. Ils seront les juges de ma doctrine , et on n'imprimera que ce qu'ils auront approuvé : ainsi on n'en doit pas être en peine. J'aurois la même confiance pour M. de Meaux , si je n'étois dans la nécessité de lui laisser ignorer mon ouvrage , dont il voudrait...
Page 356 - Augustin *, que personne ne révoqua jamais en doute : la chose du monde la plus véritable, la mieux entendue, la plus...
Page 185 - la volonté de Dieu à toutes choses ; mais elle " ne laisse pas d'aimer beaucoup d'autres choses,
Page 337 - ... acte de charité qui n'a pas le motif essentiel et inséparable de la béatitude qui est la seule raison d'aimer. Je le dis, je le prouve , M. de Meaux l'avoue. Il assure que c'est en cela qu'est mon erreur, et que ;e me perds (') : il assure que c'est le point décisif.
Page 100 - C'est ce que personne ne peut nier. « L'autre, que l'indépendance » qu'on attribue à la charité tant de la béatitude que » des autres bienfaits de Dieu, loin de les exclure, » les laisse, dans la pratique, un des motifs les plus » pressans, quoique secondaire et moins principal, » de cette reine des vertus. » • Toutes ces expressions ne signifient rien de précis.
Page 374 - Mais est-il juste de croire qu'il parle sans prévention sur des choses secrètes , et qu'il n'allègue que quand il manque de preuves pour les publiques ? Avant que d'être reçu à alléguer des faits secrets , il doit commencer par vérifier toutes les citations de mon texte que je soutiens , dans mes réponses, qu'il a altérées. Encore une fois, si le texte de mon livre est censurable , pourquoi ne s'y renferme-t-il pas?
Page 476 - Hé! qu'importé que je fisse les choses sans lui , pourvu que je ne les fisse pas mal? Supposé même que je me fusse éloigné...
Page 418 - Guyon n'a rien écrit que pour accréditer cettedamnable spiritualité, et pour la faire pratiquer ; c'est là l'unique but de ses ouvrages. Otez-en cela, vous ôtez tout; elle n'a pu penser autre chose. L'abomination évidente de ses écrits rend donc évidemment sa personne abominable : je ne puis donc séparer sa personne d'avec ses écrits. Pour moi , j'avoue que je ne comprends rien à la conduite de M.
Page 183 - ... mieux l'enfer avec la volonté de Dieu que le paradis sans la volonté de Dieu. Oui, même il préférerait l'enfer au paradis, s'il savait qu'en celui-là il y eût un peu plus du bon plaisir divin qu'en celui-ci...